Le biais de la maison quand on investit en bourse

Il y a un biais cognitif en bourse dont beaucoup d’investisseurs sont victimes. Il s’agit ce qu’on appelle le « biais de la maison ».

Je t’explique dans cette vidéo en quoi consiste ce biais et pourquoi tu dois probablement l’éviter au maximum.

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Le biais de la maison quand on investit en bourse

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Retranscription de la vidéo :

Le biais de la maison quand on investit. Est-ce que tu as déjà entendu parler de ce biais ? Si on peut parler d’énormément de biais qui concernent et qui touchent les investisseurs lorsqu’on parle d’investissement. Mais est-ce que tu as déjà entendu parler du biais de la maison ?

Il y a fort à parier que tu en sois probablement victime ou tu l’as été à tes tout-débuts dans ta carrière d’investisseur. C’est assez naturel. Et tu vas très vite comprendre ce qu’est le biais de la maison.

Le biais de la maison, comme son nom l’indique, en fait, ça fait référence au fait que la majorité aujourd’hui des investisseurs préfèrent investir leur argent dans des actions dites domestiques, donc, des actions, on va dire, à la maison, dans leurs pays d’origine. Donc, si tu es Français, en France. Plutôt que, en fait, d’investir leur argent dans des actions qui seraient étrangères. Donc, en dehors de leur pays d’origine. Donc, pour vous ou la majorité d’entre vous, la France. Tout en ignorant en fait, la majeure partie des bénéfices que ça pourrait apporter que d’investir à l’étranger.

Alors, ça s’explique assez facilement sur les raisons initiales du pourquoi du comment les investisseurs préfèrent investir dans des actions domestiques, c’est qu’initialement, les marchés financiers, il faut se rappeler que c’est quand même très récent l’idée qu’on puisse aller investir partout dans le monde dans des conditions vraiment optimales en terme de coûts, de facilité. Même, on va dire, de facilité d’accès au niveau du juridique, fiscal, etc…

A l’époque, c’était coûteux, c’était coûteux que d’aller investir outre-Atlantique ou sur un marché asiatique, c’était difficile d’accès. Il fallait avoir, on va dire, des contacts, ou des banquiers un petit peu haut de gamme. Il fallait avoir certains moyens pour pouvoir passer des heures, parce qu’il y a beaucoup de frais.

Et puis, également, la raison principale, c’est quand même qu’on connait beaucoup mieux les entreprises de son quotidien, dans son cercle, on va dire proche quand on sort dans la rue, tous les jours qu’on va au supermarché, qu’on va, je ne sais pas, à Carrefour, qu’on va à la pompe à essence et qu’on voit Total et qu’on va dans une pharmacie ou je ne sais quoi et qu’on voit du L’Oréal ou qu’on va dans un centre commercial et qu’on voit du Louis Vuitton.

Bref, c’est beaucoup plus palpable. Donc, les raisons initiales c’étaient vraiment ça. C’était l’idée de se dire que c’était coûteux, ce n’était pas facile d’accès, c’était potentiellement compliqué d’un point de vue fiscal et qu’on connaissait beaucoup moins les entreprises étrangères.

Alors, on pourrait se demander est-ce que ça touche finalement qu’un particulier de certains pays en question, est-ce que ça touche aussi les professionnels ?

En réalité, les études qui ont été faites et qui démontrent que tous les particuliers sont concernés par ce biais de la maison. Donc, que ce soit un particulier américain, un particulier français, un particulier japonais, ou que sais-je, tout le monde est concerné par ce biais de la maison. Mais, également les professionnels.

Donc, on s’est rendu compte que les professionnels également étaient en fait, impactés par ce biais de la maison. Et que les gérants, les managers de fonds d’investissement par exemple, étaient surpondérés sur des actions domestiques et principalement chez les managers qui étaient un petit peu moins expérimentés.

Donc, les managers moins expérimentés surpondéraient sur des actions domestiques, ceux plus expérimentés avaient tendance un petit peu à être moins victime de ce biais de la maison.

Mais on se rend compte quand même que in fine, que ce soit particulier ou professionnel, et que ce soit du côté américain ou asiatique ou européen, tout le monde est quasiment concerné, en fait, par ce biais de la maison qui est une tendance naturelle d’aller vers quoi on connait et ce qui est purement, en fait, humain.

Mais le problème de ça, de ce biais de la maison, c’est que, en fait, c’est quelque chose qui est relativement émotionnelle. Ce n’est pas quelque chose de rationnel. Ce biais intervient parce qu’on ne connait pas quelque chose, donc, on n’y va pas. On connait moins donc, on n’y va pas. Et, sentimentalement parlant, on se dirige vers les choses qu’on connait.

Donc, ça ce n’est vraiment pas bon en émotions parce que, en émotions, il faut vraiment être très rationnel, il ne faut pas se laisser influencer par les émotions et ne pas se dire : « Je connais mieux cette chaine de supermarchés que cette chaine de supermarchés outre-Atlantique ou en Asie, donc, forcément, je vais aller vers celle que je connais ».

Non, ça ne marche pas comme ça les investissements, il faut être très très rationnel, très très froid, ne pas impliquer ces émotions pour prendre les meilleures décisions. Donc, très facile à dire et évidemment, beaucoup moins facile à appliquer.

En fait, ce qui se passe aujourd’hui, c’est qu’il y a plusieurs raisons – je t’ai fait une petite liste ici devant l’ordinateur – qui expliquent pourquoi tu as encore aujourd’hui beaucoup de particuliers français qui ne veulent pas aller investir notamment sur le marché américain.

Si tu ne me connais pas, moi, j’investis sur le marché américain depuis maintenant 7 à 8 ans. J’ai investi à peu près 550.000 $ dans les actions à dividendes américaines. Même si je suis né sur le sol français, je n’investis pas du tout en France. Et je le vois chez beaucoup de mes clients qui comprennent évidemment toute la puissance du marché américain, la rentabilité, la liquidité, les plus grosses entreprises, la culture de l’actionnariat, du dividende, etc…

Mais pour autant, ils ont toujours ce biais de la maison, et je le ressens très fortement de ce dire : « Ouais, mais quand même le marché français, il n’est pas si nul que ça ».

On a en plus de ça, le PEA à 0%. Donc, on essaie de trouver des arguments sur lesquels se rattacher. Le PEA à 0% c’est vraiment un faux argument parce qu’encore une fois, si tu gagnes 5% avec 0% de fiscalité, tu as 5% à la fin, mais par contre, si tu gagnes 10% avec 30% de fiscalité, comme aux Etats-Unis, il te reste 7 à la fin. Donc, tu as gagné plus d’argent en étant imposé qu’en n’étant pas imposé et en restant en France.

Donc, ça c’est un faux argument. Il faut voir combien tu vas générer derrière.

Donc, bref, on essaie un petit peu de se rattacher à des choses comme ça pour se convaincre que finalement, son marché domestique n’est pas un marché si mauvais que ça.

Et ça, ça marche pour les Français mais ça marche pour quelqu’un qui serait en Corée, ça marche pour quelqu’un qui serait au Brésil, ou où tu veux, en fait. Tout le monde, en tant qu’humain réagira comme ça et se dira ce n’est pas si mal où on est, c’est comme ça plutôt que de faire l’effort d’aller voir ce qui se passe ailleurs.

Parce que, voilà, je te le disais, il y a une petite liste de paramètres qui font qu’on se convainc de rester à la maison. C’est notamment la barrière de la langue. Quand tu es en France, on va vraiment rester sur la dualité France – Amérique, quand tu es en France et que tu te dis : « Il va falloir que je comprenne l’anglais, que j’aille potentiellement aller chercher des infos en anglais, lire des bilans comptables en anglais ». Encore une fois, un bilan comptable, c’est des chiffres.

Donc, il faut traduire chiffres d’affaires, il faut traduire marge, il faut traduire capitaux propres. Donc, ce n’est pas non plus très très dur. Si tu fais l’effort, tu as 20 – 25 mots, grand max, peut-être à aller traduire et à aller maitriser. Je pense c’est accessible.

Mais, en tout cas, c’est déjà trop pour beaucoup de personnes de se dire : « Il faut que je maitrise l’anglais, moi, l’anglais, je suis une bille, je ne comprends rien, et je n’ai pas envie, j’ai passé l’âge, j’étais nul à l’école, maintenant c’est comme ça, je ne parle que français. Voilà, premier argument.

Ensuite, il y a la difficulté de croire que ça va être compliqué d’un point de vue fiscal, la croyance fiscale de se dire que ça va être à déclarer. « Il va falloir que j’aille chercher des CERFA, il va falloir que j’aille trouver des nouvelles classes que je n’ai jamais utilisées, il va falloir que je fasse peut-être du crédit d’impôts et des choses comme ça ».

Et en fait, là aussi, moi, je pense que c’est de la fainéantise parce que franchement, quand on veut, on peut et honnêtement, ce n’est pas si dur que ça que de déclarer des dividendes ou des plus-values de source américaine ou étrangère.

J’ai envie de te dire : franchement, ce n’est vraiment pas très compliqué. Mais, on a cette croyance de croire que ça va être très compliqué, que ça va impliquer plusieurs pays, plusieurs règlementations, plusieurs gouvernements et on va se dire : « Oh la, ça va être un bordel, il va peut-être y avoir des erreurs, on va venir m’emmerder, on va me faire des réclamations, je ne vais pas réussir à répondre ». On s’imagine tout de suite tout un tas de choses.

Alors qu’au final, il y a quand même pas grand-chose qui se passe. On parle d’investissement long terme, très passif, on ne fait que très peu d’ordres tous les mois, 1 seul ou 2 grand max. Il ne peut pas y avoir 50.000 erreurs, tu vois.

Il y a aussi, en fait, le côté fainéantise, comme je te le disais, flemme de faire un effort pour comprendre, en fait, parce que c’est plus simple de rester dans sa complaisance, dans son quotidien, dans son confort, dans sa routine, dans sa vie de tous les jours, plutôt que de se dire : « Attends, c’est quoi les leaders dans le secteur de l’industrie ou de la santé aux Etats-Unis ? Mais pourquoi, lui, il est plus leader que son concurrent ? C’est quoi son avantage compétitif ? »

En fait, il faut tout réapprendre. Alors, c’est ça aussi l’investissement. Tu vois, il y a un moment, tu fais de l’immobilier, il faut que tu apprennes un marché, tu investis dans les start-ups, il faut que tu apprennes le marché de la start-up. Tu investis dans des actions c’est pareil, la crypto c’est pareil. Bref, il n’y a pas de magie, ça c’est inhérent, j’ai envie de dire, à l’investissement. Tu n’investis pas au hasard, en tout cas, normalement, non.

Ensuite, qu’est ce tu as d’autres ? Flemme de gérer plusieurs devises.

Donc, voilà, mais il y a de l’euro, il y a du dollar. Donc, il va falloir que je convertisse mes euros en dollars, mais peut-être que des fois le taux de change ne sera pas bon. Donc, qu’est-ce que je vais faire dans ces moments-là ? Est-ce qu’il faut que je passe à l’action ? Est-ce qu’il faut que je fasse une pause ? Mais si j’ai des dollars, ça veut dire que j’ai peut-être des comptes à l’étranger. Est-ce qu’il faut que je déclare mes comptes à l’étranger ?

Bref, en fait, on se crée tout un tas de scénarios, encore une fois, compliqués alors qu’en fait, convertir des euros en dollars, aujourd’hui ça se fait en 2 clics. Et il ne se passe rien, tu n’es même pas obligé d’avoir un compte à l’étranger, tu peux faire ça sur des comptes multidevises que tu détiens aujourd’hui de ton côté, depuis la France.

C’est extrêmement simple. Donc ça, fausse raison également.

Non-compréhension des entreprises, de la politique du pays en question, des règles comptables du pays en question, de la fiscalité du pays en question. Tout ça pour moi, c’est évidemment un point à considérer mais qui n’est encore une fois pas aussi immense que ce qu’on peut imaginer.

Peur de payer plus cher en frais, on va se dire : « Ouais, mais, il me faut un nouveau courtier peut-être, je vais peut-être payer plus cher en frais, les taux de change, les passages d’ordre », tout ce que tu veux. Devoir créer un compte chez un autre courtier, et se dire : « Mais, moi, j’avais un PEA uniquement chez, je ne sais pas, Boursorama ou Bourse Direct ou dans ma banque traditionnelle. Grosse erreur, et il va falloir que j’aille chez un courtier, je ne sais pas, chez Interactive Broker, je vais avoir courtiers du coup. C’est chiant à gérer ».

Bref, l’impression qu’il y a plus de risques et on va terminer sur le meilleur, tout simplement, être chauvin. Parce qu’aujourd’hui, il y a beaucoup de Français qui continuent d’investir et qui vont rester sur le marché français par chauvinisme.

« Parce que moi je suis Français, je mange ma baguette avec ma confiture. L’apéro c’est du vin avec du saucisson et du beurre demi-sel et c’est comme ça. Donc, ne me fais pas chier avec les entreprises américaines, moi je suis Français. »

Donc, voilà, je le dis sur le ton de la rigolade mais c’est un petit peu ça pour certains. Certains sont chauvins.

Mais c’est dommage, parce qu’encore une fois, les actions US ça représentent 60%, c’est énorme, du marché mondial et comme je te le disais, c’est le marché le plus rentable, le plus ancien avec le plus de data, avec le plus de culture autour du dividende et de l’argent.

En France, tu vois très bien ce qui se passe. On crache toujours sur les dividendes, les actionnaires, les investisseurs.

Aux Etats-Unis, en Amérique, il y a tellement de fonds de pension qui dépendent des dividendes d’entreprises américaines, que ce n’est même pas un débat, en fait. C’est dans la culture, les dividendes. Voilà, c’est normal, c’est le pays qui en verse le plus au monde, qui est le plus généreux. Voilà, les plus belles entreprises du monde.

Voilà, je n’ai pas envie de sucer les américains parce que ce n’est pas du tout le peuple que je préfère le plus, le pays que je préfère le plus au monde. Mais, d’un point de vue business et actions à dividende, il n’y a pas à dire, il n’y a pas à cracher dans la soupe, ce sont pour moi les plus belles entreprises, les plus belles opportunités. Okay ?

Donc, voilà, quand tu es Américain, tu peux être chauvin, il n’y a pas de souci. Tu as déjà le meilleur marché du monde.

Donc, voilà, 85%, j’ai la stat sous les yeux, 85% des américains investissent chez eux. Donc, là il n’y a pas de souci, j’ai envie de te dire, tu es Américain, tu investis chez toi, tu as les plus belles entreprises, elles sont rentables. Voilà. Mais quand tu es Français, je trouve ça vraiment dommage de se priver de ça parce que tu passes vraiment à côté d’une grosse performance.

Donc pour certains, on va dire, le confort a un coût. Ils vont se dire : « Je suis conscient qu’il y a mieux ailleurs mais moi, je n’ai pas envie de m’emmerder. Je préfère faire moins de performance mais rester chez moi. »

Pourquoi pas, mais c’est très dommage. Je trouve quand même que quand tu investis, c’est quand même pour gagner de l’argent. Donc, je trouve ça dommage. Mais, voilà.

Et surtout que rien n’empêche de faire les 2. C’est-à-dire que moi je dis toujours à mes clients : « Okay, pourquoi pas, tu veux profiter de ton PEA, tu as des entreprises que tu aimes beaucoup en France, que tu veux détenir dans ton PEA, il n’y a aucun souci. Même, je dis à tout le monde, crée un PEA, ça ne coute rien, c’est gratuit, tu fais tourner le fameux compteur fiscal, pour qu’au bout de 5 ans, ton PEA soit mature et non fiscalisé, en tout cas, hors CSG CRDS. »

Mais, pourquoi ne pas faire les 2 en fait ? Pourquoi ne pas avoir une partie PEA et une partie compte-titre. Investir PEA en France et Europe et compte-titre sur des actions américaines.

Donc, voilà, encore une fois, aujourd’hui, on n’a plus aucune excuse pour ne plus investir à l’étranger et aux Etats-Unis, c’est devenu super-simple. Aujourd’hui, tu crées un compte-titre. Chez Interactive Broker, ça ne prend pas beaucoup de temps, tu achètes très vite tes premières actions aux Etats-Unis, en quelques clics, c’est réglé.

Donc, diversifier, encore une fois, c’est réduire son risque, augmenter sa performance, et c’est super important.

Voilà, dis-moi ce que tu en penses dans les commentaires ci-dessous. Est-ce que tu avais déjà entendu parler de ce biais de la maison ? Est-ce que tu estimes que tu en es victime ? Dis-le moi honnêtement dans les commentaires ci-dessous.

Je suis très curieux de savoir si tu penses que oui, tu es « victime », alors, ce n’est peut-être pas le bon mot « victime », ça parait un petit peu péjoratif. Est-ce que tu penses que tu subis, je ne sais pas comment dire, ce biais de la maison ?

Moi, honnêtement, j’ai commencé l’investissement il y a 7-8 ans en investissant sur un PEA dans des actions françaises. Je devais acheter à l’époque du SANOFI, TOTAL, je ne sais même plus, c’était déjà il y a 7- 8 ans, donc, j’ai oublié. J’ai tout revendu quand je me suis expatrié pour ne plus détenir de PEA pour ne plus avoir d’intérêts économiques en France. J’ai ouvert un compte-titre à ce moment-là, j’ai commencé à investir uniquement sur les actions américaines.

Mais, c’est vrai qu’au début, naturellement, je me suis dirigé vers les actions françaises parce que j’étais Français. Ça me paraissait beaucoup plus cohérent et je n’ai même pas considéré l’ombre d’un instant le marché américain. Tu vois, parce que je me suis dit à l’époque, je ne sais même pas ce que je me suis dit, je me suis dit ce n’est juste pas logique, en fait, je suis Français, je vais investir en France.

Et plus tard, j’ai bien compris qu’en fait, c’était potentiellement une erreur et que c’était aux Etats-Unis, en lisant en lisant en lisant des études académiques et pleins de livres, et des ressources que, voilà, la performance, les dividendes c’est aux Etats-Unis point barre. Il n’y a même pas de débats là-dessus.

Voilà, dis-moi tout dans la barre de commentaires ci-dessus. Si tu as la moindre question, avec grand plaisir, j’y répondrai.

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Et je te dis à très très vite pour une prochaine vidéo. Ciao Ciao.

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