Viré du lycée à 15 ans, Rentier à 24 ans

Salut à tous,

Dans cette nouvelle vidéo, je suis ravi de vous présenter Maxence car il a globalement la même vision que moi : entreprendre et investir dans l’objectif de se créer de la liberté et non pas d’être l’esclave de ses entreprises.

Dans cette première vidéo, nous faisons un petit point sur le parcours immobilier de Maxence et de comment il est passé de viré du lycée à 15 ans à rentier à 24 ans !

Regarder l’épisode n°2

Viré du lycée à 15 ans, Rentier à 24 ans

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Retranscription de la vidéo :

Raphaël Carteni : Salut à tous. Bienvenue sur cette nouvelle vidéo. Je me trouve aujourd’hui en direct du sud de l’Espagne, à Grenade dans une petite villa bien sympathique. Je vais vous présenter un invité très sympathique également, juste après. Mais avant tout ça, comme d’habitude, cliquez bien sur le bouton « S’abonner » ci-dessous pour recevoir en avant-première toutes les prochaines vidéos, et lisez bien la barre de description puisque j’ai un petit cadeau pour vous. Il s’agit d’un pack de bienvenue au contenu 100% secret que vous allez pouvoir récupérer tout de suite. Maxence, salut!

Maxence Chabbert : Salut Raphaël.

Raphaël Carteni : Comment tu vas?

Maxence Chabbert : Ça va tranquille. Et toi?

Raphaël Carteni : Super super! Est-ce que tu peux te présenter rapidement pour tous ceux qui nous regardent aujourd’hui? C’est la première fois que tu interviens sur la chaîne YouTube.

Maxence Chabbert : Oui.

Raphaël Carteni : Est-ce que tu peux nous dire qui tu es?

Maxence Chabbert : Okay. Moi, c’est Maxence Chabbert, j’ai 27 ans. J’ai commencé par investir dans l’immobilier, et après, j’ai atteint mon indépendance rapidement. J’ai créé 3 entreprises cette dernière année. Cette année, je suis en train d’en créer 2 nouvelles. Tout tourne autour de l’immobilier au sens général, investissements immobiliers, agences immobilières, conseils, ameublement, agencement, tout tourne autour de ça. Et en parallèle, je suis un peu comme toi, je voyage un peu aux quatre coins de la planète puisque j’adore ça, donc le but c’est vraiment d’allier tout ça, immobilier, business, voyages, un peu comme toi.

Raphaël Carteni : Yes. Donc là-dessus, on se comprend bien.

Maxence Chabbert : Oui, tout à fait.

Raphaël Carteni : Vous avez bien compris l’âge de Maxence, 27 ans, et il a déjà fait tout ça, c’est un truc de fou. Donc est-ce que tu peux nous dire comment tu es tombé dans l’immobilier? Est-ce que tu avais ta famille dedans et c’est pour ça que tu es aussi impliqué dans l’immobilier ? Ou est-ce que c’est un pur hasard?

Maxence Chabbert : Alors, non, non. C’est un pur hasard. En fait, mes parents n’ont rien à voir là-dedans. Ils n’ont jamais investi dans l’immobilier, à part, leur maison. Le truc classique. Personne de ma famille, personne de mon entourage, personne du tout. Mais en fait, je suis arrivé dans l’immobilier un peu par hasard à 15 ans. A l’école en fait ça se passait mal, je me faisais virer à chaque fois de nombreux établissements.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : En 2 ans, j’avais fait 5 établissements à cause du comportement.

Raphaël Carteni : Tu es turbulent.

Maxence Chabbert : C’est ça. Mais je n’étais pas adapté au système scolaire. Ce n’est pas parce que j’avais de mauvaises notes mais vraiment parce que je foutais le bordel.
Raphaël Carteni : Oui. 

Maxence Chabbert : Du coup, j’ai eu une dérogation à 15 ans pour commencer à travailler dans le bâtiment. Je n’avais même pas 16 ans, du coup, c’est le lycée qui ne me voulait plus, on m’a dit : « Casse-toi », en gros…

Raphaël Carteni : Ah oui?

Maxence Chabbert : « Une dérogation et tu finis l’année dans une boîte de bâtiment. Et j’ai commencé à travailler en tant que maçon, à 15 ans, sur les chantiers.

Raphaël Carteni : A 15 ans.

Maxence Chabbert : Sur les chantiers oui.

Raphaël Carteni : Donc à ce moment-là, comment tu étais dans ta tête avec le bazar? A 15 ans, tu te retrouves sur les chantiers, tu te fais virer.

Maxence Chabbert : Oui. C’est ça. En fait, je suis passé d’un mode où tu étais en mode cool.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Tu arrivais en cours, c’était ton quotidien – à un endroit où tu devais bûcher comme un acharné.

Raphaël Carteni : C’est ça.

Maxence Chabbert : Faire des heures de malade, travailler pendant que c’était la canicule.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Pas d’intempéries du tout, donc c’était vraiment les deux opposés, et là, ça m’a mis une bonne petite claque, ça m’a remis droit.

Raphaël Carteni : Tu m’étonnes. Qu’est-ce que ça t’a appris du coup?

Maxence Chabbert : La rigueur.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Je pense que ça, ça m’a vraiment… Avant, j’étais vraiment … et le chantier c’était vraiment la rigueur, parce qu’au début, je faisais un peu le malin. Tu te fais remballer 2-3 fois, après, tu te fais éclater, après c’est bon, tu files droit, du coup. Je pense que ça m’a appris une certaine rigueur quand même le bâtiment.

Raphaël Carteni : Okay. Et c’était grâce au bâtiment, du coup, que tu as découvert l’immobilier ou pas?

Maxence Chabbert : En fait, non. Je construisais des immeubles avec mon entreprise, mais je n’étais pas du tout intéressé à l’immobilier. C’était juste à 21 ans – parce qu’en fait, de 15 à 21 ans je faisais plein de formations en apprentissage.

Raphaël Carteni : Okay. 

Maxence Chabbert : CAP, Brevet professionnel, Bac Pro, BTS, tout un apprentissage. Et une fois que j’ai eu le CDI, c’est là où j’ai vu l’équipe, je me suis dit: « Ce n’est pas possible, je ne veux pas faire 40 piges comme ça ». J’avais 21 ans, je voyais les gars, ils avaient genre, 50 ans, ils disaient : « Trop bien, plus que 7 ans avant la retraite ».

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Ils avaient l’air d’en avoir 70, ils avaient vraiment ramassé. Et je me suis dit: « Non, laisse tomber, ce n’est pas pour moi ». 

Raphaël Carteni : C’est chaud. Oui, c’est clair.

Maxence Chabbert : Du coup, à partir de ce moment-là, j’ai eu mon CDI et je me suis dit: « Il faut que je me trouve une façon de gagner de l’argent ». J’ai vu un pote, il m’a dit: « Oui, apparemment tu peux acheter des apparts, tu peux acheter des parkings, tu peux acheter des lots commerciaux, tu les loues, tu gagnes de l’argent ».

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : « Et tu t’enrichis comme ça ». Je dis: « Non, ce n’est pas aussi si simple, ce n’est pas possible ». 

Raphaël Carteni : Tu n’y croyais pas?

Maxence Chabbert : Non, non, non. Moi j’avais 700€ sur le compte quoi, je me disais : « L’immobilier, c’est pour les riches. C’est pas possible. Je n’ai pas de thune ». Et après, petit à petit, en me formant… En fait, je me suis formé pendant un an, de mes 21 ans à mes 22 ans sur l’immobilier, donc j’ai bouffé du contenu, bouffé du contenu, moi qui étais très fêtard, je ne sortais plus les week-ends ni les soirées.

Raphaël Carteni : Oui, oui.

Maxence Chabbert : J’étais acharné, je me suis dit : « Focus, il faut que j’y arrive ».

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Et après, à 22 ans, j’ai commencé à acheter mon premier appartement.

Raphaël Carteni : Donc à 22 ans, tu vas voir la banque avec 700€ sur le compte ?

Maxence Chabbert : Oui, c’est ça. Tout à fait. Au fait, j’étais prêt à voir la banque au début, parce que j’étais confiant. Je voyais sur les formations : « Acheter sans apport, c’est easy »

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Mais on ne disait pas : « Acheter sans argent ». Moi, j’avais confondu apport avec argent.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Tu vois la nuance. Et du coup, je m’étais dit : « C’est easy ». Donc ce que j’ai fait, j’ai trouvé une bonne affaire, je me suis positionné dessus, ça a été accepté, et je suis allé voir la première banque et je m’étais dit : « C’est bon sans apport, c’est tranquille ». Et là, non.

Raphaël Carteni : Refus ?

Maxence Chabbert : Premier refus direct.

Raphaël Carteni : Grosse claque.

Maxence Chabbert : Non, ce n’est pas possible quoi. Grosse claque. Deuxième banque, refus, troisième banque, refus, quatrième banque, refus. Je me suis dit : « Ce n’est pas possible quoi. Dans les vidéos, on me dit que c’est possible et moi je n’arrive pas à comprendre. Qu’est-ce qui se passe ? » Après, je me suis dit : « Comment est-ce que je peux faire ? » A chaque fois que j’avais un refus, je demandais au banquier : « Comment est-ce que je peux faire ? Qu’est-ce qui avait fait que ça aurait switché ? »

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : « Qu’est-ce qui avait pesé dans la balance pour que vous puissiez me dire oui dans la négo ? » Et progressivement, j’avais enchéri mon dossier bancaire jusqu’à arriver à un oui. C’était au bout de la sixième, la septième, j’ai arrêté de compter…

Raphaël Carteni : Tellement il y en avait.

Maxence Chabbert : Oui, même trop. Et j’ai eu un oui, et là c’était parti, et l’immobilier.

Raphaël Carteni : Pourquoi ce oui ? Qu’est-ce qui s’est passé alors pour avoir le oui ?

Maxence Chabbert : Alors, plusieurs facteurs, c’est une bonne question, plusieurs facteurs qui vont jouer grâce à cet apprentissage. Premièrement, c’était que je voulais parler à un conseiller qui était jeune. Jusqu’à présent, je partais voir les vieux – enfin, du moins on m’imposait les vieux – et du coup, ils ne sont pas dans le même état d’esprit. Je ne dis pas qu’ils sont mauvais. Je dis seulement qu’ils ne comprennent pas.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Dès qu’ils un jeune qui est tout excité, ils vont lui dire…

Raphaël Carteni : Générationnel, oui.

Maxence Chabbert : C’est exactement ça. Tandis que moi je suis parti voir un jeune qui était motivé et qui avait envie d’évoluer, de prendre des risques, un peu comme moi. Du coup, la proximité… Enfin, il y a eu une espèce de compréhension qui s’est instaurée et il a compris tout de suite. Deuxièmement, j’étais beaucoup plus préparé.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Je suis venu avec un dossier hyper conséquent. J’ai dit, tout de suite : « J’ai pas d’apport mais j’ai envie, grâce à ce premier investissement, de créer de l’argent ». Donc voilà, j’avais un dossier qui était vraiment bon. Troisièmement, je m’étais renseigné sur la banque. Ils avaient un pouvoir de délégation au sein de l’agence, et ça, c’était puissant parce que le conseiller en fait, je lui ai bien vendu le dossier. Au lieu qu’il le constitue et qu’il envoie à Paris et qu’à Paris ils traitent les données, ça met rouge comme d’habitude, et après, qu’ils me disent non. Là il m’a dit: « Okay, ton projet, il me plait. Je vais voir mon directeur. Tu as 5 minutes? – Oui. – Okay, je vais voir ». Et il descend 5 minutes après, il me dit: « C’est bon, on accepte ton dossier ».

Raphaël Carteni : Okay. C’était très rapide et personne au-dessus pour choisir.

Maxence Chabbert : Exactement. Et ça, c’est vraiment un bon tips, parce ça fait vraiment gagner beaucoup de temps.

Raphaël Carteni : Okay. Du coup, tu achètes ce bien. Qu’est-ce que t’as acheté rapidement? Qu’est-ce que tu voulais faire comme projet dedans?

Maxence Chabbert : Oui. Alors c’était un T4.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Donc 3 chambres. Au fait, c’était un agencement des années 50: très peu optimisé puisqu’il y avait plein de petites pièces. Tu rentres, petit couloir, petite chambre, petite cuisine, tout petit en fait.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : C’est vraiment pourri. Il n’y en avait pas grand monde qui se positionnait dessus. C’est un appartement qui m’était passé sous le nez. J’avais de bons termes avec le vendeur. Il m’avait rappelé 2 mois après parce que l’opération ne s’était pas faite avec le premier preneur. Et moi, je m’étais dit: « Okay, je vais faire un grand espace de vie », donc c’était une pièce à vivre de 25m² alors qu’avant, c’étaient les pièces de 10-12m², tu vois? Alors même le salon, il faisait 12m². 

Raphaël Carteni : Ah oui?

Maxence Chabbert : Et pour vraiment cibler un coup de cœur, je l’ai refait à neuf.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Et je m’étais dit: l’objectif c’est que les personnes aient vraiment un vrai coup de cœur. Donc vraiment l’optimiser dans cet esprit. J’ai travaillé, j’ai fait une grosse partie des travaux moi-même.

Raphaël Carteni : Je vais te demander.

Maxence Chabbert : Oui.

Raphaël Carteni : Tu as fait les travaux toi-même, je pense parce que tu avais une grosse expérience auparavant.

Maxence Chabbert : Oui. Mais en fait, si tu veux, beaucoup de personnes me disent: « Tu étais dans le bâtiment, c’était facile ». Sauf que je ne savais pas faire la plomberie. D’ailleurs, j’ai essayé de faire la plomberie, j’ai fait un dégât des eaux.

Raphaël Carteni : Ah oui?

Maxence Chabbert : Le bordel. L’électricité, je n’ai pas fait parce que ce n’était pas possible.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : J’avais fait les choses que je savais, et je savais un petit peu. Après je regardais les tutos sur YouTube pour comment mettre du parquet, comme ça.

Raphaël Carteni : Okay. Et tu l’as fait?

Maxence Chabbert : Et je l’ai fait. Donc c’est la dernière fois que je le fais. C’était la dernière fois.
Pourquoi?

Maxence Chabbert : Pendant 6 mois, je n’avais plus de vie. Je sortais pas le week-end, je ne voyais plus ma famille, plus mes amis, plus ma chérie, plus rien quoi.

Raphaël Carteni : Est-ce qu’on peut faire ses travaux soi-même?

Maxence Chabbert : Alors, ça dépend. Moi, j’avais la dalle. Donc je pense que le premier appartement pour optimiser la plus-value, puisque c’est le but d’un achat-revente…

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Pour optimiser la plus-value, je conseillerais si on sait faire, de faire les travaux soi-même, parce que ça va nous augmenter la plus-value. Moi je partais de zéro donc l’idée, c’était d’exploser la plus-value, d’avoir une méga plus-value.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Du coup, je me suis dit: « Okay, je vais quand même faire les travaux moi-même » parce que voilà, donner 20000€ à un artisan. Moi, je vais les prendre pour moi, du coup ce sera 1000€ que j’avais pour moi.

Raphaël Carteni : C’est clair.

Maxence Chabbert : Donc vu que j’étais très proche du moindre euro à cette époque, oui, je conseille de le faire. Par contre, si on commence, on a déjà de l’apport, on a déjà de l’argent, autant déléguer directement. 

Raphaël Carteni : Sur tous les prochains également de projets personnels.

Maxence Chabbert : Ah oui, par contre, à partir du deuxième, moi, c’est terminé, j’ai délégué direct. J’ai appelé un pote qui est artisan et il a refait tout l’appartement.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Ça m’a coûté plus cher, mais après, je m’étais dit : « C’est de l’argent qu’on amortit fiscalement »

Raphaël Carteni : En plus, du temps, ça en libère

Maxence Chabbert : Exactement

Raphaël Carteni : Okay. 

Maxence Chabbert : Comme ça, ça m’a permis, vu que j’ai délégué les travaux, de passer au suivant.

Raphaël Carteni : D’aller plus vite en fait. Oui. Tu nous a parlé du coup de la plus-value de ta pièce. C’est une information secrète ou pas?

Maxence Chabbert : Non, non. Je suis fier. Vu que je suis parti de zéro, je n’ai pas de tabou avec l’argent, et j’ai fait 52000€ de plus-value nets.

Raphaël Carteni : Nets. Okay.

Maxence Chabbert : Nets de net. Et du coup, je commence avec 700 sur le compte, je mets 0 pour la banque.

Raphaël Carteni : Et tu arrives avec…?

Maxence Chabbert : 52000. Quand je retourne voir le banquier avec 52000, là c’était easy d’avoir le financement.

Raphaël Carteni : Qu’est-ce qu’il t’a dit le banquier à ce moment-là? Tu lui as parlé ou pas? Il t’a vu?

Maxence Chabbert : Au début, il savait puisqu’il connaissait le secteur. Il m’a dit: « Putain, tu ne l’as pas acheté cher quand même ». Donc c’était ça aussi.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Oui, ça c’est un point qui était intéressant par rapport à ce banquier, c’est qu’il connaissait très bien le secteur, il habitait le secteur. Ça, je ne savais pas mais j’ai appris à le connaitre parce que… Et quand je lui ai montré le prix d’achat, il a dit « Putain mais tu l’as trouvé où cet appart ? »

Raphaël Carteni : Il était choqué.

Maxence Chabbert : Oui. C’est pour ça aussi que ça a joué, parce qu’il m’a dit: « Franchement, tu l’as bien acheté ».

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Et après, quand je suis retourné le voir avec la plus-value sur le compte, il était au courant mais ça l’a quand même un peu choqué, tu vois?

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : « Franchement, tu l’as vraiment concrétisé. Maintenant tu es passé de 700 à 52000 sur ton compte ».

Raphaël Carteni : Et c’est beau.

Maxence Chabbert : Ah oui, c’est beau. Franchement, c’était vraiment ouf et je suis super fier de ça, quoi.

Raphaël Carteni : Du coup, là dans ta tête, il se passe quoi? Puisque du coup, tu as fait une opération qui prend 52K et tu n’as plus rien. 

Maxence Chabbert : Oui.

Raphaël Carteni : Est-ce que tu veux… Qu’est-ce que tu veux en fait? Tu continues?

Maxence Chabbert : Je suis un peu tiraillé, parce qu’avant de le revendre, j’avais signé le compromis

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Je reprends les cours, un BTS en alternance, je n’étais plus en CDI, j’étais en CDD, toujours dans la même boite.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Et je me dis à ce moment-là: « C’est mort, je n’ai toujours pas revendu mon appart, là je suis en CDD, même si c’est la même boite, donc je ne peux plus investir » Et là, j’ai un pote, je mange avec lui, je lui explique ça, après je me morfonds… Il me dit: « Tu as demandé au banquier si tu finances ?  » Je lui dis: « Non, mais c’est pas possible  » 

Raphaël Carteni : Oui, tu as fait la propre conclusion toi-même.

Maxence Chabbert : Exactement. 

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Mes croyances limitantes m’ont dit : « Non, tu ne peux pas, tu n’es plus dans les cases ». Il me dit: « Appelle-le ». Donc j’appelle. Direct après le resto, je l’appelle, je prends rendez-vous pour genre 2-3 jours après. Je vais le voir, il me dit: « Vas-y, il n’y a pas de problème. Tu as signé le compromis 52000€ plus cher, tu as un CDD dans la même boite. Il me faut juste un document comme quoi ils attestent qu’ils vont te reprendre en CDI (puisque ce serait seulement une période de professionnalisation). Et après ça, ça passe ».

Raphaël Carteni : Comme ça, il t’a dit ça naturellement ?

Maxence Chabbert : Oui, mais oui. En fait, c’était moi qui m’étais dit: « Regarde, je n’ai plus de CDI, mais regarde ». Tu vois, c’était limite… Et j’étais là: « Mais tu es sûr? » – « Oui, carrément ».

Raphaël Carteni : Le monde à l’envers quoi.

Maxence Chabbert : Mais c’est ça. Exactement. Et lui, il était chaud, il m’a dit: « Tu as déjà fait une super bonne opération ».

Raphaël Carteni : Ah oui?

Maxence Chabbert : Mais c’est ça. C’est ce que je recommande dans l’achat-revente. Premièrement ça fait du gros cash. Deuxièmement, ça fait une sacrée crédibilité auprès du banquier. Là quand je suis retourné le voir, il a dit: « Ça c’est un petit jeune qui avait de l’ambition avant, mais maintenant tu montres que tu arrives à concrétiser ce que tu as envie de faire ».

Raphaël Carteni : C’est ça, c’est ça.

Maxence Chabbert : Du coup, c’est hyper puissant quoi.

Raphaël Carteni : Okay. Du coup, nouvel argent ou pas?

Maxence Chabbert : Du coup, j’en ai fait, pas un, mais deux en simultané.

Raphaël Carteni : Direct.

Maxence Chabbert : Avec la même banque.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Il m’a dit : « Oui pour un ». Je lui en ai ramené un, et une semaine après, j’en ai ramené un deuxième. En fait, les deux, je les ai achetés à cheval. Et je suis tout allé voir à la même banque.

Raphaël Carteni : Sur de l’achat-revente encore ?

Maxence Chabbert : Le premier c’était achat, exploitation location courte durée, revente.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Si tu veux, on va voir plus dans le détail après. Et le troisième, c’était achat, location de courte durée pour bien optimiser et générer du cash.

Raphaël Carteni : On va revenir sur la deuxième opération juste après. Est-ce que tu peux me dire à l’heure actuelle combien de biens tu as?

Maxence Chabbert : Là j’en ai… Là depuis que j’ai créé une agence immobilière, et j’en ai 6 en courte durée.

Raphaël Carteni : Et pour avoir des financements sur les prochains achats que tu as faits, est-ce que c’était compliqué? Tu avais quelle situation pour les prochains ?

Maxence Chabbert : Après, c’est de plus en plus facile. Je pense qu’à partir du moment où on montre qu’on arrive à investir, qu’on gagne de l’argent – surtout que je vais investir maintenant d’autres personnes qui, elles, gagnent de l’argent, ça donne encore beaucoup plus de crédibilité vis-à-vis du banquier. Et je me souviens quand j’ai constitué l’agence immobilière, en fait, j’avais quitté rapidement mon travail, il y avait très peu d’antériorités sur mes investissements locatifs. Et ils m’ont dit à ce moment-là: « Attends un petit peu, tu viens de quitter ton job, tu as des locations de courte durée, on ne sait pas trop les reprendre ». J’ai créé l’agence immobilière, j’ai fait en 6 mois plusieurs opérations où il y a eu du gros cash qui est sorti, je reprenais la gestion en sous-location.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Et là, je crachais vraiment des sous. Et au bout de 6 mois, je me dis: « Non mais là c’est bon, tu l’as fait pour toi, ça a cartonné, tu le fais pour 2-3 investisseurs… » On avait investi 1,5 million en l’espace de 6 mois avec succès. 

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Et on crachait, on crachait de l’argent tous les mois, et du coup, la banque elle m’a dit: « Okay, normalement on attend un an, 2 ans, voire 3000 ans, mais là c’est bon ».

Raphaël Carteni : Elle t’a fait entièrement confiance. C’est sûr qu’avec les résultats que tu as eu, on peut te faire « confiance » dans ce sujet, dans ce domaine quoi.

Maxence Chabbert : Oui, bien sûr. Après, voilà, c’est ça. Ils me faisaient confiance parce que j’ai un interlocuteur direct qui avait un pouvoir de décision.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Donc c’est ça aussi.

Raphaël Carteni : On n’aura pas le temps de parler de tout ce que tu as dit, il y a tellement de points sur le côté boite qui sont importants qu’on pourrait évoquer, malheureusement on n’aura pas le temps. Est-ce qu’on peut peut-être revenir sur le point que tu as évoqué: achat, exploitation, revente?

Maxence Chabbert : Oui, alors ça, franchement, c’est un truc qui m’a permis aussi de m’imposer dans le game.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : En fait, c’est plus par rapport au fait que j’ai déjà fait un achat-revente. Le banquier, il était super content mais limite, il se dit: « Oui, c’est un peu exceptionnel, c’était un peu un cas rare ».

Raphaël Carteni : « Il a eu de la chance ».

Maxence Chabbert : Voilà. « Il a eu de la chance, il a trouvé la bonne affaire ». Deuxième, c’était achat… A la base, c’était location de courte durée. Donc simplement je le mettais, l’idée, c’était de générer suffisamment de revenus pour que je quitte rapidement mon job, chose que j’avais fait à 24 ans, j’ai commencé à acheter à 22 ans, et à 24 ans, je quittais mon job. Et je suis parti comme ça. Après, j’ai voulu créer mon entreprise, ce qui signifie quand même beaucoup de coûts. Et je me suis dit: « Ce que je vais faire, c’est mon deuxième appartement qui est en location de courte durée ». Je l’ai acheté vraiment pas cher parce que je l’avais bien négocié, il était à 182000 affichés, et je l’ai eu à 140. Donc déjà une grosse négo. Après, les travaux, je les avais bien optimisés avec un pote. Donc ça passait. Et lui, je commence à l’exploiter en courte durée, ça se passe bien, ça crache beaucoup d’argent. Et ce que je me dis un jour: « Tiens, pourquoi ne pas le revendre au business? »

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : « Avec l’activité qui tourne, et très cher ». Il part, tant mieux.

Raphaël Carteni : Tu vends avec moins de rentabilité… 

Maxence Chabbert : Voilà. Moi, je vendais 14% de rentabilité, ce qui est énorme.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Tout automatisé, puisque j’avais réussi à tout automatiser, il y avait les équipes.

Raphaël Carteni : Gestionnaire, et tout.

Maxence Chabbert : Gestionnaire, site Internet, annonces Booking, j’étais référencé à 9,4.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Appartement qui avait beaucoup de problèmes à la base, et j’ai résolu. Donc voilà, c’est vraiment le truc clés en mains pour un investisseur qui ne voulait pas se casser la tête, qui voulait faire un placement financier. Et je me dis, à l’époque, je l’avais acheté à 140. Avec les travaux, tout ça, je suis arrivé à 172000€, et je l’avais mis en vente à 249000.

Raphaël Carteni : Ah oui?

Maxence Chabbert : Donc je m’étais dit: Voilà. J’avais fait …

Raphaël Carteni : Tu te testes ?

Maxence Chabbert : Limite, je pensais que je n’allais jamais le vendre, c’est trop cher.

Raphaël Carteni : C’est vrai que ce n’était pas courant.

Maxence Chabbert : C’est ça. En plus, je passais aussi… Parce que c’est un agent immo qui me l’avait vendu, on est devenus potes entre temps, et je lui ai redonné l’avance. Elle m’a dit: « Honnêtement, il est très cher. Je n’ai jamais vendu des appartements ici aussi chers ».

Raphaël Carteni : Ah oui? Elle a vu à quel prix elle te l’a vendu, et à quel prix tu peux le vendre.

Maxence Chabbert : Elle a vu 100000 de différence et m’a dit: « C’est abusé quoi! » Et elle m’a dit: « Je n’ai jamais vendu aussi cher, mais pourquoi pas? » Tu vois, c’est un concept un peu spécial le fait de le revendre en business.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Et du coup, en fait, moi, ça m’a surpris parce que en l’espace d’une semaine ou deux j’ai eu pas mal d’appels.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Et directement une offre à 240. 

Raphaël Carteni : Au prix ?

Maxence Chabbert : Exactement, il y avait 9000 de différence.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Et je me suis dit: « 240, il me reste à rembourser 172000 à la banque, ce n’est pas trop mal », c’était 170000. Je me dis: « 70000€ de plus-value, ça reste intéressant. Donc du coup, j’ai bloqué. En plus, le mec, il a acheté comptant plus de la moitié du prix de l’achat, donc je crois qu’il mettait genre 150-160000€ sur la table.

Raphaël Carteni : Cash ? C’était un investisseur, ce mec?

Maxence Chabbert : Non, lui, c’est qu’il avait des sociétés, du gros cash et il voulait seulement faire un placement financier. Il voulait qu’au lieu de le laisser sur sa banque, que ça ne rémunère pas, il a mis une grosse partie dans l’immo. Du coup, quand il a fait comme ça, j’ai payé 26000€ d’impôts parce que c’est un investissement locatif.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Sauf que j’avais calculé, j’avais fait genre 28000€ de bénéfices avec l’achat-location de courte durée. Donc la location courte durée, ça m’a fait 28000€ de bénéfices. Donc ça compensait on va dire les 26000

Raphaël Carteni : Ça a amorti ton imposition.

Maxence Chabbert : En gros, c’est limite si je n’ai pas eu l’imposition, puisque la vente était pour l’exploiter en courte durée.

Raphaël Carteni : Ce bien t’a en tout rapporté 70000€.

Maxence Chabbert : Voilà, c’est ça. 

Raphaël Carteni : Toutes opérations?

Maxence Chabbert : Tous gains confondus, c’est au moins 170000.

  1. Okay. Petite question qui m’est venue à l’esprit: comment tu fais – c’est une très très grosse question – on va y répondre rapidement – pour trouver des bonnes affaires? Raphaël Carteni: C’est plutôt en agence, sur Leboncoin de particulier à particulier? Globalement…

Maxence Chabbert : Globalement, c’étaient que des Leboncoin avec Castorus.

Raphaël Carteni : Castorus, okay.

Maxence Chabbert : Oui. Parce que du coup, le premier appartement, il est en vente depuis 20 mn, je l’appelle, déjà vendu, j’étais choqué.

Raphaël Carteni : Ah oui?

Maxence Chabbert : Du coup, je l’ai eu en ligne la nana. Elle me rappelle 2 mois après puisqu’on avait sympathisé au téléphone. Je lui ai dit: « Félicitations! Vous l’avez vendu super vite, machin ». Elle me rappelle pour me dire que ça ne s’est pas fait. Donc Leboncoin, hyper réactif. Deuxièmement, c’était SeLoger avec Castorus, et j’ai vu un appartement, il est en vente depuis 9 mois. Sur Lyon, c’est limite du jamais vu.

Raphaël Carteni : Ce n’est pas normal, il y a un problème.

Maxence Chabbert : Il y avait plein de problèmes en fait. C’est ça le truc. Du coup, je l’appelle. Elle me dit: « Il y a plein de problèmes, machin » Je lui ai dit: « Pas de problème ». Je l’ai visité. La cour était dégueulasse, les pigeons squattaient, ils chiaient partout. Du coup, tout le monde avait peur, personne ne voulait se positionner puisque tout le monde se disait: « Je vais l’acheter, je ne vais jamais pouvoir le louer, il est dégueu ». Moi, ce que j’ai dit, j’ai fait une offre à 135000 avec comme conditions suspensives : « Vous mettez des pics à pigeons, vous nettoyez toute la cour, propre ».C’est un problème qui pouvait être résolu.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Du coup, j’avais analysé ça et je l’ai mis en conditions suspensives. Il a refusé 135 et voulu remonter à 140, et du coup, je l’ai eu à 140 avec ces conditions, ce qui fait que le jour où j’ai eu l’appartement, la cour était nickel, les pics étaient posés, et du coup, le plus gros problème était résolu.

Raphaël Carteni : Super. Okay.

Maxence Chabbert : Donc voilà, c’était plus Leboncoin et SeLoger. Maintenant avec mon agence, c’est beaucoup plus du réseau.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : On va voir, on entretient le réseau. On pose beaucoup de questions. On sympathise, on les invite au resto. On leur donne des chocolats, une bouteille de champagne… Donc c’est vraiment entretenir un bon réseau. Et c’est là où actuellement, on a des affaires de folie.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Des trucs qu’on ne voit pas sur Internet, ce n’est pas possible. Parce que déjà, il pose sur Internet, il se fait assassiner, ce n’est pas possible.

Raphaël Carteni : Ça va vite votre réseau ou pas ?

Maxence Chabbert : Très très vite. Nous, avec nos chasseurs, c’est ce que je leur dis, quand on visite un bien, on a une offre d’achat sur ça. Parce que tu visites, déjà il faut passer le premier pour visiter, et il faut se positionner le premier dessus.

Raphaël Carteni : C’est ça, pas de temps à perdre.

Maxence Chabbert : Pas de temps à perdre.

Raphaël Carteni : Tu as parlé de Castorus rapidement, 30 secondes. Est-ce que tu peux nous expliquer ce que c’est pour ceux qui ne connaissent pas?

Maxence Chabbert : Alors Castorus, c’est un petit plugin qui se met sur votre navigateur Internet et qui analyse l’annonce, donc depuis quand est-ce qu’elle est en ligne. Parce que des fois, les agents la coupent et la remettent un mois plus tard. Lui, il retrace depuis le début de la première parution. Donc c’est ce qui vous permet d’avoir une courbe de depuis quand il est en vente, et mouvements de prix. Par exemple, s’il y a des baisses de prix assez conséquentes et assez régulières, on peut savoir qu’il est en vente et que les vendeurs sont motivés pour vendre. Et ça, c’est intéressant, ça permet vraiment d’analyser les motivations des vendeurs aussi par rapport à ça.

Raphaël Carteni : Tu vois la partie submergée de l’iceberg.

Maxence Chabbert : Voilà, c’est ça. Tu vois un peu le back…

Raphaël Carteni : Tout ce qui se passe derrière. Encore 2 questions pour toi avant qu’on termine cette interview. On n’a pas parlé de pourquoi finalement tu as investi dans l’immobilier. Qu’est-ce que tu vois comme finalité avec l’immobilier?

Maxence Chabbert : La liberté.

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Moi, je suis clairement… Ma vision, c’est vraiment d’être libre. Là je suis vraiment libre de ne plus avoir de patron, d’entreprendre, de créer des sociétés. Dès que j’ai une idée maintenant, je crée une société, préparer le projet… Je pense qu’on en rediscutera plus tard dans la chaine.

Raphaël Carteni : Oui, oui, oui. Vous risquez de revoir Maxence.

Maxence Chabbert : Oui, il y a des chances. Et voilà, en fait, maintenant, l’avantage c’est vraiment d’être libre. Je suis serein financièrement puisque j’ai mes loyers qui tournent. J’ai mes business, je peux les créer sans avoir cette pression financière que beaucoup d’entrepreneurs ont au début.

Raphaël Carteni : Oui.
Maxence Chabbert : Moi, je ne l’ai pas, et je suis libre de voyager. Là, tu vois, on est en Espagne, deux semaines avant, j’étais encore en Espagne, une semaine avant, j’étais au Maroc. Voilà. Donc vraiment une méga liberté, et je pense que ça, c’est vraiment mon crédo, c’est la liberté, c’est top.

Raphaël Carteni : Super. Du coup, dans 5 ans, tu es où?

Maxence Chabbert : Ah je ne sais pas. Honnêtement, moi je m’arrête à 1 an, 1 an et demi, dans un an…

Raphaël Carteni : C’est trop dur, 5 ans?

Maxence Chabbert : Oui, 5 ans, c’est trop dur. En fait, c’est surtout que à partir d’un moment que tu mets tellement de choses en place, tu as tellement de choses qui s’accélèrent que ce que tu pensais faire en 3 ans, tu l’as fait en un an. Du coup, moi mon objectif, pour avril 2019, ce sera partir à Miami au moins 1 à 3 mois pour voir si je peux y vivre en fait.

Raphaël Carteni : Okay. Tu aimerais vivre à Miami?

Maxence Chabbert : J’aimerais sur le papier, j’aimerais y aller un petit peu, genre 1 mois, 2 mois, 3 mois

Raphaël Carteni : Oui.

Maxence Chabbert : Pour voir si vraiment je suis adapté à ça, simplement parce que je veux un pays où il fait très chaud, tout le top, tu peux te baigner.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Mais qui est quand même très développé puisque j’aime bien les belles caisses, les buildings, tout ça.

Raphaël Carteni : Okay.

Maxence Chabbert : Donc voilà, c’est vraiment dans cet esprit de…

Raphaël Carteni : Lifestyle.

Maxence Chabbert : Oui, dans le lifestyle.

Raphaël Carteni : Okay. Pour conclure cette vidéo, Maxence, tu accompagnes également des investisseurs, des néo-investisseurs qui veulent investir dans l’immobilier. Tu as des programmes pour ça. On l’a dit dans la vidéo.

Maxence Chabbert : Oui.

Raphaël Carteni : Si, tu en as, on en connait déjà pas mal. Est-ce que tu peux nous en parler également en quelques mots, nous dire en quoi ça consiste?

Maxence Chabbert : Oui. Mon programme, c’est Investisseur Libre. C’est toujours cette notion de liberté. 

Raphaël Carteni : Ça veut tout dire. 

Maxence Chabbert : Voilà, exactement. Et mon but, c’est vraiment de vous décortiquer l’investissement immobilier, donc l’état d’esprit à avoir dans le premier module, la recherche, le financement, le notaire. Après, c’est toutes les stratégies qui fonctionnent, donc déjà les travaux aussi. Et après, c’est location de courte durée, colocation, division, plein de choses, sous-location aussi, tout ce qu’on fait au travers de l’agence. On a énormément de contenu, ça marche vraiment avec succès pour tous les clients, pour moi-même aussi, pour tous mes potes. Et du coup, c’est vraiment… J’apporte un maximum de contenu : 14 modules de formation, plus de 50 heures de vidéos, chaque module est tourné dans un pays différent avec des business différents. J’essaie de vraiment faire un truc de ouf. Et voilà, l’idée, c’est vraiment que tu suis ce programme en 24 mois, et comme moi tu peux être libre.

Raphaël Carteni : C’est la promesse.

Maxence Chabbert : Oui.

Raphaël Carteni : Okay. Je mettrai tout dans la barre de description ci-dessous en tout cas, allez voir le travail de Maxence si ça vous intéresse. Personnellement, je pense que vous aussi, vous le validez. On voit que Maxence est quelqu’un de très fiable et percutant, il sait ce qu’il fait. Donc dans la barre de description. Maxence, merci pour cette vidéo.

Maxence Chabbert : Merci à toi.

Raphaël Carteni : Merci à toi. Si vous l’avez aimée, petit pouce bleu, petit commentaire, ça nous fera plaisir de venir y répondre, partagez-la avec ceux qui veulent investir dans l’immobilier. Et on se dit : A très très vite! Ciao ciao.

Maxence Chabbert : Ciao.

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