JUSQU’A 60,00% DE MARGE AVEC LE DROPSHIPPING (Bilal Dernaoui)

Si je te parle d’e-commerce, il y a de fortes chances que tu aies entendu parler de dropshipping ces derniers mois !

En effet, c’est littéralement la tendance en ce moment dans cette industrie du commerce international qui représente des milliards d’euros.

Généralement, on entend que les marges sont en moyenne de 33% : 33% représentent le coût du produit, 33% représentent le budget marketing et 33% représentent la marge pour vulgariser grosso-modo les choses.

Dans cette interview où je te présente Bilal, tu verras que Bilal a pu générer jusqu’à 60,00% de marge avec le dropshopping sur certains produits.

Tu verras comment Bilal s’y prend pour atteindre ce niveau de marge. Bilal a déjà généré plusieurs centaines de milliers d’euros alors qu’il n’a que 24 ans.

Bilal était intervenant au dernier séminaire que j’ai organisé à Paris en juillet dernier où il a lâché une très grosse session sur l’e-commerce !

✅Replay du Séminaire au Marriott : https://clubmillionnaire.fr/replay

✅ Retrouvez Bilal ici : https://clubmillionnaire.fr/bilal-dern…

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JUSQU’A 60,00% DE MARGE AVEC LE DROPSHIPPING (Bilal Dernaoui)

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Retranscription de la vidéo :

Raphaël Carteni : Salut à tous ! Bienvenue sur cette nouvelle vidéo en direct de Tallinn, à la maison. Donc comme tu peux le voir, il y a un petit décor sympa, la mer derrière, un petit port. Je vais te présenter quelqu’un qui est très intéressant. Il s’appelle Bilal. Il fait de l’e-commerce. Il est jeune. Il a des résultats. Il fait plusieurs centaines de milliers d’euros sur l’e-commerce, donc il va te donner quelques conseils.

Avant qu’on ne commence cette vidéo, comme d’habitude, clique bien sur le bouton « S’abonner » ci-dessous. Tu recevras en avant-première toutes les prochaines vidéos. Et lis bien la barre de description puisque j’ai un petit cadeau pour toi. C’est un pack de bienvenue au contenu 100% secret, donc télécharge-le ci-dessous. Sur ce, je te présente tout de suite Bilal. Bilal, salut.

Bilal Dernaoui : Salut Raph, comment vas-tu ?

Raphaël Carteni : Comment tu vas ? La forme, et toi ?

Bilal Dernaoui : Oui, ça va plutôt pas mal.

Raphaël Carteni : Nickel, nickel. Qu’est-ce que tu fais ici à la maison, à Tallinn, en Estonie ? C’est la première fois que tu viens, il me semble.

Bilal Dernaoui : Exactement. C’est la première fois que je viens sur Tallinn. Alors, je suis venu te rendre une petite visite, voir pas mal d’entrepreneurs qui sont installés ici à Tallinn. C’est assez sympa. Donc il y a un petit melting pot, un petit mélange d’entrepreneurs, que ce soient des Français ou d’ailleurs. Et on profite aussi des Estoniennes.

Raphaël Carteni : Est-ce que tu as bien aimé l’Estonie ou pas, du coup ?

Bilal Dernaoui : Oui. Franchement. Comme je t’ai dit précédemment, avant qu’on ne commence cette vidéo, franchement, j’ai été agréablement surpris par le pays. Voilà, c’est un beau pays qui contient pas mal d’infrastructures pour vraiment entreprendre, surtout dans le milieu du business Internet.

Raphaël Carteni : Okay. C’est cool. Tu ne t’es pas encore présenté. Du coup, est-ce que tu peux nous dire qui tu es et ce que tu fais dans la vie, quel âge tu as, d’où tu viens ? Etc.

Bilal Dernaoui : Yes. Alors, moi, j’ai 24 ans. Ça fait maintenant plus d’un an que je suis dans l’e-commerce. J’ai plusieurs boutiques en dropshipping à mon actif. Mais de base, je ne suis absolument pas de cette école-là en fait. J’ai fait une formation en comptabilité.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Au préalable, comme je t’ai dit tout à l’heure, j’ai fait une PACES.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Donc je ne suis pas du tout du milieu Internet.

Raphaël Carteni : Rien ne te prédestinait à bosser sur Internet et à faire du résultat sur Internet au final ?

Bilal Dernaoui : Exactement.

Raphaël Carteni : Comment tu es tombé dedans, du coup ? Ou est-ce que c’est un pur hasard ? Est-ce que tu avais envie de quelque chose en particulier ?

Bilal Dernaoui : Ça a été un réel hasard en réalité. Donc si tu veux, j’avais toujours eu cette âme d’entrepreneur, donc j’ai toujours eu pas mal d’idées en tête, j’ai toujours voulu mettre des projets en place, mais je n’ai jamais pensé à Internet.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Puisque je ne connaissais pas forcément. Et ça a été un pur hasard. Avec un pote, on traînait sur le net et j’ai découvert un peu cette manière de faire du commerce de manière un peu digitalisée. Du coup, j’ai vu qu’il y avait une opportunité et je me suis lancé quoi.

Raphaël Carteni : Okay. Alors, quand on ne vient pas du milieu d’Internet comme tu l’as dit, et qu’on voit sur Internet une opportunité qui est l’e-commerce où on peut faire des ronds, comment on se lance ? Comment on se dit : « Moi aussi, je vais le faire. » « Comment moi, aussi je vais réussir ? » Parce que forcément, on n’a pas des connaissances de base.

Bilal Dernaoui : Alors, à ce moment-là, si tu veux, on essaie de s’informer au maximum, récolter de la data, comme on dit.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Vraiment connaitre le sujet pour pouvoir se lancer. Donc moi, si tu veux, à ce moment-là quand j’avais découvert l’e-commerce, j’étais encore alternant dans un cabinet d’expertise-comptable, comme je te l’ai dit.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Et à ce moment-là, je bouffais des informations sur le net, mais à tout va. C’était vraiment : le matin, je me levais, j’allais au boulot ou à l’école, mais je n’avais pas la tête là-dedans.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : J’étais sur le Net. Je cherchais des informations à droite et à gauche. Le midi, j’allais chez le Chinois. Je mangeais mes nouilles à droite. A gauche, j’avais une vidéo par ci, des infos par là. Mais c’était assez compliqué puisque c’était une période où le e-commerce n’était vraiment pas connu en France. Donc si tu veux, c’était vraiment sur des forums américains un peu archaïques.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : C’était assez compliqué mais voilà. On est là.

Raphaël Carteni : Tu as pioché à gauche, à droite ?

Bilal Dernaoui : C’est ça, exactement.

Raphaël Carteni : Tu as pris des informations et tu as checké ce que tu pouvais faire avec.

Bilal Dernaoui : Exactement.

Raphaël Carteni : Du coup, tu accumules toutes ces connaissances sur les sites Internet à l’étranger, aux Etats-Unis, etc. Est-ce que ça te suffit pour te lancer « correctement » ? C’est-à-dire que je suppose que tu essaies d’appliquer, mais est-ce que ça te suffit ? Est-ce que tu as des résultats ?

Bilal Dernaoui : Oui, si tu veux, oui. On essaie d’appliquer ce qu’on a appris, mais ça reste vraiment flou, ça reste vraiment archaïque comme je te l’ai dit juste avant.

Raphaël Carteni : Oui.

Bilal Dernaoui : Mais voilà. On se lance sur le tas. On essaie d’apprendre sur le tas. Mais malgré ça, j’ai quand même fait pas mal d’erreurs à mes débuts. Je ne te le cache pas.

Raphaël Carteni : C’est vrai ? Alors du coup, on peut peut-être faire un petit top 3 des erreurs que tu as faites. Tu en as fait 3 au moins ?

Bilal Dernaoui : Des erreurs que j’ai faites ?

Raphaël Carteni : Oui.

Bilal Dernaoui : Le top 3, si tu veux, ça a été déjà premièrement Facebook. Comme je te l’ai dit, vu que je ne connaissais pas forcément, j’y allais à tâtons donc je ne connaissais pas vraiment. Je n’arrivais pas à analyser ma data en fait.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Je n’arrivais pas vraiment à comprendre ce qui se passait sur mon store. Et si  tu veux, ça m’a fait perdre énormément de temps et d’argent pour le coup, puisque j’avais su à ce moment-là vraiment comment analyser ma data, j’aurais pu vraiment faire un ROI de malade, vraiment décupler mon ROI et le multiplier par deux.

Raphaël Carteni : D’accord. On parle de Facebook. Du coup, d’où provient ton trafic, grosso modo, majoritairement ?

Bilal Dernaoui : Alors, dans un premier temps, ça a été vraiment 100% du Facebook, tu vois ?

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Et par la suite, je me suis formé sur d’autres sources de trafic. En réalité, c’est super important, pour vous qui nous regardez, en e-commerce en tout cas, si vous voulez vraiment persister, il faut absolument avoir plusieurs sources de trafic.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Que ce soit Facebook, des influenceurs, Google Adwords, de la publicité YouTube. Puisque voilà, si demain, mettons qu’une des sources ne marche plus, ne fonctionne plus, que vous vous fassiez bannir – ça peut arriver, le business manager… Il y a des personnes, tous les jours, qui se font bannir du business manager sont…

Raphaël Carteni : Ce n’est pas rare, j’ai cet écho là, oui.

Bilal Dernaoui : Tu vois ? Donc…

Raphaël Carteni : Et Facebook, ils sont durs à contacter.

Bilal Dernaoui : Voilà, Facebook, ils sont compliqués à contacter. Donc vraiment ne pas mettre tous ses œufs dans le même panier quoi.

Raphaël Carteni : Règle universelle, encore une fois. Est-ce que tu fais du référencement ou pas du tout ? Est-ce que c’est un peu compliqué en e-commerce ?

Bilal Dernaoui : Alors, je fais du référencement, plus ou moins, pas énormément mais j’en fais.

Raphaël Carteni : Ce n’est pas le principal ?

Bilal Dernaoui : Ma principale source de trafic à l’heure actuelle, c’est Facebook.

Raphaël Carteni : Tant qu’on parle encore de Facebook, est-ce que tu peux nous donner quelques chiffres ? Notamment voilà, tu as fait des ads pour être visible, de ROI ? Ou même comme on dit sur Facebook, des ROAS. Est-ce que tu peux nous dire ? C’est 1 sur combien ? En gros, c’est ce que les gens veulent savoir.

Bilal Dernaoui : Alors, si tu veux, j’ai des campagnes où je peux monter jusqu’à un ROI de 11.

Raphaël Carteni : Donc 1€ dépensé, 11€ qui entrent ?

Bilal Dernaoui : Exactement. Tu mets 1€ dans la machine, tu récupères 11€ de l’autre côté. Et c’est vrai que ça, pour le coup, c’est assez sympa.

Raphaël Carteni : C’est assez confortable.

Bilal Dernaoui : C’est un très beau ROI.

Raphaël Carteni : C’est très très confortable. On n’a pas encore parlé, donc on continue le top 3 des erreurs que tu as pu faire, potentiellement, un petit peu d’oseille. Est-ce que ça te dérange de parler un peu de ça ?

Bilal Dernaoui : Alors, par rapport au niveau oseille, c’est la question que tu me poses ? Si tu veux, j’ai une boutique qui atteint plus de 300 000€ de chiffres d’affaires.

Raphaël Carteni : Oui.

Bilal Dernaoui : J’ai d’autres boutiques qui tournent aussi, qui ont une cinquantaine de milliers d’euros de chiffres d’affaires à leur actif.

Raphaël Carteni : Donc tu ne fais pas qu’une seule boutique ?

Bilal Dernaoui : Voilà.

Raphaël Carteni : Tu as choisi de diversifier tes boutiques.

Bilal Dernaoui : Voilà, c’est ça. J’essaie vraiment, encore une fois, comme les sources de trafic, de mettre les œufs dans plusieurs paniers. Et du coup, oui, voilà, j’ai vraiment plusieurs boutiques. Et après, derrière, ça reste du chiffre d’affaires, mais malgré ça, il y a plus de 60% de bénéfices dans le chiffre d’affaires.

Raphaël Carteni : Alors, c’est énorme 60% dans l’e-commerce. Généralement, on a tendance à parler de 30% : 30% de coûts produits, 30% de coûts publicitaires, avec 30% de marge. Et encore, on n’a pas mis les impôts forcément dedans. Comment tu arrives à marger jusqu’à 60% sur certains produits ?

Bilal Dernaoui : Alors, si tu veux, pour moi, la marge, c’est vraiment une règle d’or. Par rapport à ça, j’essaie vraiment de faire en sorte de dégager des marges exceptionnelles quitte à moins vendre, puisque moi je ne veux pas seulement faire du débit, je veux surtout marger en fait. Tu vois ?

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Puisque voilà, j’ai fait une formation compta. Si j’ai compris quelque chose, le plus important, ce qui prime avant le débit, c’est vraiment la marge, tu vois ?

Raphaël Carteni : Donc c’est-à-dire que tu as peut-être moins de volume, ce qui est peut-être même mieux puisque tu as moins de retour, de service client.

Bilal Dernaoui : Exactement.

Raphaël Carteni : Et tu as plus de marge, donc finalement, c’est une affaire qui est assez confortable. Donc est-ce que tu te positionnes sur du luxe ou ça n’a rien à voir ? Juste tu fais tes marges en fonction des produits que tu as.

Bilal Dernaoui : Non. Pas forcément du luxe. Après, en dropshipping, tu n’es pas obligé d’être sur du luxe. Après, c’est plutôt des produits à haute valeur ajoutée.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Tu vois ? Des produits que tu ne vas pas forcément payer très cher auprès de ton fournisseur mais avec lesquels tu peux faire de belles ventes avec des prix assez élevés.

Raphaël Carteni : Okay. Je vois très bien. Du coup, dans l’e-commerce également, il y a un petit point important. C’est tout ce qui est niche, concurrence, veille sur tout ce qui se passe un petit peu. C’est très très délicat dans l’e-commerce. Il y a beaucoup de vols, de contenu, de best-sellers, des choses comme ça. Donc on va pas forcément parler de la niche dans laquelle tu es, mais est-ce que tu peux donner peut-être un petit conseil pour les gens qui nous regardent pour essayer de repérer un marché, une niche ou un produit qui pourrait être intéressant à vendre ?

Bilal Dernaoui : Alors, encore une fois, toujours être à l’écoute et vraiment chercher à droite et à gauche pour toujours être à la page, pour toujours avoir un produit winner sur le côté.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Voilà. Parce que tu as des produits winner qui peuvent très très bien marcher, mais du jour au lendemain, tu as ta publicité ou ta source de trafic qui ne fonctionne plus pour ce produit. Et du coup, à ce moment-là, tu coupes ta publicité, tu envoies un nouveau produit comme ça. Tu vois, ça tourne toujours et c’est toujours sur un bon roulement. Tu vois ?

Raphaël Carteni : Mais est-ce qu’on anticipe vraiment un produit best-seller ou est-ce que c’est vraiment en fait le fruit de tests ? C’est un hasard ?

Bilal Dernaoui : Voilà. Tu peux, en regardant certains produits, te dire… Je pense que c’est par intuition : « Ceci peut marcher ». En regardant aussi sur d’autres stores aux Etats-Unis, sur d’autres marchés, tu vas avoir des produits qui ont déjà marché ailleurs, mais après, tu ne peux pas savoir tant que tu n’as pas testé en fait. Tant que tu n’as pas fait des split tests, 

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Tant que tu n’as pas fait des split tests, tu ne peux pas réellement savoir. Après, voilà, tu as vraiment la théorie et la pratique quoi.

Raphaël Carteni : Exactement. Il faut toujours tester en marketing. Il n’y a pas de secret.

Bilal Dernaoui : Exactement.

Raphaël Carteni : Le split test, rapidement pour les gens qui nous regardent, c’est : voilà, version A, version B, on envoie du trafic sur les deux versions et on voit ce qui marche et ce qui ne marche pas, et on garde ce qui marche.

Bilal Dernaoui : Exactement.

Raphaël Carteni : Okay. On va pouvoir revenir sur le top 3 des erreurs. On a un petit peu divagué depuis que tu nous disais : « La première erreur : Facebook ». Oui, mais c’est cool. Au moins, on donne du contenu. Okay. Première erreur, c’était Facebook, tes metrics. Deuxième erreur ?

Bilal Dernaoui : Alors, deuxième erreur, c’était vraiment par rapport à la banque,

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Ça, je m’en rends compte par la suite, puisqu’au début, je ne me rendais pas forcément compte que ça pouvait aller aussi vite. Et si vous voulez, j’ai eu beaucoup beaucoup de freins avec la banque. Voilà, les banquiers en France ne comprennent pas forcément ce que tu fais. Donc à ce moment-là, voilà, s’il y a beaucoup trop de transactions, de débit ou de crédit, ils peuvent vraiment être réticents, vouloir te bloquer, voire même parfois te rediriger vers d’autres banques ou te dire…

Raphaël Carteni : « Allez, va-t-en. »

Bilal Dernaoui : « Ecoute, ce que tu fais, c’est pas forcément légal ». Tu sais, ils ne savent pas ce que tu fais en fait.

Raphaël Carteni : Tu étais jeune encore quand tu as commencé l’e-commerce.

Bilal Dernaoui : Voilà. C’est ça. Exactement.

Raphaël Carteni : Le mec voit du cash rentrer par milliers, des dizaines de milliers.

Bilal Dernaoui : Tu vois le banquier, tu arrives devant lui, tu poses 300€ de capital dans le compte de la société. Au bout d’une semaine, tu es là, il y a déjà 5000€ dessus. Il ne comprend pas forcément ce que tu fais. Tu vois ? Et du coup, il a vraiment peur. Donc vraiment, à ce moment-là, vraiment s’informer par rapport aux banques et aller droit vers des banques qui sont plutôt ouvertes par rapport à ça quoi.

Raphaël Carteni : Okay, okay, sur les banques. Ecoute, merci Bilal pour ce petit retour. C’est vrai que j’ai beaucoup d’amis e-commerçants aussi qui me disent qu’ils se sont fait – comme ça – boycotter par leur banque, limite ils ne les voulaient plus. Même la carte, la plus grosse carte chez eux ne suffisait pas.

Bilal Dernaoui : Tu atteins vite les plafonds en fait.

Raphaël Carteni : Sur toutes les cartes.

Bilal Dernaoui : Oui.

Raphaël Carteni : C’est ça.

Bilal Dernaoui : C’est problématique, oui.

Raphaël Carteni : C’est ça, c’est ça. Okay. Du coup, point n°3, erreur n°3 que tu pourrais nous donner, ça serait quoi ?

Bilal Dernaoui : Alors pour l’erreur n°3, avec du recul comme ça, ça a été vraiment la formation. Si tu veux, à un moment donné, quand je commençais, j’étais vraiment réticent puisque voilà, il y avait des formations qui existaient sur le marché américain.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Et j’étais ultra réticent à sortir 400, 800, 1000€ de ma poche. C’était assez compliqué. Mais si tu veux, avec du recul, je me rends compte que ça aurait vraiment été un tremplin pour moi, un réel retour sur investissement, puisque ça m’a fait perdre énormément de temps, toutes les heures que j’ai pu accumuler au début, au départ, quand j’ai commencé, tu vois ? Donc voilà. Avec du recul, ça a été vraiment la formation.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : C’est ultra important en réalité de se former et de justement ne pas dès le départ faire des erreurs qui sont évitables en fait.

Raphaël Carteni : C’est ça. Encore une fois, il y a « tout » sur Internet, mais le temps que ça prend, c’est assez fou. C’est ça que les gens ont un petit peu du mal à se dire qu’il faut dépenser avant que ça rentre, se former avant que ça rentre. Et encore récemment, pour mon séminaire, un gagnant sur un concours Facebook donc a gagné une place, et je lui demande de m’envoyer un chèque de caution pour qu’il vienne le jour J, pour qu’il soit sûr, et ce chèque de caution de 200€, il m’a dit : « Je n’ai pas l’argent. »

Bilal Dernaoui : Okay.

Raphaël Carteni : Alors que c’était juste un chèque de caution.

Bilal Dernaoui : C’était un chèque que tu allais le lui rendre après le séminaire quoi.

Raphaël Carteni : Oui. Ça n’allait même pas être débité. Ils ont du mal les gens parfois à sortir l’argent, et c’est vraiment dommage parce que c’est vrai. Moi, si je ne m’étais pas formé dans l’immobilier ou même sur Internet, je ne serais pas là où j’en suis aujourd’hui. Donc oui, la formation, pour toi aussi, c’est un petit peu le point commun de toute réussite qui va plus vite ?

Bilal Dernaoui : Exactement.

Raphaël Carteni : Okay, okay. Est-ce que l’e-commerce aujourd’hui, c’est quelque chose qui marche encore ? Comment tu vois l’avenir de l’e-commerce en 2019, en 2020, en 2025 ? Est-ce que ça sera encore possible de faire de l’oseille ?

Bilal Dernaoui : Alors, si tu veux, là-dessus, il y a pas de question à se poser dans le sens où vraiment comment est-ce que tu vois le commerce s’arrêter du jour au lendemain ? Comme ça, c’est impossible. Et si tu regardes, en regardant la croissance du e-commerce depuis son existence, si tu regardes la courbe de la croissance du e-commerce depuis les années 2000, tu vois réellement que la courbe monte vraiment de manière exponentielle, si tu veux.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Et forcément, on va être amenés, on se tourne vers un monde qui va être de plus en plus digitalisé, donc comment veux-tu retourner en arrière ? C’est quasiment inconcevable, tu vois ?

Raphaël Carteni : On touche à deux gros trucs : le commerce international et Internet.

Bilal Dernaoui : Exactement.

Raphaël Carteni : Le jour où ça, ça va…

Bilal Dernaoui : C’est vraiment deux choses que tu ne peux plus dissocier actuellement quoi.

Raphaël Carteni : Ça parait compliqué en tout cas. C’est clair. Bilal, je sais que tu as également un petit endroit où on peut te retrouver, des formations que tu fais. Voilà. Bilal sera intervenant à mon séminaire du 7 juillet. Je pense qu’au jour où vous voyez cette vidéo, le séminaire aura déjà lieu, donc si vous n’avez pas pu être là, il y aura sûrement un lien dans la barre de description pour récupérer le replay de l’enregistrement professionnel. Mais en tout cas, si ce que fait Bilal vous intéresse et que vous voulez en savoir plus, voilà. Bilal, est-ce que tu peux nous parler une petite minute de ce que tu proposes ?

Bilal Dernaoui : Alors, si tu veux, déjà, par rapport à ça, à la base, je n’étais pas réellement formateur, puisque déjà, ça ne m’intéressait pas forcément de former des gens, mais comme je te l’ai dit auparavant, à un moment donné, je prenais pas mal de formations sur le marché francophone, pour justement essayer de toujours être à la page comme je l’ai dit juste avant.

Raphaël Carteni : Oui.

Bilal Dernaoui : Et je me suis rendu compte qu’il y avait un réel besoin sur le marché francophone, tu vois ? Donc soit tu avais des formations qui étaient assez vides par rapport à la structure, donc des coquilles assez vides, tu vois ? Soit tu avais des formations qui étaient excessivement chères. Je pense que c’est un peu pour ma part du racket. Personnellement, je le vois comme ça. Après, je ne sais pas. Chacun son avis. Et du coup, je trouvais ça un peu dommage. Et à ce moment-là, je me suis dit qu’il y avait quelque chose à faire sur ce point de vue là. Voilà, moi je suis entrepreneur, je suis un businessman. Je reste un businessman. J’ai toujours l’âme du business. Et si tu veux, voilà, je me suis vraiment tourné, creusé la tête pour faire un truc vraiment sympa, un truc qui pourrait vraiment être béton, tu vois ?

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Quelque chose où vraiment tu…

Raphaël Carteni : Cohérent et correct au niveau du prix.

Bilal Dernaoui : Assez vaste sur un truc qui touche vraiment tout le monde, quelque chose où vraiment tu peux avoir quelqu’un qui est vraiment débutant, tu l’accompagnes.

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Tu le prends vraiment par la main. Il est là et il te suit de A à Z pour monter sa boutique, une personne qui n’y connait absolument rien en Internet comme moi quand j’ai commencé à mes débuts. Donc vraiment pour pouvoir le prendre par la main et le tirer vers le haut pour qu’il puisse vraiment…

Raphaël Carteni : Concrètement dedans, qu’est-ce qu’on retrouve ?

Bilal Dernaoui : Voilà.

Raphaël Carteni : Qu’est-ce qu’il va apprendre ?

Bilal Dernaoui : Alors, concrètement dedans, ça va être vraiment du Shopify de A à Z

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Comment monter sa boutique ? Comment la créer ? Comment lui donner cette touche professionnelle ? Voilà. Encore une fois, la problématique dans le dropshipping, c’est beaucoup de personnes… Encore une fois, c’est assez simple de faire des boutiques en dropshipping. Maintenant, faut-il le faire de manière professionnelle. Voilà. Si vous avez du trafic sur votre site, mais que votre site est – excusez-moi du terme – mais dégueulasse,

Raphaël Carteni : Okay.

Bilal Dernaoui : Il faut le dire.

Raphaël Carteni : Amateur.

Bilal Dernaoui : Voilà. Tu ne peux pas convertir en fait. Tu vas avoir du mal à convertir. Donc voilà.

Raphaël Carteni : Dans un premier point, ça va être vraiment du Shopify à mort pour pouvoir vraiment construire un site assez complet. Et ensuite, c’est vraiment les sources de trafic. Donc pour moi, le business, c’est vraiment d’une part un beau site, et deuxièmement, une grosse source de trafic pour générer des ventes. Et derrière, pas mal de bonus. Tout ce qui est comptabilité, comment déléguer, comment trouver des influenceurs, la publicité YouTube, AdWords, pour vraiment toucher de manière assez vaste l’ensemble du e-commerce.

Raphaël Carteni : Donc à la fin de cette formation, quelqu’un qui la suit peut monter sa boutique e-commerce et commencer à générer du chiffre d’affaires.

Bilal Dernaoui : Sans souci par rapport à ça.

Raphaël Carteni : Okay. Super, nickel. Donc je mettrai tous les liens dans la barre de description ci-dessous pour retrouver un petit peu ce que propose Bilal. Donc voilà. Si tu as aimé la vidéo, comme d’habitude, petit pouce bleu en l’air. Petit commentaire s’il y a des questions. On se fera un plaisir de revenir y répondre. Partage la vidéo si tu as des amis qui seraient intéressés par l’e-commerce pour avoir le retour d’expérience de Bilal. Et puis Bilal, moi je te remercie.

Bilal Dernaoui : Je te remercie également Raph.

Raphaël Carteni : On se recheck.

Bilal Dernaoui : Allez, ciao ciao

Raphaël Carteni : Allez.

Bilal Dernaoui : On se tient au jus.

Raphaël Carteni : Allez, ciao, ciao.

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