Dividendes : gros rendement ou grosse croissance du dividende ?

Il y a un débat qui anime régulièrement les investisseurs dans les actions à dividendes. Vaut-il mieux investir dans des actions avec une rentabilité de départ intéressante (généralement supérieure à 4%) et une croissance du dividende modérée ou mieux vaut-il se tourner vers des actions aux rentabilités plutôt faibles (généralement inférieures à 1,5%) mais avec un taux de croissance du dividende plutôt fort ?

C’est une question pour laquelle la réponse est difficile car beaucoup d’investisseurs considèrent que les entreprises avec un rendement de départ trop élevé sont « trop matures » avec peu de perspectives de croissance et d’autres investisseurs considèrent que commencer avec une rentabilité trop faible dès le départ va nécessiter un trop grand nombre d’années avant d’atteindre une rentabilité sur prix de revient intéressante et qui puisse permettre de vivre de ses dividendes…

On éclaircit tout ça ensemble avec la notion de « Payback Period ».

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Dividendes : gros rendement ou grosse croissance du dividende ?

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Retranscription de la vidéo :

Alors, faut-il partir d’une petite rentabilité mais d’une forte croissance du dividende ou faut-il déjà partir d’une rentabilité plutôt déjà sympathique quitte à ce que la croissance du dividende soit un peu plus faible ? C’est un débat qui anime les investisseurs.

Il y a vraiment 2 camps. Donc, il y a vraiment celui qui va te dire : « Je m’en fous de partir d’une rentabilité à 0,5% – 1% et quelque, tant que le dividende, il augmente de façon très forte année après année ». Et tu as ceux qui, plutôt comme moi, vont te dire : « Le rendement de départ est extrêmement important même si l’augmentation de ce dividende au fil des années est plutôt tempérée ».

Alors, qu’en est-il ? On va en parler un petit peu dans cette vidéo. Il y a une chose qui est sûre, c’est que : on veut tous que le dividende, il augmente dans le temps. Pour ça, il y a 2 métriques : il y a, en effet, la rentabilité à laquelle tu achètes ton action. Si tu achètes à une rentabilité de 1% – 5% ou 10%, ce n’est pas du tout le même résultat à la fin pour ton capital investi. Et tu as également le deuxième paramètre qui, en effet, est le taux de croissance de l’augmentation de ce dividende.

En effet, une augmentation de 30% par an, ou de 2% par an, tu le vois très bien sur ton salaire par exemple, ce n’est pas du tout la même chose en termes de résultat.

Donc, il y a 2 métriques très importantes, la première, on la maîtrise, c’est la rentabilité, donc, c’est un dividende sur un prix d’achat, donc, c’est ce qu’on achète, c’est maîtrisable. Par contre, ce qui est un petit peu moins maîtrisable, c’est, en effet, le taux de croissance de ce dividende.

Et c’est pour ça qu’on va généralement regarder sur les 5 dernières années, voire les 10 dernières années, quelle a été la moyenne d’augmentation du dividende pour l’entreprise pour qu’on se fasse une petite idée, est-ce que cette entreprise augmente rapidement son dividende ou non.

Mais, en tout cas, ce qui est sûr, c’est que ces 2 paramètres sont importants.

Alors, généralement, ce qu’on fait c’est qu’on sort un Excel. Donc, je t’ai préparé ici un Excel devant moi. On prend 2 scénarios : un scénario avec une faible rentabilité à 1% et un taux de croissance à 15%. Et à côté, une rentabilité de base de 4% et un taux de croissance de 5%. Souvent, on tire les traits sur 5 – 10 – 15 – 20 – 30 – 40 ans, et on regarde ce qui se passe et on regarde combien de temps ça met à rattraper l’un et l’autre, qui se tire, laboure, qui gagne, qui passe devant, quand, combien de temps, beaucoup moins d’années, etc…

Je ne vais te faire cette démonstration aujourd’hui puisque je l’ai déjà faite plusieurs fois dans le passé et que ma conclusion elle est assez claire, c’est qu’il vaut mieux commencer par un dividende à une rentabilité très correcte plutôt qu’une très faible rentabilité même si le taux de croissance est élevé.

Mais pour ça, je vais apporter aujourd’hui, une autre démonstration qui est le dividend payback calculator. Qu’est-ce que c’est un dividend payback ? C’est le temps que ça va te prendre en tant qu’investisseur pour récupérer ton capital.

Imaginons : tu as investi 100 $ dans une action. Au bout de combien d’année tu vas récupérer ces 100 $ grâce aux dividendes que tu as perçus. Est-ce que c’est au bout de 3 ans – 5 ans – 10 ans – 15 ans – 20 ans – 30 ans, etc…

Donc, évidemment, ce qui va rentrer en paramètre, en compte dans ce calcul c’est évidemment, comme on a dit, la rentabilité de base à laquelle tu as acheté ton action, donc, le dividend yield en pourcentage et le taux de croissance de ce dividende comme on l’a dit également dans l’intro de la vidéo, c’est-à-dire le dividend growth rate.

Avec ces 2 paramètres-là, tu vas pouvoir déterminer ici combien va être ton payback. C’est-à-dire au bout de combien de temps tu vas récupérer ton capital tout en, évidemment, conservant tes actions. Tes actions, elles sont toujours là, investis sur les marchés. Mais, tu vas récupérer les 100 $, par exemple, que tu avais investi initialement pour acheter ces actions.

C’est très intéressant, c’est comme dans l’immobilier, n’importe quel investissement. La rentabilité, ça veut dire ça, en fait, c’est-à-dire au bout de combien de temps je vais récupérer mon investissement ? Donc, avec une rentabilité de 20%, par exemple au bout de 5 ans, logiquement, tu as récupéré ton capital. Sauf qu’ici on intègre le taux de croissance des dividendes pour potentiellement accélérer finalement cette récupération du capital. Okay ?

Ce que je te propose, c’est qu’on fasse une démonstration très concrète avec ce calculateur et notamment avec différentes entreprises ici que je t’ai ouvert. Alors, il y a beaucoup de gens qui vont adorer, justement du Apple, du Mastercard, surtout Mastercard, ces derniers temps, je le vois beaucoup cette valeur. Où les gens te disent : « Oui, okay, la rentabilité de départ est de 0,57 mais j’ai un taux de croissance, ici, du dividende de 16% par an ».

Donc, c’est très simple. Prenons cette entreprise Mastercard. Mettons là, ici, donc, 0,57 de Yield de départ avec un taux de croissance sur les 5 dernières années, donc, on peut prendre 5 ans – 10 ans, ça dépend mais ça donne déjà une petite idée. Ça nous fait, donc ici, 16,22. Donc, on voit que ça va nous prendre 22 ans pour récupérer finalement notre capital de départ. Donc, c’est quand même globalement élevé mais surtout c’est à comparer à d’autres valeurs.

Donc, par exemple, on va prendre vraiment différents cas de figures. On va prendre Target par exemple ou plutôt même ici UGI, non, je t’en avais une autre, ici : SONOCO, c’est plutôt l’inverse, tu vois, on commence à 3,62. Donc, un rendement plutôt correct, pour certains, pour beaucoup de personnes, c’est même un bon rendement, 3,62. Et on a un taux de croissance qui est de seulement 4,46. Donc, pour certains, c’est plutôt faible. Donc, 4,46, je vais bouger ma caméra. On voit que ça nous prend « que 18 années ».

Donc, même si on a un taux de croissance 4,46, qui est bien inférieur à celui de Mastercard, quasiment 3 – 4 fois plus faible que celui de Mastercard, on se rend compte que le fait qu’on ait commencé avec une rentabilité de 3,62 versus ici 0,57 pour Mastercard, ça nous a fait passer de 22 années à 18 années. Donc, on gagne 4 ans. Donc, on a 4 ans plutôt récupéré notre capital de départ.

Donc, 4 ans, c’est quand même énorme. Ce n’est pas rien, surtout dans l’investissement. Si vous avez 40 ans, en moyenne d’investissement, de positionnement sur les marchés. Je ne sais pas, vous commencez à investir à 30 ans, et à 70 ans, vous arrêtez. C’est l’espérance de vie moyenne d’une personne, finalement, presque, on a couvert, c’est à peu près 40 ans – 50 ans, si vraiment vous commencez le plus tôt possible, que vous allez être positionnés sur les marchés. Donc, 40 ans, c’est 10% du temps. C’est 4 années d’écart. Donc, c’est énorme.

On peut prendre d’autres exemples, on peut vraiment prendre tout plein de cas de figures. Donc, ici, on a un vraiment un exemple un petit peu abusé où on commence à 12,78 et on a un taux de croissance de 14,21. Donc, là, ça va être très rapide. C’est seulement 6 années. Alors, 6 années, on pourrait se dire c’est excellent. Moi, j’aimerais bien récupérer en 6 ans mon capital de départ sauf que là, déjà, elles aient peut-être déjà vu comme moi à 161% de payout ratio, 9 ans seulement, ce qui n’est pas dégueulasse. Que 9 années d’augmentation à la suite du dividende.

Donc, là, il faut regarder, c’est quoi cette entreprise ? C’est une entreprise dans le secteur de l’énergie, c’est une MLP, donc, c’est déjà une typologie d’entreprise un petit peu différente mais il faut faire attention ici à ce genre… Voilà, il faut analyser l’entreprise.

Encore une fois, la conclusion de la vidéo sera évidemment celle-ci : chaque entreprise est unique, il faut analyser chaque entreprise fondamentalement parlant. Et réduire son analyse à seulement le taux de rentabilité et le taux de croissance du dividende, ce serait naturellement une très grosse bêtise. Ça serait bien trop peu.

Mais, on a vu, en tout cas, ici, que ça peut aller très très vite avec genre d’entreprises mais à priori, vous m’avez vu venir, il y a peut-être d’autres risques.

UGI, que je vous ai ouvert ici, on commence à 6,39, donc, très bien 6,39. C’est une très forte rentabilité pour beaucoup d’investisseurs qui se diraient : « Ouais, attention, c’est énorme ». Taux de croissance 7,60%, donc, plutôt très très bien également. Alors, pour certains, là, ça va être l’inverse. Ils vont me dire : « C’est très très faible pour moi ». Encore une fois, chaque investisseur est unique.

Et là, ça nous donne quelque chose, d’à mon avis, très correct, 11 années. Donc, en effet, c’est très correct de récupérer son capital de départ en 11 ans, c’est très bien. On voit qu’on a 36 années d’augmentation du dividende, un payout ratio plutôt confortable de 51%, safe. Donc, là, il faudrait potentiellement analyser cette valeur. Pourquoi ? En tout cas, cette valeur offre ces conditions relativement intéressantes. 6% de départ, 7 – 8% même presque de taux de croissance, 36 ans d’ancienneté et 51%. Là, ça m’intéresse, là, ça m’attire. Je vous invite d’ailleurs, pourquoi pas, à aller faire une analyse fondamentale plus détaillée de cette valeur.

Target, donc, valeur, secteur de biens de consommation courante très défensive. On voit qu’on a 2,65 de départ. Donc, ce n’est ni bien ni nul. Moi, j’aime bien à partir de 4%. Je trouve que ça commence à être intéressante 3,5 – 4%. 2,65 c’est entre les 2 et on a 11,51 de taux de croissance sur les 5 dernières années. Donc, là, ça ne rend plutôt pas dégueu non plus, je pense. 15 années, c’est, on va dire, une belle moyenne. On va dire que c’est une belle moyenne. 55 ans d’augmentation du dividende.

Donc, Target, c’est les supermarchés américains. Si vous ne connaissez pas, voilà, très défensif, ça verse du dividende depuis longtemps. Ce n’est pas prendre un très gros risque que d’aller sur ce genre de valeur. Ça traverse très bien les récessions et 15 années, ce n’est ni bien ni nul. C’est vraiment dans la moyenne, j’ai envie de te dire, d’un investissement.

SONOCO, est-ce qu’on l’a fait ? Je ne sais même plus. Boite que j’aime bien. SONOCO, est-ce que je vous l’ai faite ? Je vous l’ai faite juste après Mastercard.

Et Apple, Apple ce n’est pas forcément le meilleur exemple parce qu’on commence avec 0,54, tout le monde le sait, c’est très faible. Mais, ils n’ont pas pour autant un taux de croissance qui est élevé, 5, c’est vraiment 6%, voilà, ce n’est vraiment pas énorme.

Mastercard, je sais qu’elle est fortement appréciée. Parce que souvent, les gens aiment bien la typologie. Je commence à 0,5 – 1 % de renta et j’ai un taux de croissance de 25%. Mais, voilà, si tu commences à 0,5.

Allez, on va faire ce que les gens adorent par exemple notamment sur Twitter versus ce que moi j’aime. Et on va voir qui a raison.

Donc, les gens sur Twitter aiment beaucoup les 0,5% – 1%. Je vais être gentil avec eux, je vais commencer à 1%, avec un taux, allez, 25%. Ce qui est énorme. Encore une fois, il faut se dire que l’entreprise, elle doit pouvoir être en mesure d’augmenter son dividende de 25% pendant longtemps, sur le long terme, tu vois. Donc, ce n’est pas non plus garanti. Et ça, ça donne 14 années. Okay ?

Moi, j’aime bien allez 4%, je te dis 4 – 4 et demi, on va commencer à 4. On va être pessimiste pour l’analyse. Tu vois, je suis gentil avec les méchants et je suis méchant avec moi-même.

On va commencer avec 4 et taux de croissance, allez, on va être très conservateur : 4% aussi. Franchement je me tire une balle dans le pied, donc, on était à 14 et là, on passe à 18. Donc, là, évidemment, je ne me suis pas fait un cadeau avec ces conditions. Naturellement, 4 c’est plutôt faible. Si je passe à 6 qui est un peu plus cohérent, on est à 16. 4,5 et 6, on est à 14, okay. Et si je suis un peu moins gentil avec les méchants. On va dire que eux commencent donc à 1% mais par contre, ils n’ont plus que 15%. Voilà, c’est 19. Là, c’est beaucoup plus réel.

Je ne sais pas si je ne t’ai pas trop perdu avec ma petite démonstration assez rapide mais en ayant été trop gentil avec les méchants et trop méchant avec moi-même, je me suis fait une contre-démonstration. Mais la réalité était beaucoup trop biaisée. En réalité, si vous faites les chiffres, et on l’a vu, ici, avec des cas comme Mastercard, des Target et compagnie, au final, commencer avec une trop faible rentabilité, même s’il faisait une forte croissance, c’est quasiment perdu d’avance. Ça ne va pas le faire.

Donc, il faut vraiment trouver cet équilibre, encore une fois, je ne dis pas qu’il y a un schéma tout blanc ou tout noir parce que naturellement, chaque entreprise est unique, chaque entreprise décide du taux de croissance de son dividende, peu importe sa rentabilité de base. Donc, on peut vouloir faire dire tout et n’importe quoi à certains chiffres et à certaines entreprises.

Mais, si vous faites ça vraiment sur la loi des séries, vous faites pleins de démonstrations comme ça, vous allez voir que commencer avec une faible rentabilité et même avec un très gros taux de croissance, ça va vous prendre beaucoup de temps d’avoir un payback satisfaisant. Contrairement, avec les entreprises où vous commencez à 4% – 3,5% mais avec un taux de croissance dividende plus faible, donc plus conservateur, vous allez voir vous allez mettre moins d’années à atteindre ce fameux payback.

D’autant plus que, rappelez-vous que, un dividende qui augmente ici, en plus de vous faire avoir un payback plus rapide va probablement vous faire augmenter le cours de l’action puisque si le dividende qui est versé est plus élevé, naturellement, le cours de l’action a également tendance à suivre. Donc, il faut également intégrer ça dans vos calculs.

Voilà les amis ce que je voulais vous dire. Je ne sais pas si cette démonstration va en convaincre plus que d’habitude. Mais je pense que la notion de payback, de combien de temps ça te met à récupérer ton capital est quand même plutôt forte normalement pour comprendre que, encore une fois, mieux vaut verrouiller un Yield de départ correct si vous voulez à la fin avoir une plus grosse performance.

Dites-moi, encore une fois, ce que vous en pensez dans les commentaires ci-dessous. Je sais que cette vidéo ne mettra pas encore une fois d’accord tout le monde. Lisez-bien la barre de la description également. Il y a beaucoup de ressources pour vous aider à investir dans les actions à dividendes.

Partagez cette vidéo à vos amis investisseurs dans les actions à dividende et je vous dis à très très vite pour une prochaine vidéo. Ciao ciao.

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