Pourquoi une crise est le meilleur moment pour investir ?

Lorsqu’une crise point le bout de son nez, cela peut être effrayant de continuer à déployer du capital dans des investissements.

Si c’est facile d’investir quand tout monte, beaucoup d’investisseurs se retrouvent prisonniers de leurs émotions quand tout baisse.

Et pourtant, c’est souvent lors des récessions et des crises que les plus belles entreprises et réussites sont créés. Je t’explique pourquoi il est donc primordial de continuer d’investir et même quand tout le monde semble avoir peur.

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Pourquoi une crise est le meilleur moment pour investir ?

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Retranscription de la vidéo :

Les amis, bienvenus sur cette nouvelle vidéo dans laquelle on va parler de pourquoi une crise est un excellent moment pour commencer à investir ou pour continuer même d’investir.

Une crise ne veut pas dire qu’on arrête tout. Au contraire, c’est peut-être même le meilleur moment pour créer, investir et continuer les innovations.

On va parler un petit peu de tout ça dans cette vidéo. Cette vidéo, elle est tournée dans le sens « investir et crise autour des entreprises, des start-ups plus précisément ». Evidemment, ça compte et ça joue aussi pour l’immobilier, les actions en Bourse, la cryptomonnaie.

Quand il y a une crise généralement, c’est le meilleur moment pour investir. Je pense que tu as déjà dû voir ça plus d’une fois, où on te dit que le mot « crise » en chinois, je crois, c’est l’ensemble de 2 mots qui veulent te dire qu’il y a des opportunités à saisir.

Bref, on va parler en tout cas ici de crise autour des start-ups.

Il faut savoir qu’en fait, on s’est rendus compte que c’est pendant les périodes de crises que les plus belles start-ups ont été créées. Notamment on pense à Airbnb lors de la crise financière. On pense également à Uber (crise financière également).

Dropbox, WhatsApp, toutes ces entreprises, ces grosses boites là que tu connais évidemment très très bien aujourd’hui et dans lesquelles tu as peut-être déjà utilisé les services, elles ont toutes été créées pendant la crise financière de 2008.

Et en fait, il y a une étude de Kauffman que je te fais apparaître à l’écran tout de suite, qui démontre qu’en fait, plus de la moitié des entreprises sur la liste Fortune 500 de 2009 ont été créées en période de crise. Et pour 2008, c’est un petit peu moins de la moitié.

Donc tu vois qu’en fait, il y a énormément d’entreprises qui sortent de terre quand c’est la crise.

Et en fait, ce qu’il faut comprendre, c’est que quand ce n’est pas la crise, c’est facile d’investir. C’est trop simple même. Quand tout monte, quand le cours des cryptomonnaies, les valorisations des entreprises, quand l’immobilier monte, le prix du mètre carré, quand tout monte, c’est facile d’investir et c’est facile de gagner, c’est facile de paraître être un bon investisseur. C’est facile.

Par contre, c’est quand ça fait peur qu’il faut déployer du capital. C’est à ce moment là en fait qu’il faut le faire, quand personne ne veut le faire, quand tout le monde commence un petit peu à avoir les chocottes, quand tout le monde commence à dire : « Moi, je fais demi-tour, moi je me replie un peu, moi j’attends, il y a une crise, il faut attendre un petit peu, il faut tempérer. »

Non, il faut vraiment le faire quand c’est une période de crise, parce que c’est vraiment à ce moment là qu’il est en fait possible d’aller choper de belles valorisations potentiellement.

Et en fait, regarde ce qui se serait passé si tu n’avais pas investi en 2008 là, où c’est la crise financière et on te dit que le monde va devenir un chaos total, qu’on est en train de vivre quelque chose qu’on n’a jamais vécu.

En fait, si tu avais investi ou pas investi en 2008, tu aurais raté les plus belles IPO qui ont eu lieu quelques années plus tard. Les IPO, c’est des introductions en Bourse.

Donc littéralement, quand Airbnb, WhatsApp, Dropbox ou ce que tu veux, ont commencé à se construire en pleine crise financière 2008, quand tout le monde avait peur, finalement, tous ceux qui avaient osé et qui avaient vu une opportunité pour eux d’investir en ce moment-là en pleine crise, ont été fortement, fortement récompensés quelques années plus tard lorsque ces entreprises se sont introduites en Bourse et ont provoqué pour leurs investisseurs des résultats phénoménaux.

Je n’ai pas en mémoire les chiffres des multiples que ces investisseurs ont réalisé, pour ceux qui se sont positionnés en 2008, en pleine crise financière, mais je suis sûr et certain qu’ils ont gagné des millions et des millions, et des milliards. C’est énormément d’argent.

Ce qui se passe en 2022, c’est qu’on a un contexte un petit peu particulier. On a un début de crise. On a un semblant de crise. On a un marché financier qui est en Bear Market. On voit quand même une tendance baissière. On voit des inquiétudes. On a quand même des choses bien concrètes dans l’économie qui nous font dire que potentiellement, ça va mal se passer.

L’inflation, les chaînes logistiques, la pandémie, il y a pas mal de choses. Okay ? La mondialisation qui est remise en question, les pays… Voilà, il y a pas mal de choses. On ne va pas faire l’état des lieux aujourd’hui dans cette vidéo là.

Mais quand même, on a un contexte pour ce qui est start-ups et entreprises qui n’est vraiment pas si dégueulasse que ça. Parce qu’on a encore énormément de fonds et de VC, les business angels, les gens qui investissent dans des jeunes entreprises, les start-ups, qui ont une tonne de cash.

Quand tu regardes les chiffres de cash qu’ils ont, c’est immense. Ils n’attendent que ça, que de déployer ce cash. Il n’y a pas un manque de cash.

Donc oui, même s’il y a de moins en moins de levées de fonds et qu’on voit que ça se contracte. En Amérique Latine, en Inde, en Asie, un peu partout dans le monde, aux Etats-Unis, on voit qu’il y a de moins en moins de levées de fonds, et qu’elles sont de moins en moins conséquentes, il faut faire attention. Ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de cash.

C’est simplement qu’il y a une peur ambiante, mais il y a encore énormément de cash.

Donc ça, c’est le premier point.

Egalement, on constate en 2022 qu’il y a de grosses boites cotées en Bourse, des multinationales, du Facebook, etc. qui sont en train soit d’arrêter d’embaucher pour le meilleur des cas, ou soit dans le pire des cas, qui sont en train de virer des cerveaux, qui sont en train de dire à plein de gens : « Allez, dégagez, il faut que ça parte. Nous, on veut prévoir potentiellement cette crise et être sain sur nos finances, sur nos coûts, et on veut se libérer de notre masse salariale. » Okay ?

Et également, ce qu’on va voir c’est des boites qui vont faire faillite parce qu’évidemment, qui dit crise, dit malheureusement opportunité mais dit également des gens qui souffrent. Il y a des secteurs d’activité, il y a des boites qui sont mal gérées, il y a des boites qui ont trop de dettes.

Il y a des boites qui ne vont pas réussir à supporter la crise, qui vont faire faillite et qui vont donc libérer de la place pour d’autres entreprises, et surtout également encore une fois, libérer des cerveaux.

Donc c’est pour ça qu’en pleine crise, finalement, c’est le meilleur moyen d’être à la fois un CEO, un fondateur parce qu’on a toujours des cerveaux qui sont disponibles voire même plus – on va en reparler juste un petit peu après – et également investisseur parce qu’en ce moment si on résume les choses, il y a plein de thune de disponible pour des levées de fonds.

Il y a plein de cerveaux qui sont disponibles, et il y a moins de concurrence. Je veux dire, dans un contexte comme celui-ci, on comprend assez facilement que c’est plutôt à notre avantage en tant que fondateur et même en tant qu’investisseurs que de continuer d’investir et de continuer d’innover et de créer des solutions et des produits et des services dans un contexte économique qui est qualifié de crise.

Alors, évidemment, une crise, encore une fois, ça porte bien son nom. C’est qu’il y a une crise, qu’il y a des problématiques, et que tout le monde ne s’en sort pas, et qu’il y a des gens qui vont souffrir. Mais il faut toujours rester positif et aller chercher là où on peut créer, innover.

Encore une fois, la résilience de l’être humain est très élevée, très forte, et il faut vraiment retenir ça pour continuer à avancer.

Alors, on va citer 5 points dans cette seconde partie de vidéo sur pourquoi c’est le meilleur moment pour investir.

On va revenir sur ce que j’ai commencé à t’évoquer sur le recrutement.

1.        Recrutement

En fait, quand tout va bien, quand on est en Bull Market, que l’économie est à son beau fixe, il y a plein de gens qui vont préférer aller bosser pour des grosses boites, Facebook, Apple, MasterCard, Visa, des grosses banques, Nokia (pourquoi je dis Nokia ? Bien que Nokia soit une entreprise très respectable mais pas forcément celle qui brille le plus aujourd’hui)…

Les gens vont aller vers les options qui sont les plus safe, qui paient le mieux. Et ça va être beaucoup plus dur de les convaincre, ces cerveaux qui sont très très bons, qui sortent de grandes écoles, qui ont des connaissances, des compétences, ça va être beaucoup plus dur de les convaincre de rejoindre une petite start-up qui est en train de se lancer, qui a encore tout à prouver, qui a tout à faire sur sa solution.

Donc ça, c’est un des avantages d’investir pendant une crise, c’est que ces cerveaux qui ont été dégagés des grosses boites ou qui ont été licenciés etc. vont être potentiellement être facilement ou beaucoup plus facilement « attrapables ». On va pouvoir les attirer beaucoup plus facilement que quand toute l’économie est à son beau fixe.

2.       Nouveaux besoins

Le deuxième point, c’est que qui dit « crise » – on l’a évoqué – dit « douleur ». C’est-à-dire qu’une crise va révéler souvent de nouvelles souffrances, de nouveaux besoins, il se passe quelque chose dans l’économie.

Alors, ça va dépendre de la crise. Si c’est une crise financière, si c’est un crash pétrolier, si c’est une pandémie, si c’est une guerre, évidemment, ce qui va ressortir de cette crise ne sera pas forcément les mêmes besoins et les mêmes souffrances.

Mais en tout cas, qui dit « crise » dit « souffrances », dit « nouveaux besoins » généralement.

Si on prend l’exemple de la pandémie, on s’est rendus compte que la pandémie a entraîné en fait que les gens soient enfermés chez eux, et l’impossibilité de sortir, avec toute cette problématique que ça a engendré.

On s’est rendus compte également qu’il y a eu plein de soucis dans la façon dont l’aspect médical a été géré, les surcharges d’hôpitaux, de lits, bref, tout ce qui est gravité autour de la santé.

Et en fait, tout ça, ça a révélé plusieurs choses et plusieurs besoins, notamment les besoins de services de livraison. Comment on fait si on ne peut pas sortir pour se faire livrer sa nourriture, pour manger, et ses courses ?

Les besoins de télémédecine. Si on ne peut pas sortir et qu’on est malades, comment on fait pour avoir des conseils pour se faire soigner. Donc la télémédecine.

Tout ça. On a eu des besoins autour de tout ce qui était du online meeting. Si on ne peut plus aller travailler dans un bureau, comment on fait pour travailler, rencontrer des gens, discuter avec eux, échanger ?

Encore une fois, l’être humain, c’est un être de communication. Il a besoin de communiquer avec les autres. Donc les besoins de online meeting, de « online education » également. Comment on continue d’apprendre, de se former ?

Mais aussi, les besoins de « online hobby », « fun », se divertir, donc tout ce qui était Netflix etc.

On a vu également tout ce qui était le télétravail, la traçabilité des informations. Comment on fait pour tracer un individu qui est malade vis-à-vis des autres personnes qui pourraient contaminer et refaire comme ça des chaînes ? On a eu toutes ces choses au travers d’applications.

Les process de recrutement. Comment on fait pour recruter des gens alors qu’on est à distance ? Comment on met en place tout ça, quand on sait qu’il y a plein de gens qui vont arrêter de travailler, qui vont trouver un nouveau travail ?

Donc il faut qu’on mette en place des process de recrutement beaucoup plus efficaces.

Mais aussi d’autres problématiques un peu plus indirectes : protection de son argent. Comment on fait quand les banques centrales décident d’imprimer et de donner de l’argent à tout le monde de façon gratuite sans qu’ils aient à travailler et qu’on voit que l’argent vaut de moins en moins ? Comment on fait pour protéger son argent ?

Donc on peut parler de solutions autour de la cryptomonnaie, de la Blockchain, de la DeFi, etc.

Bref, on voit que cette crise de la pandémie, elle a fait apparaître de nouveaux besoins qu’on n’imaginait pas forcément quand tout allait bien, quand on n’était pas en pleine pandémie.

Donc ça, il faut toujours se rappeler que douleur = souffrance = opportunité.

3.       Meilleure gestion

Le troisième point, c’est que quand on est en pleine crise pour une start-up, ça va l’inciter, ça va la pousser à avoir une très bonne gestion.

Qui dit « crise » dit encore une fois « on gère son cash », aussi bien à l’échelle d’une entreprise qu’à l’échelle personnelle.

Je veux dire, si c’est une crise et que l’argent est un peu moins nombreux, un peu moins conséquent, évidemment, on fait attention.

Donc une entreprise, une start-up qui commence à évoluer dans un contexte de crise, ça veut dire que c’est une entreprise, une start-up qui ne va pas recruter à tout va, qui penser tout de suite à la profitabilité. Comment on fait pour être rentable très rapidement ?

Comment on fait en sorte que quand on dépense, on gagne de l’argent relativement rapidement ?

Elle va savoir avancer de façon optimale, de façon « cheap ». Alors, « cheap », ce n’est pas péjoratif. Au contraire, ça veut dire qu’elle va être en mesure de bien gérer son cash et elle va avoir une très bonne résilience par rapport aux conditions de marché qui sont vraiment pas évidentes pour elle, alors que c’est une start-up.

Elle commence à avancer. Elle a tout à prouver. Elle a tout à faire. Elle doit attirer des clients, être profitable. Ce n’est pas évident. C’est délicat mais c’est un très bon exercice. Et les start-ups qui réussissent à traverser ces vagues un petit peu houleuses vont évidemment beaucoup mieux s’en sortir que celles qui potentiellement commencent à innover en pleine période de prospérité.

Parce qu’en pleine période de prospérité, on peut se permettre beaucoup plus d’écarts et d’abus.

4.       Optimisation des coûts

Le quatrième point, ça va être concernant les coûts. Les coûts d’exécution, généralement, en pleine crise, et d’opérations vont être beaucoup plus faibles. C’est-à-dire que pendant une crise, on peut beaucoup plus facilement négocier des outils, des services. On peut négocier les prix.

C’est-à-dire que la personne à qui tu vas acheter le service, le produit et la prestation, potentiellement, pour elle aussi, c’est une crise. Elle a peut-être moins de clients. Elle a peut-être moins de cash. Elle a peut-être moins de marges, de choses comme ça.

Donc tu vas pouvoir aller plus facilement négocier son produit et son service. Donc tu vas avoir des coûts d’exploitation qui vont être plus faibles.

Par exemple, si on parle de marketing online, les coûts des régies publicitaires va être  beaucoup plus faible parce qu’il y aura beaucoup moins d’annonceurs. Donc ça va te permettre d’avoir des coûts de prospects et de clients qui seront plus faibles. Donc ça, c’est cool.

Potentiellement, ton loyer va être beaucoup plus faible également. Peut-être que les outils dont tu vas te servir vont être beaucoup plus faibles également.

Donc ça, c’est extrêmement cool aussi, parce que quand on est une start-up, on a besoin d’optimiser ses coûts. Okay ?

5.       Levées de fonds

Le cinquième point qui est très très important, c’est concernant tout ce qui gravite autour de la levée de fonds, du funding en tant que start-up.

C’est-à-dire que voilà, quand tu es une start-up, tu vas lever des fonds auprès d’investisseurs pour pouvoir déployer ta solution et stimuler ta croissance, ça peut être des conditions qui vont être beaucoup plus serrées.

Evidemment, une crise, les fonds d’investissements, les VC vont potentiellement beaucoup moins donner leur argent facilement et rapidement. Ils vont potentiellement beaucoup plus creuser la due diligence.

Ils vont beaucoup plus creuser les chiffres, la start-up etc., mais encore une fois, ça va faire le tri. Ça veut dire que les business angels qui vont être smart vont savoir que c’est en période de crise qu’on innove le plus et qu’on va chercher les meilleures start-ups, et que c’est le meilleur moment.

Et pour les investisseurs, c’est souvent aussi le moment où on va chercher les meilleures valorisations. Parce que ce je te l’ai dit juste auparavant, on peut négocier le coût des outils, des services, des loyers quand c’est une crise parce que c’est un peu plus compliqué comme environnement.

Mais c’est pareil en tant qu’investisseur. On va pouvoir aller négocier les valorisations des start-ups.

Donc là, une start-up où elle aura levé des fonds peut-être à 50 millions de dollars 2 ans auparavant, en pleine période de crise, peut-être qu’elle va lever des fonds à 45, 40, 35, 30…

Ça dépend évidemment de la crise et de plein d’autres paramètres.

Mais c’est pour ça que les VC qui sont encore smart savent que c’est le meilleur moment pour investir.

En fait, ce qui s’est passé en 2021, l’instabilité économique et mondiale de 2022, ce qui se passait, c’est qu’on avait beaucoup de dumb money, donc de l’argent un peu débile qui arrivait sur les marchés de start-ups en fait.

Et il y a beaucoup de start-ups qui levaient extrêmement facilement des valorisation extrêmement élevées, qui réalisent leurs levées de fonds très facilement parce qu’il y avait beaucoup de dumb money, beaucoup de gens qui donnaient leur argent sans trop réfléchir, sans faire les due diligence, sans regarder concrètement la start-up, ce qu’elle faisait, les chiffres, la profitabilité et les choses comme ça.

Et en fait, c’était vraiment pas terrible. Donc c’est bien qu’il y ait aussi un assainissement du marché. Et ce qui va se passer, c’est qu’en pleine période de crise, on va avoir beaucoup plus de start-ups qui vont se « bootstrap ».

Alors, je ne sais pas si tu connais ce terme-là. « Bootstrap », c’est quand une start-up, en tout cas les fondateurs de la start-up ont fait en sorte de se développer sur la base de leurs propres ressources. Ils ne sont pas allés chercher des solutions extérieures. Ils ne sont pas allés chercher de l’aide à l’extérieur que ce soit auprès de la dette, auprès de fonds d’investissement, auprès d’investisseurs ou quoi que ce soit.

Ils ont vraiment commencé à développer leur solution tout seuls en mode « bootstrap ». Et ça, c’est cool. Parce qu’encore une fois, ça rassure de voir un fondateur qui a lancé son bébé seul et qui n’a pas compté que sur l’argent des autres, parce qu’encore une fois, quand c’est l’argent des autres, c’est quand même beaucoup plus simple.

Alors, oui, on cède un morceau de sa compagnie. Mais ce n’est pas le même engagement.

Quand on a mis son blé, quand on a mis 50.000, 100.000 ou 80.000 ou 40.000$ de sa propre poche pour lancer sa start-up, c’est toujours cool en tant qu’investisseur de voir ça, parce qu’on sait que la personne, elle a un niveau d’engagement qui est relativement élevé et qu’elle est prête à « mourir » pour sa start-up.

Et ça, c’est quelque chose qui me rassure en tant qu’investisseur.

Donc voilà concernant les 5 points qui font que selon moi, une crise c’est vraiment un excellent moment pour commencer à investir en tant qu’investisseur.

Et dis-moi dans les commentaires ci-dessous si c’est quelque chose pour lequel tu es entièrement d’accord avec moi.

Egalement, si l’investissement dans les start-ups t’intéresse, n’hésite pas à lire la barre de description puisque je ne te l’ai pas dit, mais moi, je suis investisseur dans les start-ups depuis maintenant plusieurs années, et j’investis dans plus de 60 start-ups de l’Inde au Mexique à l’Afrique, etc.

Donc il y a vraiment beaucoup de start-ups dans le monde entier, dans différentes industries, que ce soit la cryptomonnaie, la fintech, la logistique, l’e-commerce, et pas mal d’autres choses, la santé…

Donc lis la barre de description. Tout est à l’intérieur et tu pourras potentiellement investir avec moi dans toutes les start-ups dans lesquelles j’investis.

N’hésite pas à t’abonner à la chaîne YouTube si ce n’est pas encore fait. Partage cette vidéo à tes amis investisseurs.

Et je te dis à très très vite pour une prochaine vidéo. Ciao ciao.

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