La folle histoire boursière de John J. Raskob

L’histoire que je m’apprête à te raconter va te permettre de retenir une belle leçon concernant tes investissements en bourse.

Il s’agit de l’histoire de John J. Raskob. John est cadre supérieur dans le secteur financier chez General Motors. Et en été 1929, il recommande à tous les américains d’investir en bourse pour devenir riche…

Il prévoit de très beaux jours pour l’économie américaine et promet que les américains peuvent s’attendre à 24% de performance chaque année… Du jamais vu pour les Etats-Unis…

La suite est, elle, beaucoup moins rose puisque la crise de 1929 pointe le bout de son nez. Mais tu vas voir que la conclusion que l’on peut tirer de cette histoire n’est pas du tout celle que tu imagines.

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La folle histoire boursière de John J. Raskob

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Retranscription de la vidéo :

La Bosnie Herzégovine, Sarajevo. C’est en direct de ce pays que je m’apprête à me transformer en Père Castor pour aujourd’hui te raconter une petite histoire – rassure-toi – qui a toujours un rapport avec l’investissement en Bourse, et qui – tu vas voir – est très intéressante.

Cette histoire – je vais commencer tout de suite – elle remonte, puisqu’elle date de 1929, plus précisément l’été 1929.

Et c’est l’histoire de John J. Raskob – j’espère que je prononce bien son nom (paix à son âme) – que je vais te raconter.

Donc on est en été 1929. John Raskob – je ne te l’ai pas dit – il est cadre supérieur dans la branche financière de General Motors, et il est donc interviewé par Samuel Crowther (j’espère que je prononce bien son nom également) pour un journal, Ladies Home Journal sur le sujet de l’investissement en Bourse et sur comment tout un chacun pourrait devenir riche en Bourse.

D’ailleurs, c’est le titre de cet article, de cette interview dans ce journal qui va être « Tout le monde devrait être riche ».

Et du coup, que dit notre John Raskob dans cette interview ?

Il dit que l’Amérique, les Etats-Unis sont sur le point d’être sur une grande croissance industrielle, et que c’est vraiment le moment d’investir, et que si aujourd’hui, les Américains, ils investissent ne serait-ce que 15$ par mois… (alors, il faut mettre en contexte que valent 15$ à l’époque en 1929, ce ne sont pas les 15$ d’aujourd’hui, clairement pas).

Les 15$ de l’époque, ça représente en fait pour eux l’équivalent d’une semaine de travail, puisqu’à l’époque, une semaine de travail leur était payée 17 à 22$ en moyenne.

Donc on se rend compte que pour faire les maths par rapport à aujourd’hui, ça représenterait à peu près une semaine de travail, une semaine par mois, un quart du salaire que vous avez aujourd’hui.

Donc voilà, sur l’idée d’un SMIC, on va dire 300 à 400€ par mois.

C’est grossier comme parallélisme, on va dire, mais c’est pour vous donner un ordre d’idée.

Et donc, John, qu’est-ce qu’il nous dit ? Je l’appelle John maintenant. C’est devenu mon pote.

Il nous dit qu’à l’époque (dans cet article) que si on investit ne serait-ce que 15$ par mois dans les actions et en Bourse, les investisseurs pourraient estimer revoir dans 20 ans l’équivalent de 80000$.

Ce qui est donc énorme, puisque si on fait un X4 grossier, c’est 320000$ en 20 ans. Et pour parler en pourcentage, ça fait un retour annuel de 24% par an, ce qui n’était jusqu’à présent du jamais vu.

Donc voilà, John, il vous dit : « Mettez ça, vous allez avoir 24% de retour, de ROI annuel de 24% alors qu’on n’avait jamais vu ça.

Et l’idée, encore une fois, de se dire qu’on va pouvoir faire fortune facilement en ne mettant que 15$ dans les marchés financiers, et en récoltant 24% chaque année, vous vous doutez bien que ça vend.

Ça vend du rêve, aussi bien en 1929 qu’en 2021. Quand on vous dit qu’on va gagner de l’argent relativement facilement sans trop se fouler, il y a évidemment beaucoup de gens qui courent et qui sont prêts à passer à l’action.

Il faut aussi mettre dans le contexte qu’on est en été 1929, qu’on est en plein Bull Market. Les marchés financiers se portent très très bien, et qu’il y a un peu cette euphorie dans l’air qui fait que beaucoup de gens foncent, y croient, y investissent leurs économies.

Certains même font des crédits dans l’espoir de pouvoir récupérer un joli retour sur investissement.

Donc ça, c’était pendant l’été 1929.

Le 3 septembre 1929, on se rend compte que le Dow Jones, un des indices phares américains atteint son plus haut historique.

Donc là, on se dit : « Tout va bien. Raskob, il a raison. Le bon vieux John, il va me rendre riche. »

Sauf que vous voyez venir, 1929. Je pense que si vous connaissez un petit peu la Bourse, vous savez ce qui s’est passé cette année.

C’est une année historique puisque quelques semaines après, il y a eu le krach financier de 1929. Tout s’est cassé la gueule, et c’était le plus gros krach, le plus dévastateur pour les Etats-Unis, parce qu’on a vu des actions perdre jusqu’à 89% de leur valeur.

89%.

Donc imaginez-vous un jour… Vous avez un portefeuille, peu importe la valeur, et lendemain, vous perdez 89% de cette valeur. Ça fait (excusez-moi l’expression) « mal au cul ».

Donc là, vous vous doutez bien qu’avec cette crise, ça en a calmé plus d’un. Il y a des millions d’investisseurs qui se sont retrouvés ruinés.

Ceux qui avaient fait des crédits pour investir en Bourse, je ne vous en parle même pas. Ils ont été totalement liquidés.

Et ça a été une vraie catastrophe pour les Etats-Unis. Ça a été la plus grosse dépression, la plus grosse crise que les Etats-Unis ont connu.

En fait, ce qui s’est passé en 1932, quand tout ça s’est un petit peu terminé, quand le carnage était terminé, c’est qu’on a pointé du doigt le bon vieux John.

On lui a dit : « John, c’est de ta faute si tout ce qui est arrivé est arrivé, finalement. »

On a pris John comme étant le responsable de cet évènement. C’était la crise de 1929. On lui a dit : « Tu as représenté tous ceux qui sont attirés par l’argent, qui veulent de l’argent rapide, qui sont avares, qui ne jurent que par l’argent, qui ne réfléchissent pas, et qui pensent que les marchés financiers ne peuvent que monter, que monter, que monter, et qu’ils deviennent totalement irrationnels. »

Qui entraîne donc ces fameuses crises ? On a pointé John comme étant encore une fois le responsable de ces crises et de ce délire qui a emparé les marchés.

Pire encore, on a un sénateur, Arthur Robinson de l’Indiana, qui a publiquement dit que c’était clairement de sa faute, encore une fois au bon vieux John, parce qu’il a incité des gens rapidement à aller acheter des actions en espérant devenir riches.

Et encore une fois, selon la loi de l’offre et de la demande, si un actif est fortement demandé et que tout le monde y met ses liquidités, on a des volumes d’achats, d’achats, d’achats et d’achats, on a de la demande et ça fait monter les prix jusqu’à atteindre des niveaux qui sont devenus irrationnels et qui provoque potentiellement des bulles.

Et l’éclatement de cette bulle pourrait se résumer de façon assez simple.

Donc ça, c’était en 1929, la crise de 1929 telle qu’on la connaît.

Qu’est-ce qui se passe après 63 ans plus tard, en 1992 ? On a Forbes, ce magazine qui avertit les investisseurs d’une surchauffe potentielle du marché, d’actions qui seraient surévaluées.

Voilà, il leur dit : « Il faut faire attention. »

Et dans un article que Forbes publie à cette époque, en 1992, on reprend en exemple le bon vieux John en lui disant : « Regardez ce qui s’est passé en 1929. Il y a le bon vieux John Raskob qui aida à provoquer une catastrophe auprès des investisseurs. »

« Il les a ‘ruinés’ ». Comme si c’était « de sa faute ».

Encore une fois, il faut vraiment avoir en tête qu’il ne faut jamais suivre bêtement les gens et toujours avoir son propre avis.

Donc tenir responsable quelqu’un qui a eu des propos… Voilà, c’est prouver à soi-même qu’on est un enfant et qu’on n’a pas forcément des facultés de raisonnement.

Mais ça, c’est une autre parenthèse.

Donc voilà, Forbes, en 1992 dit : « Regardez Raskob. Ça a été le pire cas dans l’histoire qui a démontré clairement que les marchés financiers ne sont pas une machine à devenir riche par magie, et qu’il faut faire très attention. »

Donc, tu l’as compris. Le bon vieux John, il en a pris plein la gueule, que ce soit en 1929 juste après l’été où il a recommandé de mettre 15$ dans les marchés financiers pour devenir riche.

C’est vrai que le discours était un petit peu « tape-dedans », c’est-à-dire qu’il te disait : « Mets 15$ et puis tu vas voir, tu vas devenir riche dans un article qui s’appelait « Tout le monde devrait être riche ».

Tu as capté l’ambiance. Il était peut-être un petit peu agressif.

Mais est-ce que finalement, John Raskob, il s’est trompé tant que ça, et est-ce qu’il mérite tout cet acharnement qu’il a subi ensuite dans la foulée, et même 60 ans plus tard ?

La réponse, elle est que non. Tu me vois venir.

C’est que quand on fait les maths et qu’on regarde la performance du marché par rapport à ce qu’il a dit d’investir, on les a les chiffres. C’est le passé.

Donc on peut facilement regarder ce qu’ont produit les marchés.

On sait que dans la foulée de l’été 1929, on a eu cette crise qui a fait mal au cul, qui a ruiné des millions d’investisseurs américains.

Mais sur le long terme, encore une fois, qu’est-ce qui s’est passé si on avait conservé nos positions et qu’on avait été patients ?

Parce que tu le sais, si tu me connais un petit peu, moi, je prône l’investissement long terme. Et sur le long terme, quasiment quel que soit l’actif, on est quasiment sûr de toujours très bien s’en sortir et de générer de belles performances.

Il ne faut surtout pas réagir aux épisodes court terme, comme une crise, justement qui peut faire très mal au portefeuille, à porter beaucoup de volatilité, mais finalement ne veut rien dire sur la performance sur le long terme.

Donc revenons à notre bon vieux John. Qu’est-ce qui s’est passé si on avait suivi ses conseils et qu’on avait mis les 15$ qu’il préconisait de mettre chaque mois, soit à peu près un quart de son salaire dans la Bourse ?

Donc évidemment, on aurait subi la crise de 1929. On n’aurait pas traversé cette crise par magie.

Mais sur le long terme, on se serait rendu compte qu’on aurait généré plus de performance que les obligations court terme, plus de performance évidemment que le cash, et j’ai uniquement les stats pour ces actifs-là.

Mais l’idée, elle est de dire encore une fois qu’en investissant sur le long terme et petit à petit, on liste tous les évènements de marchés qui peuvent se produire : des crises, des krach pétroliers, des guerres, des changements géopolitiques, ce que vous voulez.

Si on regarde les retours sur investissement en pourcentage, on va voir que c’est loin d’être dégueulasse puisque 20 ans après la crise de 1929, le portefeuille, il affiche une rentabilité de 7,86% annuellement, ce qui est loin d’être dégueulasse.

Et 30 ans après, le portefeuille, il affiche une rentabilité de 12,72% chaque année.

Donc dites-moi ce que vous en pensez dans les commentaires ci-dessous, mais quand on regarde la moyenne long terme de l’investissement en Bourse sur 100 ans ou 200 ans, on est généralement autour de 8 à 10% (ça dépend des statistiques qu’on a).

Donc là, on se rend compte qu’on est entièrement dans les clous, et même au-dessus, puisque 30 ans après, on a une performance de 12,72% chaque année, ce qui est bien au-dessus de la moyenne sur le très long terme de l’investissement en Bourse.

Donc finalement, le bon vieux John – celui qu’on a craché dessus en disant qu’il donne des mauvais conseils, qu’il a ruiné des millions d’Américains, « c’est de ta faute aujourd’hui si les gens pensent qu’on peut devenir riche avec les marchés financiers », John, il n’a pas si tort que ça.

On peut réellement devenir riche avec les marchés financiers, à condition qu’on soit patient, qu’on ait une vision long terme, et qu’on ne s’attache pas à des évènements court terme, à des évènements qui font mal au marché, qui apportent de la volatilité, puis qui ne représentent pas la globalité de la performance des marchés financiers sur le long terme.

Alors, évidemment, on est quand même loin des performances promises par le bon vieux John. Les 24% annuels, on n’y est pas.

On est à 2X mois, voire presque 3X moins. Donc on n’y est pas, mais voilà, ce n’est pas ça qu’il faut retenir de cette histoire.

Evidemment que John a eu un discours un petit peu trop agressif. Ce qu’il faut retenir, encore une fois, c’est que ceux qui passent à l’action auront toujours plus de résultats que ceux qui ne passent pas à l’action.

Et c’est vrai qu’aujourd’hui, quand on investit en Bourse, potentiellement même en 2021, on peut toujours investir au mauvais moment, à l’aube d’un krach, à l’aube d’une crise sur des niveaux de valorisation trop élevés.

Ce sont des discours qui reviennent assez régulièrement aujourd’hui en 2021 où on se dit : « ça monte, ça monte. »

Le S&P500 atteint toujours plus des nouveaux records, des records historiques, et on se demande s’il ne va pas potentiellement y avoir une correction un jour, et ce qui fait qu’on va potentiellement se positionner au pire moment.

Peut-être. Peut-être pas. On ne sait pas.

Evidemment qu’il y aura un jour une correction. Ça, c’est une certitude. Comme on dit toujours : « Les arbres ne montent pas jusqu’au ciel » (adage boursier) quand on ne sait pas.

Le problème, c’est de se dire que si on attend cette correction, vous allez potentiellement attendre longtemps, puisque cette correction peut avoir lieu aussi bien demain que dans 6 mois, un an, 2 ans, 5 ans, 10 ans, on n’en sait rien.

Donc l’idée, encore une fois, (je vais te montrer une étude qui va sûrement te rassurer) c’est de se dire qu’il faut passer à l’action. Et l’action apporte des résultats.

« La vie récompense les gens qui passent à l’action ». J’adore cette citation mais c’est la réalité.

Et je vais te montrer un extrait de mon livre à l’instant, que je vais te mettre sur ton écran, qui démontre très clairement qu’il y a peu à soucier finalement de se positionner au pire des moments, puisque voilà, dans mon livre La Magie des Dividendes (que tu pourras retrouver dans la barre de description), en page 133 ici dans le chapitre qui s’appelle « Mon action peut-elle valoir zéro euro ? » (qui est une question qui parfois peut être posée)…

Je vais te lire ces quelques lignes ici :

« Pour compléter mes propos, et peut-être vous rassurer, le S&P500 n’a jamais subi de pertes sur une période de 20 ans depuis 1928, peu importe l’année où vous aviez commencé à vous positionner entre 1928 et 1998 (et donc même si vous aviez investi à l’aube d’un krach ou d’une crise). »

Donc notamment celle de 1929 qu’on vient d’évoquer dans l’histoire de John.

« Et pourtant, il y a eu une paire de crises et d’évènements géopolitiques durant toutes ces années. » Krach, guerres, évènements etc.

Il y a eu plein de choses qui se sont passées – et vous le savez très bien – pendant ces années.

« Cela signifie que si vous investissez avec un horizon de minimum 20 années, ce que je vous recommande, la probabilité pour vous de perdre de l’argent est extrêmement faible. »

« D’autres études ramènent même ce chiffre à 10 années en regardant de 1885 à 2015. »

J’adore regarder des études vraiment sur le long terme. C’est là où on a vraiment des insights qui sont très intéressants.

« L’idée est de démontrer que sur le long terme, vos probabilités de perdre de l’argent sont presque nulles (rien n’est jamais garanti dans le monde de l’investissement d’où l’utilisation du ‘presque’). »

« Si on recoupe les informations que j’ai pu vous donner dans ce livre, cela signifie que sur une durée d’investissement de 20 ans, vous avez probablement une chance de 100% de ne pas perdre d’argent tout en ayant bénéficié d’une performance moyenne de 10% par an sur le S&P500, et de 6% par an sur le CAC40… »

Donc voilà, je ne sais pas si ça vous rassure de lire ce petit passage qui est issu de mon livre « La Magie des Dividendes », dont vous pouvez voir la couverture ici, qui est disponible dans la barre de description.

Mais je pense que c’est assez parlant, comme quoi les marchés financiers peuvent être assez effrayants pour certains.

C’est le lieu où on peut lire des scandales, des suicides parfois, des gens qui font fortune, des meurtres, des gens qui font faillite. Il y a tout un tas d’histoires rocambolesques.

Parfois, les médias adorent s’attribuer pour vendre des journaux parce que ça va faire de l’audience, mais ça reste également le lieu où il y a beaucoup de gens qui vont investir leur argent et le faire fructifier.

Et tout se passe bien, généralement, sur le long terme, puisqu’on a vu que les performances sur le long terme sont plutôt très intéressantes.

Donc voilà pour cette histoire de John Raskob. Dis-moi ce que tu en as pensé dans les commentaires ci-dessous.

La grosse conclusion, c’est quand même de se dire que même ceux qui sont passés à l’action à la veille du krach de 1929 sont devenus plus riches que ceux qui n’avaient rien fait, que ceux qui ont suivi ou qui ont tout revendu dans le stress de la crise.

Voilà, encore une fois, il n’y a jamais de certitude en Bourse. Peu importe le moment où vous investissez, si vous avez un horizon d’investissement long terme, je suis quasiment certain au plus profond de moi que tout se passera bien pour vous.

N’hésitez pas à me poser vos questions dans les commentaires ci-dessous. Je répondrai avec grand plaisir.

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Merci à toi de m’avoir écouté, et je te dis à très très vite pour une prochaine vidéo. Ciao ciao !

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