5 entreprises à 27 ans en AUTOMATIQUE

Salut à tous,

Dans cette seconde tournée avec Maxence (clique ici pour voir l’épisode n°1), nous revenons plus en détails sur les entreprises que possèdent Maxence et sur la façon dont ils les gèrent. En effet, Maxence possède 5 entreprises à 27 ans en automatique et il a réussi à mettre en place une équipe et des systèmes afin de ne pas en être esclave.

5 entreprises à 27 ans en AUTOMATIQUE

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Retranscription de la vidéo :

Raphaël Carteni : Salut à tous. Bienvenue sur cette nouvelle vidéo. On se trouve toujours dans la villa, dans le sud de l’Espagne, dans la salle de cinéma avec Maxence. Mais avant ça, on va s’installer confortablement.

Maxence Chabbert : On va se mettre bien.

Raphaël Carteni : Allez, on se met bien.

Maxence Chabbert : Plutôt bien. Je pense qu’on est pas mal.

Raphaël Carteni : Super. C’est bon, tu es bien?

Maxence Chabbert : Impeccable. 

Raphaël Carteni : Tchin! Santé.

Maxence Chabbert : A la vôtre.

Raphaël Carteni : A la vôtre. Yes. Comment tu vas Maxence?

Maxence Chabbert : La forme.

Raphaël Carteni : Bien installé? C’est bon?

Maxence Chabbert : Franchement, il y a pire.

Raphaël Carteni : Il y a pire. Là, on est royal. 

Maxence Chabbert : Oui, on est bien, on est bien.

Raphaël Carteni : Dans la salle de cinéma. Comme d’habitude, avant qu’on ne commence cette vidéo, n’oubliez pas de cliquer sur le bouton « S’abonner » ci-dessous pour recevoir en avant-première toutes les prochaines vidéos et lisez bien la barre de description puisque j’ai un petit cadeau pour vous, un pack de bienvenue au contenu 100% secret. Maxence, peut-être que certains ont déjà vu la vidéo qu’on a fait avant.

Maxence Chabbert : Oui.

Raphaël Carteni : La première partie. Pour ceux qui n’ont pas vu, allez la voir. Mais est-ce que tu peux te présenter rapidement une nouvelle fois pour tout le monde?

Maxence Chabbert : Oui, bien sûr. Pas de souci. Moi, je m’appelle Maxence, j’ai 27 ans. J’ai commencé ma vie par investir dans l’immobilier, atteindre mon indépendance financière, et une fois que j’ai atteint mon indépendance financière, j’ai créé 3 entreprises. Je fais le tour du monde. Donc là en ce moment, je fais 2 semaines de travail en France, une semaine à l’étranger. Et en même temps, je développe les business. L’idée, c’est vraiment d’exploser les business dans un minimum de temps tout en voyageant, tout en profitant. Et en plus, cette année, je vais créer 2 nouvelles sociétés. 

Raphaël Carteni : Okay. C’est typiquement le sujet de cette vidéo aujourd’hui, comment créer plusieurs entreprises tout en faisant en sorte qu’elles fonctionnent en synergie, se créer une équipe tout en n’étant pas esclave de ces sociétés.

Maxence Chabbert : Oui, ça, c’est vraiment la base. Moi, ma notion, c’est vraiment la liberté.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Et je me dis comment je peux avoir des gros résultats avec l’entreprenariat, les différentes entreprises, tout en étant automatisé, en développant aussi parce que l’idée, c’est pas de développer comme un acharné et l’automatiser, c’est l’automatiser dès le début, continuer à développer et limite automatiser le développement.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Et après, du coup, toujours faire grossir les chiffres d’affaires ou autres.

Raphaël Carteni : Tu supervises dès le début? Tu as tout de suite tes équipes qui viennent…

Maxence Chabbert : Oui, c’est ça.

Raphaël Carteni : Et qui entretiennent les sociétés.

Maxence Chabbert : Oui.

Raphaël Carteni : Combien de sociétés tu as aujourd’hui?

Maxence Chabbert : Là j’en ai 3.

Raphaël Carteni : Trois, tu nous as dit.

Maxence Chabbert : Bientôt 4, ça va être une société qui fait de l’événementiel, et une cinquième qui est secrète et qui fera l’objet d’une…

Raphaël Carteni : Un peu secrète?

Maxence Chabbert : D’une prochaine vidéo.

Raphaël Carteni : On n’en dit pas plus.

Maxence Chabbert : Oui, tout à fait. 

Raphaël Carteni : Tu es jeune. Tu as plusieurs sociétés. Quelle question je pourrais te poser en premier? C’est quoi le secret – grosse question dès le début – 

Maxence Chabbert : Oui?

Raphaël Carteni : Le secret pour faire en sorte que tout tourne en synergie ?

Maxence Chabbert : Okay, ça marche.

Raphaël Carteni : Grosse question.

Maxence Chabbert : Oui, c’est assez complexe. 

Raphaël Carteni : Oui, on va la découper. 

Maxence Chabbert : Oui, c’est ça. L’idée, dans une première phase, c’est d’avoir une idée pour créer. 

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Je pense qu’on va passer un peu cette notion de création d’entreprise.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Je ne sais pas si tu veux qu’on se concentre dessus.

Raphaël Carteni : On va vraiment parler un petit peu de fonctionnement de l’intérieur. Toi, tu as des entreprises qui fonctionnent vraiment en synergie, donc qui ont tous un rapport, c’est ça?

Maxence Chabbert : Mais si tu veux, je peux commencer à présenter les différentes entreprises.

Raphaël Carteni : Allez, pourquoi pas?

Maxence Chabbert : Alors, moi, j’ai 3 entreprises dans le domaine de l’immobilier, toujours. J’ai une agence immobilière qui fait de l’investissement immobilier clés en mains en assurant les rentabilités.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Donc voilà, l’objectif c’est que ce soit hyper rentable et que les investisseurs qui mettent des sous au travers de mon agence gagnent de l’argent aussi. La deuxième, c’est une société d’aménagement intérieur et d’agencement. Donc l’idée c’est vraiment dans l’esprit de faire du « clés en mains ». L’idée c’est vraiment de superviser toute l’opération d’investissement. Donc ma première agence trouve un bien immobilier rentable. J’ai ma sœur que j’ai mise dans le courtage financier.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Elle trouve des financements pour ses clients. J’ai un ami qui a une société de travaux de rénovation qui va faire les travaux. Et juste après, il y a ma société d’aménagement intérieur qui va venir meubler l’appartement jusqu’à la petite cuillère. Et l’idée c’est une fois qu’on rend les clés à l’investisseur, tout soit bon et il peut accueillir le premier locataire. Donc voilà, il y a cette deuxième société qui vient un petit peu en relation avec l’agence immobilière pour compléter un petit peu cette offre de clés en mains. Et troisième société, là je fais du conseil sur Internet.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Donc un peu comme toi avec une chaîne YouTube, une page Facebook, je n’ai pas de blog. Mais voilà, je fais des conseils, je fais de l’accompagnement, soit des formations vidéos, soit de l’accompagnement présentiel. Donc voilà, l’idée, c’est vraiment de tout tourner autour de l’immobilier. 

Raphaël Carteni : C’est ça. Le dénominateur commun, c’est vraiment l’immobilier aujourd’hui.

Maxence Chabbert : Voilà.

Raphaël Carteni : Est-ce que c’est un hasard? Est-ce que c’est voulu? Est-ce que c’est simplement parce que c’est ta passion ou est-ce qu’il y a vraiment une petite idée derrière la tête?

Maxence Chabbert : Je pense que c’est venu tout naturellement. Si vous avez vu la dernière vidéo, vous le savez. J’ai commencé à investir assez rapidement dans l’immobilier.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Et je me suis vraiment pris de passion pour l’immobilier. Et du coup, c’était quelque chose qui était totalement inconnu avant, et je suis rentré dedans, j’ai adoré et je me suis dit: « Voilà, j’ai réussi à gagner un peu d’argent avec l’immobilier, pourquoi pas faire profiter d’autres personnes? »

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Et puis j’adore faire des transactions, dénicher la bonne affaire, vraiment toute cette notion d’investissement immobilier, j’adore. Donc ce n’est pas forcément calculé, on va dire, c’est une passion, ça rémunère bien, et tout le monde est content au final.

Raphaël Carteni : C’est ça. Parce qu’aujourd’hui toutes tes sociétés sont connectées entre elles. On ne va pas parler de fiscalité aujourd’hui dans cette vidéo, mais je suppose qu’il y a des sociétés qui sont connectées entre elles via des holdings.

Maxence Chabbert : Oui.

Raphaël Carteni : Qui permettent de faire circuler les fonds de manière beaucoup plus efficace.

Maxence Chabbert : Voilà.

Raphaël Carteni : Et créer moins de charges etc.

Maxence Chabbert : Exactement. Oui, en fait, c’est ma société d’aménagement intérieur qui est la plus vieille, elle a un an. J’ai fait le premier bilan cette année. Donc en fait, voilà, c’était même pas il y a un an que j’ai créé les 3 sociétés, la première a un an et j’en crée de nouvelles. L’agence immobilière, par exemple, a 9 mois. Et l’idée, c’était que j’avais commencé par cette petite société d’aménagement intérieur parce qu’il y avait une très forte demande. Et progressivement, elle est venue détenir des parts de ma société Internet, de mon agence, bientôt de ma société de conférence, d’événementiel, et de la société secrète.

Raphaël Carteni : Qui va arriver prochainement. Ce qui te permet en fait de faire des charges, de faire des prêts…

Maxence Chabbert : Exactement.

Raphaël Carteni : D’amortir certaines choses, certaines sociétés.

Maxence Chabbert : C’est ça. En fait, c’est sur cette société mère que j’ai mes revenus. Mes salaires, je me les tire que sur cette société. Les autres, si elles font du bénéfice, ça permet de faire des flux un petit peu dans tous les sens. Ça, ça me permet de maitriser un petit peu tout ça, c’est plutôt intéressant.

Raphaël Carteni : Okay. Donc est-ce qu’aujourd’hui, toi tu penses que si dans sa vie d’entrepreneur ou d’investisseur, on a un gros poste de dépenses, est-ce que tu penses que ça peut être intéressant de créer une société autour de ce poste de dépenses pour finalement faire les dépenses dans une de ces sociétés qu’on détient? Je ne sais pas si j’ai été clair ou pas.

Maxence Chabbert : Quels types de dépenses par exemple?

Raphaël Carteni : Je ne sais pas. Par exemple, dans l’immobilier on parle de … si on fait beaucoup de travaux, créer une société autour des travaux.

Maxence Chabbert : Genre une société de travaux ? Alors, j’ai eu la question qui s’est posée, parce que nous, là, on fait beaucoup d’investisseurs en ce moment. On a 4 chantiers en cours.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Donc on fait quand même du volume. Ce sont des chantiers qui sont à plus de 50 000€ de travaux. Et même en faisant ça, je ne pense pas, parce qu’après, c’est vraiment une activité à part entière. Moi, je suis vraiment dans l’esprit: le minimum de risques, le minimum de capital de départ pour un maximum de bénéfices.

Raphaël Carteni : D’accord.

Maxence Chabbert : Et les travaux, je pense que c’est lourd, parce que tu as tout ce qui est assurances décennales ou autres.

Raphaël Carteni : C’est clair.

Maxence Chabbert : Tu as tout ce qui est responsabilité après les travaux. Donc si par exemple, tu sous-traites à quelqu’un, que dans 6 mois, il y a un problème, que tu essaies de retrouver cette personne qui a fait les travaux, mais qu’il a mis la clé sous la porte… Enfin, tu vois? Ça va être trop de problèmes. Moi, l’idée, c’est vraiment d’être dans la liberté d’esprit aussi, de dire: « Voilà, je suis cool ». Je sais qu’un investissement rentable, je vais lui trouver… on va lui faire du « clé en mains », ce n’est pas moi qui sera responsable des travaux, parce que c’est la seule partie qui est vraiment importante. Après, l’exploitation se passera bien. Il n’y a pas de soucis. Donc c’est vraiment l’idée d’avoir aussi quelque chose qui permet d’avoir une liberté d’esprit quoi.

Raphaël Carteni : Okay, oui, je vois.

Maxence Chabbert : Et un minimum de coût, parce que ça coûte quand même très cher d’avoir une société de travaux.

Raphaël Carteni : Oui oui. Ce n’est peut-être pas le bon exemple pour le coup.

Maxence Chabbert : Oui.

Raphaël Carteni : Oui. 

Maxence Chabbert : Et à l’inverse, tu vois, on a parlé aussi de la société d’ameublement parce que c’est vrai que j’ai ça. Mais c’est pareil. Ça dépend du volume. C’est vrai que s’il y a beaucoup de volume, ça peut être intéressant, surtout que nous, grâce à ça, on peut faire financer les meubles par la banque. Donc c’est là où ça peut être un peu stratégique. Après, il faut se dire qu’une société, il y a quand même un minimum de coût.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Suivant la société qu’on va faire, il y a l’expert-comptable… Voilà, il y a tout un tas de coûts, même à la constitution, il y a des coûts, si on doit faire un type de statut, des statuts spécifiques.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Exactement. Donc voilà. En fait, c’est plus un calcul à faire. C’est à vous d’analyser à partir de quand je ferai assez de bénéfices pour engendrer tous ces coûts et toujours faire du bénéfice en société.

Raphaël Carteni : Okay. Donc ça dépend et du volume et du secteur d’activité si on résume.

Maxence Chabbert : Exactement.

Raphaël Carteni : Okay. Avoir des sociétés, ça veut dire… Voilà, tu as plusieurs sociétés, je ne pense pas que tu es tout seul à tout gérer. On est d’accord ou pas?

Maxence Chabbert : Exactement, c’est tout à fait ça.

Raphaël Carteni : Donc ça veut dire avoir une équipe qui est là à tes côtés, qui t’accompagne.

Maxence Chabbert : Oui, tout à fait. 

Raphaël Carteni : Aujourd’hui, combien de personnes tu as autour de toi, qui gravitent de façon régulière ou même ponctuelle pour t’aider dans tes activités?

Maxence Chabbert : Okay, alors sur ma société Internet, il y a 3 personnes qui bossent pour moi.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Alors, il faut savoir que soit j’ai des prestataires, soit des associés.

Raphaël Carteni : Cool.

Maxence Chabbert : Aucun salarié. Toujours pour avoir cette tranquillité d’esprit.

Raphaël Carteni : C’est en France oui.

Maxence Chabbert : Voilà, tu vois en France, il y a cette loi du travail qui est quand même très rigide vis-à-vis du patron, et moi je n’avais pas envie d’être dans ce cas de figure. Et en plus, la société tend vers l’entreprenariat.

Raphaël Carteni : C’est ça.

Maxence Chabbert : Chacun devient indépendant.

Raphaël Carteni : Freelance.

Maxence Chabbert : Exactement, du freelance. Et du coup, il faut savoir que je n’ai aucun salarié, j’ai 3 prestataires pour Internet, donc que ce soit pour les vidéos, pour la communication, pour tout ce genre de choses, pour le marketing.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Dans l’agence immobilière, j’ai un associé qui gère tout ce qui est chiffres. Vraiment, lui, il est très procédurier.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Moi, je suis un peu plus dans l’idée. J’adore en fait avoir une idée, trouver un associé avec qui on se complète bien. Moi j’apporte l’idée, je mets le concept en place, et lui, il vient assurer et le développer.

Raphaël Carteni : Okay, il fait en sorte que ça se passe bien.

Maxence Chabbert : Voilà, exactement. Et après, au sein de l’agence, on est en pleine phase de recrutement. Donc ça fait quelques semaines qu’on a commencé, on a déjà embauché 2 personnes, toujours agent commercial, donc indépendant.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Et donc l’idée c’est d’en avoir une vingtaine à peu près d’ici la fin de l’année, au sein de l’agence, agent commercial du coup. Et pour l’agence d’ameublement, j’ai 2 prestataires aussi qui sont là-dedans.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Donc grosso modo, ça fait 8 personnes.

Raphaël Carteni : 8 personnes qui bossent avec toi? 

Maxence Chabbert : C’est ça. 

Raphaël Carteni : Alors, grosse question du coup: est-ce que ce n’est pas compliqué d’avoir des gens qui gravitent autour de toi parce que forcément avoir une équipe, ça veut dire un petit peu donner des responsabilités.

Maxence Chabbert : Oui.

Raphaël Carteni : Perdre un petit peu le contrôle vis à vis de ce qu’on a, et peut-être donner accès à certaines choses à des personnes.

Maxence Chabbert : Oui.

Raphaël Carteni : Est-ce que c’est quelque chose de compliqué ça ou pas?

Maxence Chabbert : Ça dépend de comment on les rémunère. Est-ce que c’est à la commission?

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Comme un indépendant. Ou est-ce que c’est un salarié et c’est au salaire ? On va dire qu’une personne qui est salariée, il aura moins d’enjeux à travailler plus ou à travailler très efficacement.

Raphaël Carteni : Il sait ce qu’il va avoir à la fin du mois.

Maxence Chabbert : Voilà. Il sait qu’à la fin du mois, il va avoir quelque chose, il va gagner quelque chose. Il a son salaire fixe quoi. Il n’est plus en période d’essai. Il peut se dire en France, il est limite « intouchable ». Et c’est là où ça devient la problématique. C’est pour ça que tous mes agents commerciaux indépendants sont payés à la com’. Ils sont très bien payés à la com’ parce que je me dis: Plus ils vont vendre, plus eux ils vont gagner de l’argent, plus moi je gagne de l’argent et tout le monde sera content. Et l’idée, c’est que voilà, ils vont voir qu’ils vont gagner plus d’argent donc ils vont bosser plus. Et en plus, d’ailleurs si je peux rebondir…

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Ces personnes ont vraiment l’esprit de développer l’entreprise en automatique, je vais les rémunérer à chaque fois qu’ils trouvent de nouvelles personnes qu’ils embauchent eux, à leur tour.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Et sur toutes les ventes des personnes qu’ils vont embaucher, en fait. Donc en gros, moi je vais former une vingtaine de chasseurs cette année, mais l’idée c’est que moi, personnellement, je m’arrête à ce niveau-là, et que ce sont ces 20 chasseurs qui recrutent chacun à leur tour plusieurs chasseurs.

Raphaël Carteni : Ils vont également les former?

Maxence Chabbert : Exactement. Et l’idée, c’est qu’ils les forment, et comme ça, ils ont une rétrocommission sur tout ce que leurs chasseurs vendent. 

Raphaël Carteni : Donc ils peuvent avoir en fait un niveau de revenus « quasi-illimités »?

Maxence Chabbert : Exactement.

Raphaël Carteni : Plus ils travaillent et plus ils ont d’oseille, et c’est pas capé.

Maxence Chabbert : Et c’est là où c’est hyper intéressant, surtout si on a envie de développer en automatique, c’est vraiment d’inciter les personnes à travailler plus 

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Et à recruter plus aussi. Et en fait, ça permet de responsabiliser tout le monde, et que ces personnes aient un retour sur l’investissement personnel qu’ils vont mettre au sein de l’entreprise. 

Raphaël Carteni : Okay, oui, je vois. Du coup, selon toi, quel serait le « secret », pour revenir à ma question de base qui était très très large, mais un tip, un conseil pour faire en sorte pour bien déléguer que ce soit dans une entreprise ou quoi que ce soit dans la vie? Quelle est la chose qu’on doit regarder, chaque personne qu’on recrute, la qualité qu’elle doit avoir, le point où on doit faire attention pour bien déléguer.

Maxence Chabbert : Okay. Déjà, il faut qu’elle connaisse ce qu’elle doit faire puisqu’il y a beaucoup de personnes, genre par exemple mon activité Internet, montage vidéo, il y en a qui voulaient travailler pour moi parce qu’ils voulaient qu’on discute ou des choses comme ça. Et du coup, ils n’avaient aucune compétence. Donc déjà…

Raphaël Carteni : Se rapprocher de toi seulement?

Maxence Chabbert : Voilà, c’est ça. C’était plus se rapprocher de moi pour que je leur donne des conseils en investissement immo. Ce n’était pas forcément parce qu’ils avaient une expertise là-dedans. Donc première, c’est compétences et expertise dans le domaine choisi. Deuxième, je pense que c’est le feeling. Moi, il y a aucune personne avec qui je bosse qui n’est pas ou qui ne pourrait pas être mon ami. Tu vois?

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : A chaque fois, l’idée, c’est que ça se passe bien pour qu’il n’y ait aucun sous-entendu, aucun malentendu, rien, parce que si tout de suite il y a déjà un feeling qui ne passe pas trop, le moindre petit truc, ça va péter.

Raphaël Carteni : La friction, c’est pas bien, okay. 

Maxence Chabbert : Oui c’est ça. Et troisièmement, c’est la vision qu’il a. Est-ce qu’il a envie d’être en mode pépère comme un salarié classique, ce que je ne dénigre pas du tout.

Raphaël Carteni : Bien sûr.

Maxence Chabbert : Il y en a qui adorent. Je respecte tout à fait. Ou à l’inverse, est-ce qu’il a vraiment des ambitions qui sont assez élevées ? Et s’ils ont des ambitions de gagner plus, avoir un lifestyle meilleur, des choses comme ça, alors pour moi, c’est le trio gagnant quoi. Compétences… Voilà. Tout ça, je trouve que c’est vraiment top.

Raphaël Carteni : Du coup, je rebondis sur la troisième qualité que tu viens de dire, le côté un petit peu ambition, le côté aller plus loin, ça rejoint peut-être le métier d’entrepreneur. Est-ce que finalement tu n’as pas peur que cette personne-là elle parte voler de ses propres ailes, surtout qu’elle peut te voir vivre un lifestyle, parce que tu aimes bien voyager ou des choses comme ça, que cette personne finalement tu l’aies formée, qu’elle ait fait des choses, mais que finalement elle se dise: « Je vais aller entreprendre moi-même plutôt que pour quelqu’un d’autre »? Encore une fois cette fameuse réplique.

Maxence Chabbert : Oui, je comprends. Alors, je ne pense pas. 

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Parce que les personnes qui… Je vais prendre l’exemple de mon agence immo qui est la plus parlante pour ce sujet-là. Les personnes que je vais recruter, déjà on leur délègue la carteté, chose que à laquelle elles n’ont pas toujours accès. Donc déjà, il y a une certaine maitrise à ce niveau-là. Et ensuite, c’est qu’elles ont tous les avantages de l’entrepreneur sans les inconvénients. Elles n’ont pas tous les problèmes de paperasses…

Raphaël Carteni : Les risques financiers.

Maxence Chabbert : Voilà. Les risques, c’est nous qui les prenons. Elles, ce qu’on leur donne, c’est toute la liberté d’un entrepreneur sans les inconvénients.

Raphaël Carteni : Et ce n’est pas rien.

Maxence Chabbert : Et ce n’est pas rien. Et c’est un sacré luxe. Honnêtement, je trouve que c’est vraiment cool. Et d’ailleurs, les personnes qui bossent pour moi, je les salue ici si elles voient cette vidéo, mais je sais qu’elles kiffent parce que elles, ce qu’elles vont faire toute la journée, c’est trouver de bonnes affaires, elles ne vont penser qu’à ça. Elles ne vont pas penser à tout ce qu’il y a… Donc peut-être qu’elles vont partir, mais ce n’est pas grave parce que je sais que je trouverai d’autres personnes, et je serai content d’avoir pu les faire évoluer.

Raphaël Carteni : Oui, c’est aussi une grosse fierté pour toi.

Maxence Chabbert : Voilà, ce sera une fierté et je ne pense pas qu’elles partiront tout de suite parce qu’en plus si elles commencent à recruter et qu’elles partent, elles perdent tout ça quoi. Donc tu vois, tout le boulot qu’elles sont aussi en train de mettre de leur côté, elles vont le perdre.

Raphaël Carteni : Ce qui serait dommage. 
Maxence Chabbert : Ce qui serait carrément dommage. 

Raphaël Carteni : Okay. 

Maxence Chabbert : Donc c’est vraiment cet esprit de se dire: « Voilà, il faut trouver le meilleur pour ses prestataires, pour ses partenaires, avec le minimum d’inconvénients pour qu’ils puissent rester le maximum de temps ».

Raphaël Carteni : Okay. Jusqu’où tu te vois aller? En termes de personnes auprès de qui tu délègues des tâches, d’une équipe à construire. Jusqu’où tu te vois aller?

Maxence Chabbert : Honnêtement, c’est une question assez difficile puisque je ne sais pas.

Raphaël Carteni : Tu ne sais pas?

Maxence Chabbert : Tout dépendra des besoins en fait.

Raphaël Carteni : Oui, c’est ça.

Maxence Chabbert : Vu que j’aimerais arriver assez loin. J’ai quand même de grandes ambitions puisque je suis parti de très bas. Je me dis: « On verra ». Là tu m’aurais dit il y a 2 mois: « Est-ce que tu vas recruter 20 personnes? – Non ».

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : A un moment, j’ai une idée, je me dis: « Tiens, je peux faire comme ça ». Puisqu’à l’époque, j’étais câblé différemment, je ne savais pas comment je pouvais bien recruter 20 personnes et les inciter à ce qu’elles recrutent. Et vu que j’ai trouvé le truc, je me suis dit: « Je vais recruter 20 personnes.

Raphaël Carteni : Puis, les entrepreneurs implémentent vite. Donc si ça se trouve que demain tu vas avoir l’idée et tu vas vite…

Maxence Chabbert : C’est ça.

Raphaël Carteni : Avoir besoin de quelqu’un. Okay. Est-ce que les gens avec qui tu bosses, ton équipe, t’apprécient ou pas? Question bizarre.

Maxence Chabbert : Question bizarre. J’espère, j’espère. Je fais tout pour, parce que j’essaie de me rendre un maximum disponible, j’essaie d’être le plus simple et le plus sérieux possible.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Et surtout le plus honnête. Mon objectif, c’est vraiment d’être le max honnête. Comme par exemple, tu vois, typiquement, mes premiers chasseurs que j’ai recrutés, j’avais des clients investisseurs, et je leur ai donné gratuitement pour qu’ils puissent se former. J’aurais très bien pu dire: « Non, on fait 50-50 pour ta coll’ »

Raphaël Carteni : Oui, oui.

Maxence Chabbert : C’est quand même 8000€. Donc j’avais très bien pu leur dire: « Voilà, on fait 50-50 parce que je t’ai ramené le client, tu as trouvé le bien ». Mais non, moi, mon esprit, ce n’est pas ça. C’est vraiment d’être le plus honnête possible et le plus arrangeant aussi. Une personne qui me dit: « Si je rentre avec toi, j’ai envie de bosser deux semaines et partir une semaine en vacances comme moi ». Je dis: « Il y a pas de problème. Si en deux semaines, tu arrives à faire ton taf, t’arrives à bien vivre ». 

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Moi, dans tous les cas, c’est vrai que j’ai pas besoin de toi pour vivre, c’est que vu que j’ai pas de frais fixes en fait par rapport à cette personne, c’est pas grave si elle ne vend pas pendant un mois.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Tu vois parce que si à un mois, elle charbonne…

Raphaël Carteni : Elle ne te coûte rien.

Maxence Chabbert : Elle ne me coûte rien en fait.

Raphaël Carteni : Oui.
Maxence Chabbert : Donc c’est pour ça que c’est intéressant aussi d’avoir des indépendants.

Raphaël Carteni : Okay. Donc tu leur donnes des responsabilités. Tu n’es pas trop « casse-couilles »? Tu les laisses vivre?

Maxence Chabbert : Non, non. Tout à fait.

Raphaël Carteni : Tant qu’ils font le taf.

Maxence Chabbert : Exactement. S’ils ont besoin de moi, je suis là, s’ils ont pas besoin de moi, je suis pas là. Je serai pas derrière eux leur disant: « Oui, vas-y, il faut que tu fasses ceci, il faut que tu fasses ça ». Moi, je suis vraiment dans le long terme en me disant: il faut commencer avec la meilleure relation possible pour aller mieux. Et je me dis: « Si j’avais un patron, comment est-ce que j’aimerais qu’il soit? »

Raphaël Carteni : Oui. C’est ça.

Maxence Chabbert : Et je pense que quand tu prends ce problème dans ce sens-là, tu seras automatiquement cool, parce que tu as envie que ton patron soit cool, que la personne qui t’apprend les choses soit cool.

Raphaël Carteni : Avec une bonne relation sans que ça devienne trop peut-être, « je suis ton pote et on fait n’importe quoi ».

Maxence Chabbert : Voilà.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : En fait, c’est ça. Je pense que il y a un temps pour tout. Il y a un temps pour l’amusement, j’adore m’amuser, mais il y a aussi un temps pour le travail et j’aime bien dissocier les deux : fêter dès qu’il y a des fêtes. Là on vient juste de recruter, mais avec mon associé, on a déjà des visions de grosses bringues entre agents immobiliers.

Raphaël Carteni : Pour fêter tout ça.

Maxence Chabbert : Voilà, pour fêter les premières ventes, pour fêter tout ça parce que c’est normal. Je pense que c’est comme ça qu’on avance. J’ai un de mes mentors qui s’appelle Richard Branson.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Et il est exactement comme ça. Il a plein de sociétés, il a beaucoup d’associés, il fait tout pour que les personnes soient aussi indépendantes et qu’elles volent de leurs propres ailes, et du coup fassent voler la boite, et en même temps, il sait faire la fête quand il faut faire la fête, quand il faut féliciter les gens. Et je trouve ça vraiment hyper intéressant quoi.

Raphaël Carteni : Oui, très très bon cet entrepreneur. Je pense que vous connaissez ou si vous ne connaissez pas. Il a une biographie, il me semble qui est très très bonne.

Maxence Chabbert : Oui, oui, il y a eu déjà 2-3 fois puisqu’il est vraiment hyper puissant.

Raphaël Carteni : Oui. Tu recommandes?

Maxence Chabbert : Oui, je le recommande les yeux fermés. Moi, personnellement, il me parle, donc je le recommande les yeux fermés.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Voilà.

Raphaël Carteni : Pour conclure cette vidéo, où est-ce qu’on peut te retrouver?

Maxence Chabbert : Maxence Chabbert sur YouTube donc on va parler exclusivement d’investissement immobilier rentable, donc on gagne de l’argent. Facebook aussi: Maxence Chabbert. Vous allez me trouver assez facilement.

Raphaël Carteni : Oui. 

Maxence Chabbert : Et voilà.

Raphaël Carteni : Je mettrai tout en dessous. Egalement Maxence, parle-nous en quelques mots de ce que tu proposes en termes d’accompagnement, de formation, puisque tu fais de la formation pour accompagner des jeunes investisseurs à investir dans l’immobilier avec succès. Est-ce que tu peux nous en dire 2-3 mots?

Maxence Chabbert : Oui, carrément. Donc, en fait, j’ai 2 programmes: le programme Investisseur Libre dont on a déjà parlé dans l’ancienne vidéo.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : C’est un programme qui va t’aider à partir soit de zéro, même pas forcément de zéro – il y a des personnes qui ont déjà 500 000 de patrimoine qui suivent ce programme et qui trouvent aussi des tips, parce que je pense qu’on apprend tout le temps et que c’est intéressant aussi. Et l’idée, c’est vraiment d’exploser son parc immobilier tout en l’automatisant pour devenir libre. Toujours cette notion de liberté qui fait que tu vas investir stratégiquement par les bonnes manières dans des niches qui sont très rentables et qui vont te permettre de devenir libre rapidement. Moi je l’ai été en 24 mois. Mon objectif, c’est que tous les participants le soient aussi en 24 mois. Donc on va voir tous les types de stratégies, on va voir comment trouver un financement, comment trouver une bonne affaire, aller dans les détails, 50 heures de formation, 14 modules. Donc c’est vraiment une très très grosse formation.

Raphaël Carteni : C’est fat. Il y a du gros contenu.

Maxence Chabbert : Oui.

Raphaël Carteni : Okay, je mettrai tout dans la barre de description en tout cas. Maxence, merci à toi pour cette vidéo.

Maxence Chabbert : Merci à toi.

Raphaël Carteni : Merci. Et puis, si vous avez aimé la vidéo, petit pouce bleu en l’air, commentaire ci-dessous s’il y a des questions et partagez la vidéo à ceux qui aimeraient bien la voir. A très très vite.

Maxence Chabbert : Ciao

Raphaël Carteni : Ciao ciao. 

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