Vidéo 1 – Pourquoi cette stratégie d’investissement est la meilleure ?

Nous allons voir pourquoi cette stratégie est la meilleure stratégie sur le long terme (études académiques à l’appui).

Nous verrons surtout l’antagonisme qui réside entre un trader et un investisseur et pourquoi il est beaucoup plus simple et profitable de se trouver du côté de l’investisseur (contrairement à tout ce qu’on peut pourtant voir sur Internet).

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Vidéo 1 – Pourquoi cette stratégie d’investissement est la meilleure ?

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Retranscription de la vidéo :

Bienvenue à vous sur cette première vidéo d’une série de 4 vidéos gratuites sur l’investissement en Bourse dans des actions à dividendes.

Merci à vous pour votre confiance. Et j’ai hâte, avec vous, de vous montrer toute la puissance de cette stratégie.

Si vous ne le savez pas encore, je m’appelle Raphaël Carteni. J’ai investi près de 350.000€ dans cette stratégie que je m’apprête à vous révéler dans cette série de 4 vidéos gratuites.

Et on va voir ensemble dans cette première vidéo pourquoi finalement cette stratégie en Bourse est selon moi la stratégie la plus puissante, une stratégie sur laquelle je me focus à 100%. Et je vais vous partager quelques-uns de mes secrets d’investisseur.

Donc comme je vous le disais dans cette première vidéo, on va voir ensemble pourquoi cette stratégie elle est si puissante et pourquoi vous devriez l’appliquer le plus rapidement possible.

Mais avant que je vous parle de ça, j’aimerais qu’on soit d’accord sur les fondations et sur les bases de cette stratégie, pour savoir vraiment c’est quoi finalement une action, c’est quoi un dividende.

Ça peut peut-être vous paraître évident, mais j’ai envie d’être certain qu’on parle de la même chose.

Une action, c’est quoi ? C’est tout simplement un morceau d’entreprise. Donc quand on investit en Bourse, qu’est-ce qu’on fait ? On achète des morceaux d’entreprises. On investit dans des titres de propriété, et vous devenez propriétaire d’une partie d’une entreprise qui est cotée en Bourse.

D’accord ?

Donc la Bourse, c’est un endroit où on achète des titres de propriétés, et où vous devenez en faut actionnaire de ces entreprises.

Un dividende, c’est quoi ? C’est tout simplement le droit pour vous en tant qu’actionnaire de toucher une partie des bénéfices de l’entreprise.

Vous possédez des morceaux d’une entreprise, donc vous êtes actionnaire, et donc vous avez le droit de toucher une partie des bénéfices (si bénéfices il y a) de l’entreprise sous forme de ce qu’on appelle des dividendes.

Voyez un petit peu ça comme dans l’immobilier où on touche des loyers quand on a un appartement. En Bourse, on touche des dividendes quand on a des actions.

Une action, quand vous en possédez, ça ne vous apporte pas que le droit de toucher une partie des bénéfices. Ça vous apporte également ce qu’on appelle un droit de vote.

Donc généralement, on a un ratio de 1 droit de vote par 1 action détenue. Et un droit de vote, ça nous permet tout simplement de pouvoir voter aux différentes décisions de l’entreprise qu’on appelle les assemblées générales.

Et ce qui va être voté en assemblée générale, c’est notamment l’élection de l’équipe directrice qui va directement vous représenter, vous, en tant qu’actionnaire, donc c’est vraiment très important.

Donc on se concentre généralement sur le côté « dividendes » et « revenus » qu’une action peut nous apporter, mais sachez également qu’une action vous apporte un droit de vote pour que vous puissiez prendre part à toutes les décisions de l’entreprise.

Alors, la grande question que j’ai très rapidement, c’est : « Oui, mais moi, je ne peux pas devenir actionnaire. Devenir actionnaire, c’est pour les gens qui sont riches. Il faut avoir beaucoup d’argent. »

Qui peut réellement devenir actionnaire ? Est-ce que Monsieur et Madame Tout-le-monde peut finalement devenir actionnaires ?

La grande nouvelle, c’est « oui ». Dans l’immédiat, on cherche à nous faire croire qu’un actionnaire, c’est un monsieur planqué en Suisse, cupide, très riche qui s’en fout des salariés. Bref, un méchant monsieur.

La réalité, c’est qu’il y a beaucoup d’actionnariat populaire, donc vous et moi, Monsieur et Madame Tout-le-monde, il y a de l’actionnariat via les entreprises, quand vous avez des participations directement au sein de l’entreprise, quand vous bossez dans certaines entreprises, etc…

Il y a différentes formes d’actionnariat. Mais ce qu’il faut retenir, c’est que tout le monde peut devenir actionnaire puisqu’une action, combien ça coûte ? Cela peut coûter aussi bien 3€, 5€, 10€, 15€, 20€, 100€, 50€, 200€, 2000€, 200000€ pour les plus chères.

Il y a tous les prix. Mais ce que je veux dire par là, c’est qu’on peut très bien acheter des actions pour quelques dizaines d’euros, parfois même pour 10€.

Donc tout le monde peut littéralement devenir actionnaire. Et pour les plus grosses actions, il y a même ce qu’on appelle l’achat d’actions fractionnées. Donc plutôt que d’acheter une action entière, on va acheter par exemple une demi-action.

Si une action coûté 1000€, j’achète une demi-action à 500€. Alors honnêtement, ce n’est pas ce que je vous recommande d’acheter, des actions fractionnées, pour différentes raisons.

On n’aura pas le temps de rentrer dans les détails dans cette formation gratuite, mais retenez que je vous invite quand même toujours à acheter une action entière et non pas une demi-action, puisque rappelez-vous ce que je vous ai dit précédemment : une action agit comme un titre de propriété.

Imaginez-vous si c’est possible d’avoir un demi-titre de propriété. C’est un petit peu bizarre.

Ce qui se passe, c’est que généralement quand on achète des actions fractionnées, on va vous prêter une action en fait qui appartient à quelqu’un d’autre, et vous allez avoir le droit de bénéficier par exemple des dividendes de cette action mais elle ne vous appartient pas réellement dans les registres de l’entreprise, et c’est votre courtier qui « harmonise » tout ça dans ses registres.

Donc c’est pour ça que, encore une fois, c’est très important de détenir ces actifs quand on investit dans quelque chose. C’est pour ça que je vous recommande – pareil en Bourse – de détenir votre titre de propriété, et donc d’acheter des actions entières.

Mais l’idée à retenir, c’est tout le monde peut devenir actionnaire. J’ai moi-même personnellement commencé à investir avec 100€, 200€, 300€ avant d’avoir 350000€ d’investis en Bourse.

Donc l’idée, c’est qu’on commence là où on est et on grossit doucement mais sûrement son portefeuille.

Au-delà de croire qu’on ne peut pas forcément devenir actionnaire, de croire que ce n’est pas pour nous, il y a d’autres choses qui, généralement, freinent les gens, et peut-être vous aujourd’hui, à investir en Bourse.

Vous vous dites qu’il y a plein de choses qui font que ce n’est pas pour vous.

La première chose, c’est de vous dire : « Il faut de l’argent. Il faut beaucoup d’argent. » Voilà. On en a un petit peu parlé auparavant.

L’idée, encore une fois, c’est que j’ai commencé sans argent. Je n’ai pas hérité d’un million d’euros. Je n’ai pas gagné au loto. J’étais étudiant quand j’ai commencé à investir. J’avais 1000€ sur mon compte en banque.

J’ai acheté au début 2 actions à 20 balles. Clairement, ce n’est pas comme ça qu’on va devenir millionnaire du jour au lendemain. Mais ce n’est pas le but.

L’idée, c’est de se dire qu’il faut commencer avec sa situation, et on va voir dans la vidéo 4 de cette formation gratuite comment mettre en place une stratégie d’investissement quand on part de 0.

Mais l’idée, c’est de se dire que bien évidemment, quand on part avec de l’argent déjà en poche, c’est beaucoup plus simple. Quand on parle d’investir ou d’entreprendre, ça facilite grandement les choses.

Mais ce n’est pas pour autant que si vous n’avez pas beaucoup d’argent dès le début que c’est impossible encore une fois.

S’il fallait de l’argent pour commencer à investir, croyez-moi que je serais encore sur les bancs de la fac, je serais encore étudiant, je ne serais pas aujourd’hui indépendant financièrement ou millionnaire avant mes 30 ans.

Donc l’idée, c’est commencer avec ce que vous avez, et vous verrez qu’avec une bonne stratégie d’investissement, on peut réellement atteindre des niveaux intéressants.

La deuxième croyance, malheureusement, que je vois beaucoup aussi, c’est : « Oui, mais ça va me prendre beaucoup de temps, et moi je n’ai pas le temps. Je cours partout. J’ai mon travail. J’ai ma vie de famille. J’ai mes enfants. J’ai ma relation amoureuse, ma passion… » Bref, ce que vous voulez. « Et je n’ai pas le temps. »

Honnêtement, je te le dis, je n’ai pas envie de passer beaucoup de temps sur mes investissements. Ça m’intéresse d’investir mais je n’ai pas envie d’y passer toute ma vie.

Ça va te plaire puisque cette stratégie va être entièrement adaptée à tes besoins puisque crois-moi, moi non plus, je n’ai pas envie de passer toutes mes journées de 8h à 18h à gérer mes investissements, à faire des analyses dans tous les sens et à me demander si je dois faire ci ou ça.

Mon idée à moi, c’est d’investir sur le long terme. Donc une fois que j’achète une action à dividendes, mon idée, c’est de ne jamais la revendre, et de simplement récolter les fruits, donc « planter des graines », laisser pousser l’arbre, et récolter dans l’arbre les fruits, les dividendes.

Donc vraiment, le travail, il se fait au début. Avec une bonne méthode, tu vas voir que ça ne prend pas forcément énormément de temps.

Et une fois que tu as cette méthode, et qu’une fois tu sais dans quoi investir, tu mets simplement tes billets, ton argent dans ces entreprises, et ces entreprises, tu les laisses vivre.

Si tu investis – totalement au hasard, on n’achète pas forcément cette entreprise – si tu investis demain dans Total, à chaque fois que tu vas passer devant les stations services et que tu vas voir des gens faire le plein d’essence, tu vas gagner de l’argent si tu es actionnaire de Total, et tu ne vas pas forcément travailler chez Total.

Pareil pour MacDonald, pareil pour Louis Vuitton.

Donc l’idée, c’est vraiment d’acheter des entreprises, de les laisser travailler, de les laisser vivre, de les laisser investir, de les laisser se développer, de les laisser aller chercher de la croissance, et toi, en tant qu’actionnaire, récolter une partie des bénéfices.

Donc non, cette stratégie ne prend pas beaucoup de temps. Personnellement, tous les mois, elle me prend pas plus d’un quart d’heure, parce qu’aujourd’hui, mon process, il est rodé. Donc le temps n’est plus une excuse.

Et la troisième chose, c’est les compétences. Comme je te l’ai dit auparavant, on a vu qu’il fallait quand même analyser les entreprises pour savoir s’il fallait investir dans celles-ci et ensuite les garder à vie.

Mais tu te dis peut-être : « Oui, mais justement, je ne sais pas comment analyser une entreprise. Ça, c’est compliqué. Comment tu veux que je sache si je dois investir dans telle entreprise ou dans une autre ? »

Donc on en parlera dans la vidéo 3 de cette formation gratuite. Je te montrerai un petit peu un aperçu de comment, moi, j’aborde une entreprise pour savoir si elle peut m’intéresser ou pas.

Mais ce qu’il faut retenir, c’est qu’il ne faut pas forcément énormément de compétences. Encore une fois, on veut nous faire croire dans le monde de l’investissement, dans le monde financier que c’est très compliqué. Et ça, pourquoi ?

Tout simplement parce que tous ces professionnels de la finance essaient de justifier qu’on a besoin d’eux pour investir alors que la réalité, elle est plutôt tout autre.

On peut entièrement se passer de ces professionnels puisque même quand on regarde la performance de ces professionnels, elles ne sont généralement pas très à envier.

Donc l’idée, c’est encore une fois qu’il y a tout un brouillard qui est mis dans le monde de la finance, et que quand on regarde à travers ce brouillard, finalement, ce n’est pas si compliqué que ça, encore une fois, quand on a une bonne méthode.

Donc, il y a une citation de Warren Buffett que j’adore beaucoup, qui dit que « Wall Street fait son argent sur l’activité et que vous, en tant qu’investisseur, vous le faites sur votre inactivité ».

Et en fait, j’ai envie de dire que ce n’est pas des compétences qu’il faut pour investir en Bourse. Bien évidemment, il faut. Je ne vous dis pas qu’il faut investir au hasard et que ça va marcher.

Mais surtout, ce qu’il faut, c’est de la discipline, puisqu’aujourd’hui, ce qu’on constate, c’est qu’il y a beaucoup de gens qui vont passer plein d’ordres en pensant que c’est ce qu’il faut faire.

Ils vont dire : « Allez, moi j’achète, je revends, je fais ça, je suis un trader, je suis actif sur les marchés, je regarde et je gagne de l’argent. »

Au final, ce qu’ils font, c’est simplement enrichir leur courtier sur les frais de passage d’ordre. Ils multiplient le risque de faire des erreurs, puisque plus on prend les décisions, et plus on prend le risque de faire des erreurs.

Alors, que la réalité – et on le constate sur plein d’études – les investisseurs qui gagnent le plus d’argent sont ceux qui en font le moins.

Donc moins vous passez d’ordres, moins vous en faites sur les marchés, et plus vous gagnez d’argent parce que vous avez moins de risques de faire des erreurs.

C’est pour ça que cette stratégie, elle est vraiment passive. Elle ne vous demande pas beaucoup de temps. Il n’y a pas forcément besoin de beaucoup de compétences tant qu’on a un bon process. Et surtout, vous pouvez commencer avec pas forcément beaucoup d’argent.

On va maintenant voir pourquoi cette stratégie, finalement, c’est la meilleure stratégie. Je l’ai dit en début de vidéo, mais pourquoi c’est la meilleure stratégie ?

Donc là, je vais te faire apparaitre à l’écran un petit graphique qui va te montrer pourquoi les actions sont celles qui superforment toutes les autres classes d’actifs depuis maintenant très longtemps, plus de 200 ans.

Puisque tu peux le voir, cette étude a été réalisée sur une période qui est de 1802 à 2012. Donc là, on ne rigole pas. C’est vraiment une étude qui est faite sur une très longue durée, et ça c’est très intéressant parce qu’on peut commencer à en tirer des conclusions.

Et ce qu’on peut voir, c’est tout simplement que les actions (tout en haut, première ligne, « Stocks ») sont la catégorie d’actifs qui superforment toutes les autres choses telles que les obligations, le cash, l’or etc.

Et on peut voir bien évidemment de loin, puisqu’on voit que les actions qui sont la partie graphique dans le tableau sont largement puisque sur une période de 200 ans, on voit que les actifs ont représenté un capital de 704997$ pour 1 dollar investi initialement.

Donc c’est juste énorme, alors que les obligations, elles, sont en dessous, avec seulement 1778$. Donc on voit qu’il y a quand même un gap qui est clairement pas négligeable : on parle en centaines de dollars.

Petite anecdote également : on a également vu sur d’autres études, notamment celle du Crédit Suisse, sur une période de 1900 à 2007 que les actions surperformaient également tout ce qui se se collectionnait.

Donc je pense notamment à tout ce qui est voitures, bijoux, vins, livres, timbres, voitures de collection, l’art. Bref, tout ce qui se collectionne. Je ne t’ai pas parlé de l’immobilier. Tu dois te dire : « Mais est-ce que les actions superforment également l’immobilier ? »

Alors, je ne t’ai pas préparé une étude pour te le prouver mais si tu regardes de ton côté, tu verras également que les actions, sur le long terme, superforment également la performance de l’immobilier.

Donc finalement, les actions sont l’actif qui superforme toutes les autres classes d’actifs. Donc c’est pour ça que c’est tout simplement la meilleure stratégie.

Donc je viens de te montrer pourquoi cette stratégie, c’est selon moi la meilleure, c’est simplement – on l’a vu factuellement – que c’est la stratégie qui présente le plus de rentabilités sur 200 ans. Donc ça parle, et je t’ai montré une étude pour ça.

Et si je te disais maintenant qu’au sein même des actions, il y a une catégorie d’actions qui superforme encore toutes les autres catégories d’actions. Donc vraiment aller encore une fois chercher plus de performance.

Regarde à ton écran le schéma que je vais te montrer. On a ici un premier tableau. Excuse-moi, il est en anglais, mais malheureusement, beaucoup d’études sur le marché des actions sont faites aux Etats-Unis. Mais je vais te le traduire.

Voici une étude qui est faite de 1972 à 2018. Donc ça reste encore intéressant puisqu’on est quand même sur 40 ans, même plus. On est presque sur 50 ans. Donc ça reste quand même très intéressant comme étude.

Et on peut voir qu’il y a plusieurs lignes. On va d’abord commencer par la dernière ligne qui est en fait un indice équilibré du S&P 500, donc l’indice américain de référence qui représente les 500 plus grosses entreprises américaines.

Et on voit que la performance, elle est de 7,30%.

Ensuite, on voit qu’on a des différentes catégories d’actions sur les lignes précédentes, et notamment une qui nous intéresse particulièrement, qui est la première ligne qui s’appelle (excuse-moi l’accent anglais) « Dividend Growers & Initiators ».

Donc ça veut dire quoi ? C’est tout simplement les dividendes croissants, donc les entreprises qui versent des dividendes croissants et réguliers ou les entreprises qui ont commencé à instaurer un dividende.

Et on voit que la performance, elle est de 9,62%. Donc on a plus de performance qu’un indice équilibré du S&P500.

Je ne vais pas te parler des autres lignes, parce que ma stratégie consiste à investir dans des actions à dividendes qui sont croissants et réguliers. Donc ça veut dire quoi ?

Des entreprises qui vont chaque année augmenter le dividende, parce qu’en tant qu’investisseur, je veux que mes revenus augmentent, et je veux que l’entreprise, si elle génère plus d’argent, qu’elle augmente également mes dividendes.

Mais l’idée, c’est de voir qu’il y a des catégories d’actions qui superforment l’indice de référence. Et en plus de ça, si on regarde les colonnes N°2 et 3, le « Beta » et le « Standard Deviation » – je ne vais pas entrer dans les détails techniques de ce que c’est précisément et de quelles sont les différences entre le Beta et le Standard Deviation – mais retiens que ces deux valeurs sont un indice de volatilité, un indicateur qui représente la volatilité.

Et on peut voir que le Beta pour la première ligne, il est de 0,88. Pour l’indice de la S&P 500, il est de 1. Donc c’est normal. L’indice de référence de S&P 500, il est forcément de 1.

Et on voit qu’on a un Beta de 0,88 pour les Dividend Growers, donc les dividendes croissants et réguliers, et c’est-à-dire qu’on a une volatilité qui est plus faible par rapport à l’indice de référence.

Et quand on regarde le Standard Deviation, on voit qu’on a 15,62% pour la première ligne, alors que pour l’indice de la S&P 500, on est à 18,26%. Donc ça veut dire aussi que là, on a moins de volatilité.

Donc si je résume, ça veut dire quoi ? Cela veut dire qu’on a une catégorie d’actions au sein du marché des actions qui, à la fois, présente plus de performance que l’indice de référence, tout en ayant moins de volatilité.

Cette catégorie d’actions – tu l’as bien compris – ce sont les entreprises qui ont versé des dividendes qui sont croissants et réguliers.

Donc est-ce qu’il y a beaucoup d’entreprises qui font partie de cette catégorie ? Je ne vais pas te dire qu’il y en a des centaines et des centaines. C’est plutôt en dizaines et dizaines.

Mais ce sont vraiment les entreprises sur lesquelles je me concentre parce que c’est confortable. En tant qu’investisseur, on a plus de performance. Qui ne veut pas plus de performance ?

Regarde le deuxième schéma où là ce n’est plus un tableau mais c’est un graphique. On a la démonstration pour 100$ investis en 1972, et on voit ce que ça donne en 2018.

On voit très clairement que les entreprises qui versent un dividende croissant et régulier ont « largement surperformé » puisqu’elles arrivent à l’issue de ces presque 50 années à 7499$ alors que toutes les autres entreprises – par exemple les « Dividend Payers » ce sont simplement les entreprises qui versent des dividendes sans forcément les augmenter – on voit qu’elles ont moins de performance.

On voit que les entreprises qui ne versent pas de dividendes, les « Dividend Non-Payers », elles ont beaucoup moins de performance également.

Et encore pire pour les entreprises qui ont supprimé un dividende. Elles ont encore beaucoup moins de performance.

Donc on voit clairement sur ce graphique qui est imagé, on se rend compte que les entreprises qui versent un dividende croissant et régulier sont systématiquement celles qui surperforment le marché avec le moins de volatilité.

Donc on résume. Il faut se concentrer sur le marché des actions, et sur le marché des actions avec dividendes croissants et réguliers.

Un autre gros avantage de cette stratégie, c’est le côté passif.

Aujourd’hui, tu investis dans des actions qui te versent des dividendes. On l’a vu, on en a parlé précédemment. Tu oublies. Tu laisses vivre l’entreprise. Tu encaisses tes dividendes en tant qu’actionnaires. Tu n’as rien à faire.

Si tu investis dans Louis Vuitton, tu ne vas pas te rendre tous les jours à Avenue Montaigne et dire : « Il faudrait sortir un nouveau produit ou il faudrait augmenter le prix de ce produit, il faudrait faire des travaux dans la boutique sur les Champs-Elysées. »

Non. Si tu es chez MacDo, tu n’es pas en train de dire : « Ouais, il faudrait peut-être changer le fournisseur de viande. »

Non. Tu ne prends aucune décision de l’entreprise. Tu fais seulement ton travail d’investisseur. Tu encaisses. Okay ?

Et aujourd’hui, il y a très peu d’autres investissements qui te permettent d’avoir une telle passivité. Moi, personnellement, j’investis dans plein d’autres actifs. Je pense notamment à l’immobilier. L’immobilier, c’est loin d’être passif.

Il faut trouver le bien immobilier, il faut le financer, il faut faire les travaux, il faut trouver un locataire, il faut gérer le bien. Ce n’est pas passif.

Si tu gères un business, tu lances une entreprise, c’est plus que de l’investissement, c’est de l’entrepreneuriat, mais c’est plus ou moins pareil. L’idée est la même, tu veux gagner de l’argent – un business, c’est loin d’être passif.

Il faut être sur son business. Il faut embaucher du monde. Il faut lancer des produits. Il faut vendre, faire du marketing, gérer le support client, etc.

Si on parle par exemple de cryptomonnaies, c’est très intéressant également. Mais le problème, c’est qu’il n’y a pas forcément de revenus passifs issus des cryptomonnaies. Ça va être un gain en capital.

Si on parle d’investissement dans les start-ups, c’est très intéressant, les start-ups. J’investis également dans les start-ups. Mais le problème, c’est qu’on investit aujourd’hui et on aura potentiellement des fruits dans 10 ans, dans 5 ans, dans 7 ans, dans 12 ans.

Ça va être un gros exit, comme on les appelle, mais il n’y aura pas de revenus passifs, et potentiellement, tu vas perdre tout ton capital.

Si je pense à tout ce qui est collectible tel que le vin, les voitures de collection, c’est très bien dans un patrimoine, de l’art, un tableau, c’est très bien. Pourquoi pas ? Mais ça ne génère pas non plus de cash-flow.

Moi, j’aime beaucoup les actifs qui vont me permettre de générer des cash-flows puisque je veux un actif qui, à la fois, va me générer un cash-flow, mais qui va également se valoriser, protéger mon patrimoine, valoriser mon patrimoine, et même se valoriser.

Et quand on regarde avec ces 2 critères de cash-flow et de valorisation de patrimoine, il n’y a pas d’autre catégorie d’actifs aujourd’hui, autre que les actions, qui réponde à ces critères.

Parce que soit on va avoir une belle valorisation de son capital, mais il ne va pas y avoir de cash-flow, soit… le cash-flow sans capital ça n’existe pas. Voilà, c’est le problème.

Donc aujourd’hui, les actions sont, selon moi, l’actif le plus passif et le plus rémunérateur.

Allez, pour terminer cette vidéo, on se retrouve sur mon écran d’ordinateur où on va voir ensemble finalement quelle est la différence entre un investisseur et un trader, puisque c’est vrai qu’on me pose assez facilement et assez souvent les deux.

On a d’un côté le trading avec un passage d’ordre aussi bien d’un achat que de vente. On espère tirer une plus value. Et de l’autre côté, il y a nous. On a l’investissement long terme, l’investisseur long terme qui est là pour investir dans des actions qui vont lui reverser des dividendes.

Donc on va voir ensemble 8 points principaux que je vous ai listés et qui font, selon moi, la différence entre un investisseur et un trader.

Donc on va commencer tout de suite avec le premier point. Je vais vous dérouler tout ça. On a ici l’horizon d’investissement.

Pour un investisseur, son horizon d’investissement, il est long terme, voire même très long terme, puisque personnellement quand j’investis, je considère que j’investis à vie, jusqu’à la mort. Ça peut paraitre un petit peu morbide, mais l’idée, c’est que je ne suis pas là pour investir 6 mois, 1 an, 2 ans.

Je suis là pour investir des décennies, idéalement, jusqu’au bout. Alors que pour un trader, l’idée, c’est quand même d’aller couper rapidement ses positions pour récupérer ses potentielles plus-values.

On a quand même un horizon d’investissement qui est très court-termiste où on cherche à encaisser potentiellement les plus-values qu’on a réalisées.

Donc ça, c’est la première grosse différence. C’est l’horizon d’investissement. Le deuxième point, ça va être la prise de risque.

Selon moi, en tant qu’investisseur, notre prise de risque, elle est plutôt faible, voire même très faible parce que c’est très simple. On analyse des bilans comptables, des comptes de résultats. On voit les chiffres, tout est transparent.

On fait des ratios financiers, on a des indicateurs. Et du coup, c’est beaucoup plus simple de juger si l’entreprise, elle est risquée, en fonction de pas mal de paramètres : son endettement, sa marge, l’évolution de ses bénéfices, son ancienneté, etc.

Alors que pour un trader, il y a beaucoup de choses qui peuvent faire évoluer finalement aussi bien à la hausse ou à la baisse un cours d’actions sur le court terme.

Et même si les traders vont me dire : « Oui, mais justement, Raphaël, c’est là tout notre travail, tout notre « métier », c’est de déceler toutes ces évolutions de cours d’actions grâce à l’analyse technique, grâce à l’analyse des graphiques en décelant les tendances », pour autant, je considère toujours selon moi que la prise de risque est beaucoup plus élevée, et qu’elle reste beaucoup trop élevée quand on est trader, malgré tout ce qu’on peut vouloir nous faire croire sur Internet.

Pourquoi ? Parce que voilà, je regarde encore une fois de façon très factuelle les choses. On a 2 images quand on regarde sur Internet. On a l’image, celle de la Ferrari, de la villa, de celle des screenshots avec de gros résultats.

Souvent, ces résultats sur les screenshots sont issus de comptes démo, donc ce n’est même pas du vrai argent. Voilà, ça c’est la première image qu’on a.

La deuxième image qu’on a, c’est celle que nous fournit l’autorité des marchés financiers en France, ou d’autres autorités à l’étranger qui font des statistiques sur les traders et qui nous disent voilà combien de gens qui gagnent, combien de gens qui perdent, des pourcentages etc.

Il y a énormément de statistiques. Vous pouvez regarder sur Google. Vous allez en trouver énormément émanant d’autorités sur le sujet.

Et ce qu’on constate, c’est que la majorité des traders perdent de l’argent. Et quand on se concentre sur les particuliers, c’est littéralement une hécatombe.

Donc il faut faire très attention, encore une fois, aux discours qu’on peut voir sur Internet, et la réalité quand on regarde les vrais chiffres, les vraies statistiques. La prise de risque, elle est plutôt élevée pour les traders et qu’il y a énormément de traders qui perdent de l’argent. Okay ?

Ensuite, on a le troisième point. Je vais le dérouler ici si j’y arrive. Voilà. C’est le temps de gestion, quelque chose de très très important parce que personnellement, je n’ai pas envie de passer tout mon temps devant l’écran d’ordinateur pour mes investissements.

Et l’avantage quand on est investisseur, c’est que le temps de gestion est très très faible, puisqu’une fois qu’on a investi, on « oublie » et on récolte les dividendes, on récolte les fruits.

Bien évidemment, il faut monitorer de temps en temps, mais ça n’a rien à voir avec le trader qui, lui, a un temps de gestion qui est très élevé puisqu’il doit être toujours devant son écran d’ordinateur pour déceler les tendances, regarder les graphiques, les analyser.

Il doit être actif chaque minute, chaque heure, chaque semaine, chaque mois. Tout dépend en fonction de la durée sur laquelle il passe les trades. Il y a des traders qui sont très long terme, d’autres qui sont très court terme.

Et l’idée, c’est qu’encore une fois, je n’ai pas envie de passer tout mon temps devant les écrans. L’idée, c’est que j’analyse une fois, j’achète, je conserve, j’encaisse, je monitore de temps en temps, mais je ne cherche pas à en faire un métier. Loin de là.

Donc mon temps de gestion est très très faible en tant qu’investisseur, et c’est vraiment ce que j’adore.

Ensuite, on a les frais de courtier. Très importants également. En tant qu’investisseur, ils sont très faibles. Pourquoi ? Tout simplement parce que personnellement, j’investis dans une ou 2 entreprises chaque moi, tous les 15 du mois.

Donc ça, c’est ma règle. Il n’y a pas de raison pour laquelle j’investis tous les 15 du mois. On me pose parfois la question. C’est simplement que je me suis fixé une date, et je la suis sans faille.

Et ce qui se passe, c’est que du coup, je passe 1 à 2 passages d’ordre chaque mois.

A l’opposé, le trader, lui, il va passer une multitude d’ordres chaque mois. Et même s’il a optimisé son courtier pour payer le moins de frais possible, à la fin, il va quand même devoir passer potentiellement 10 ou 20, 40, 50 ordres par mois, peut-être même plus.

Et donc, à la fin, les frais seront naturellement beaucoup plus élevés que pour moi qui ai passé un ou 2 ordres.

Et donc forcément, plus on paie de frais, plus il faut d’abord rattraper ces frais avant de gagner de l’argent. Et les frais, c’est quelque chose qu’il ne faut surtout pas négliger quand on investit, que ça soit en Bourse, dans l’immobilier ou même dans d’autres choses, parce que les frais viennent littéralement détruire votre performance.

Donc il faut toujours faire en sorte de limiter encore les frais.

Donc là encore, ça reste un avantage d’être un investisseur long terme. C’est que les frais sont faibles. Donc on n’a pas ce « morceau de gras » à aller récupérer avant de gagner de l’argent. On a déjà « optimisé » nos frais en en payant peu et en ayant choisi un bon courtier dès le début.

Ensuite, on a les types de revenus.

Pour l’investisseur, c’est du revenu passif. On n’a rien à faire. Encore une fois, on encaisse chaque mois les dividendes sur notre compte-titres. C’est 100% passif.

Une fois qu’on a fait notre analyse d’entreprise au début et qu’on a acheté les actions de cette entreprise, on n’a plus rien à faire. L’entreprise se développe, travaille, génère de la croissance, et nous, en tant qu’investisseur, on encaisse les revenus de façon 100% passive.

Pour le trader, lui, ce sont des revenus actifs, tout simplement parce que le trader, il doit être devant son ordinateur. Il doit trader, il doit trouver des entreprises avec des potentiels de plus-values. Il doit rentrer au bon moment, il doit sortir au bon moment.

Il doit prendre les profits au bon moment également. Il doit couper ses pertes si ça se passe mal.

Bref, c’est presque un travail. Je n’ai même pas envie de dire « presque ». C’est littéralement un travail si on veut faire les choses bien et si on veut vraiment gagner de l’argent.

Donc voilà, encore une fois, c’est quelque chose à avoir en tête. La dualité, c’est que l’investisseur, c’est vraiment passif, et pour le trader, il n’y a rien de passif, il faut être systématiquement actif. Okay ?

Ensuite, on a la source des revenus. Très importante également. Nous, en tant qu’investisseurs, on joue sur les 2 tableaux. Ce n’est pas parce qu’on parle toujours de dividendes qu’on ne fait pas de plus-values.

Donc en tant qu’investisseur, on a à la fois des dividendes et des plus-values. Et rassurez-vous, mon portefeuille, il est largement en plus-value.

Je vous dis « rassurez-vous » parce que généralement, les gens me disent : « Oui Raphaël, tu encaisses des dividendes, mais je suis sûr que ton portefeuille, il est en moins-value et ça ne sert à rien d’avoir des dividendes si ton portefeuille, il est en moins-value.

Encore une fois, l’idée, c’est de ne pas acheter des entreprises à n’importe quel prix.

L’idée, c’est d’acheter des entreprises, de très bonnes entreprises à de très bons prix.

Et j’aime bien reprendre ce qu’avait dit Warren Buffett il y a très longtemps, c’est que l’idée, c’est d’acheter des billets de 1$ à 80 centimes pour faire de la plus-value, tout en encaissant des dividendes.

Donc voilà. C’est le dividende qui est recherché en priorité. Mais ce n’est pas parce qu’on recherche du dividende en priorité que ça ne va pas de pair avec les plus-values.

On recherche évidemment la plus-value, et je dis tout le temps et systématiquement aux gens de faire très attention, de ne pas acheter les entreprises à n’importe quel prix, parce que ça a beau être une très très belle entreprise, si vous l’achetez trop cher, naturellement vous allez potentiellement arriver à un moment de moins-value, et ce n’est pas du tout ce qu’on veut.

Si on a des dividendes mais des moins-values, comme on l’a dit à l’instant, ce n’est pas intéressant.

A l’opposé, le trader, lui, c’est uniquement des plus-values, puisqu’il cherche à faire une marge, tout simplement par rapport à son prix d’achat, et par rapport à son prix de vente.

Il va potentiellement encaisser des dividendes par accident, et ce n’est clairement pas ce qu’il a recherché. Donc il n’encaisse que des plus-values.

Okay ?

Septième point, c’est le type d’analyse. Pour nous, en tant qu’investisseurs long terme, on fait ce qu’on appelle une « analyse fondamentale ».

Donc je vous l’ai évoqué auparavant, c’est le fait de se baser sur les bilans comptables, les comptes de résultats, de regarder les chiffres d’affaires, les bénéfices, la marge, etc, et de tirer des conclusions.

L’analyse technique qu’utilise le trader, à l’opposé, on l’a dit également, c’est tout ce qui va être de déceler des tendances sur la base de l’analyse des graphiques qu’on va analyser pour déceler ces fameuses tendances.

Donc ces 2 approches sont totalement différentes. Il n’y en a pas forcément une qui est meilleure que l’autre, une qui est bonne et une qui est mauvaise.

Voilà. Même si généralement, il y a 2 clans, il y a le clan « team fondamentale » et il y a la « team « technique » on va dire, et souvent, ceux qui aiment la technique n’aiment pas la fondamentale et inversement.

Il y a un petit peu 2 clans qui se clashent. Personnellement, je suis plutôt « team fondamentale ». Vous l’avez compris. Je regarde les bilans comptables, les comptes de résultats. Mais encore, libre à chacun de faire ce qu’il veut.

Personnellement, je n’utilise jamais la technique parce que j’estime que la fondamentale est beaucoup plus juste pour estimer si une entreprise, elle est stable, si elle est pérenne, si elle fait de la marge, si elle fait de l’argent, si elle est chère, si elle n’est pas chère, si elle est trop endettée, si elle n’est pas trop endettée, etc.

Mais libre à vous, encore une fois, de compléter avec l’analyse technique pour optimiser potentiellement votre point d’entrée, quand vous avez fait une analyse fondamentale avant de vous positionner.

Personnellement, comme je vous le dis, j’investis tous les 15 du mois. Je ne cherche pas à optimiser mon point d’entrée, parce que si mon analyse fondamentale, elle est validée, c’est-à-dire que généralement, j’estime que l’entreprise, elle est sous-évaluée par rapport à ce qu’elle vaut vraiment.

Donc je n’ai pas besoin d’optimiser à outrance, on va dire, mon point d’entrée. Mais libre à vous de compléter avec une analyse technique si vous voulez optimiser votre point d’entrée.

Okay ?

Et le huitième et dernier point, c’est la performance sur le long terme. Là, je vous l’ai illustré avec un petit schéma.

Pour un investisseur, on dit qu’elle est exponentielle, tout simplement parce qu’on a la magie des intérêts composés qui rentrent en jeu.

On ajoute du capital tous les mois. On réinvestit nos dividendes, et donc naturellement la courbe devient exponentielle.

Hop, je vais faire un petit schéma. Au début, ça peut être long. On ajoute du capital, on rajoute du dividende. On a l’impression que ça stagne un petit peu, mais après, naturellement, ça devient exponentiel de cette façon là, et là, on a des résultats qui sont vraiment très intéressants.

Alors que pour le trader, la performance, elle est beaucoup plus incertaine dans le sens où de temps en temps, le trader il va gagner, des fois il va perdre, des fois il va gagner, des fois il va perdre.

Et sur le long terme, on se rend compte que la performance, elle est assez flat. On peut même dire que ça ressemble à ça. Des fois il gagne, des fois il perd, des fois il gagne, des fois il perd, des fois il gagne, des fois il perd. Et hop, voilà ce que ça donne sur le long terme. On pourrait faire un grand trait comme ça. C’est assez flat et ça ressemble à une ligne.

Et encore une fois, la majorité des traders ne gagne pas beaucoup d’argent, ou voire même pas du tout. Donc il faut encore une fois faire très attention au mythe du trader millionnaire etc.

Donc voilà ce que j’avais à vous dire concernant cette première vidéo d’une série de 4 vidéos gratuites. On a plutôt bien posé les bases dans cette première vidéo.

On a vu pourquoi cette stratégie est selon moi la meilleure stratégie, pourquoi c’est également la plus puissante en termes de performance, et cela même au sein du marché des actions. On l’a vu avec les actions à dividendes croissants et réguliers.

Donc on se retrouve très prochainement dans la deuxième vidéo de cette série de 4 vidéos.

A tout de suite !

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