J’investis dans une nouvelle start-up (investissement n°2)

Dans cette vidéo, je te parle de la dernière start-up dans laquelle j’ai investi. Les start-ups ne sont pas mon sujet de prédilection, du coup je me suis entouré du, selon moi, meilleur expert francophone concernant les start-ups américaines prometteuses dans lesquelles investir.

J’ai réalisé une vidéo de presque 40 minutes avec Gabriel où on parle de son parcours : https://www.youtube.com/watch?v=I2JMx…

Gabriel sera intervenant à mon prochain séminaire à Genève le 5 Décembre 2020, tu peux réserver ta place ici : https://clubmillionnaire.fr/seminaire

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J’investis dans une nouvelle start-up (investissement n°2)

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Retranscription de la vidéo :

Bienvenus sur cette nouvelle vidéo en direct de la voiture. Donc c’est la première fois que j’essaie dans la voiture, comme ça. Dis-moi si tu aimes bien ce concept ou pas.

Est-ce que j’arrête tout de suite ou est-ce que je continue en mode un peu balade et on discute ? Puisqu’aujourd’hui, je vais te parler de quelque chose dont je parle en plus rarement : les start-ups.

Je vais te parler en fait du dernier investissement que j’ai fait dans une start-up. Je vais te dire tout. Cette fois-ci, je ne vais pas cacher quoi que ce soit, à ceux qui veulent savoir mes dividendes notamment, des choses comme ça.

Là je vais te dire le nom de la start-up. Il n’y a aucun souci, puisque de toute façon tu ne pourras plus investir dedans, puisque la levée de fonds est terminée.

Donc il n’y a aucun risque que tu puisses « copier ma position », et que ça se passe mal pour toi, et que tu viennes te plaindre ensuite auprès de moi.

Bref, pourquoi investir dans les start-ups ? Je vais vraiment te parler pendant plusieurs minutes de pourquoi investir dans les start-ups, de comment j’ai trouvé cette start-up, et pourquoi j’ai choisi d’investir dans cette start-up et pas une autre.

On va vraiment passer un petit peu de temps ensemble.

Alors déjà, investir dans les start-ups, pour moi c’est une continuité tout à fait logique parce que voilà, il y a un point commun entre tous les gens prospères, entre tous les gens riches dans ce monde, c’est l’écoutille.

L’écoutille, si tu ne sais pas ce que c’est, c’est tout simplement détenir des parts d’entreprises, par exemple des entreprises cotées, des entreprises non cotées.

Quand je dis entreprises cotées, c’est tout ce qui est marchés financiers. Quand je dis entreprises non cotées, ça va être par exemple les start-ups.

Quand je pense à l’écoutille, je pense aussi à tout ce qui est immobilier.

Bref, tout ça, c’est le point commun de tous les gens riches. Il faut avoir l’écoutille, et évidemment, qui te génère du cash-flow, qui te génère des revenus.

La différence donc entre l’écoutille cotée et non cotée, c’est le niveau de risques, on va dire. Quand on investit dans des entreprises en Bourse qui sont cotées, ce sont des entreprises généralement solides.

Si elles sont cotées en Bourse, c’est qu’elles valent quelque chose, elles ont prouvé leur solidité, elles font beaucoup de chiffres d’affaires, elles ont de la marge, elles savent générer des bénéfices, elles ont potentiellement déjà une marque forte.

Si je pense par exemple à ma stratégie en Bourse à l’approche des actions à dividendes, pour moi, ce sont des entreprises matures qui sont là depuis des dizaines d’années pour certaines, même plus des fois, qui ont une historique de versements des dividendes très élevés.

Bref, voilà. C’est safe, c’est mature. On sait à quoi s’attendre. On a tous les bilans comptables. On a les comptes de résultats, etc.

A l’opposé, tu as les start-ups, où finalement, tout est encore à faire.

C’est une entreprise qui vient tout juste de naître, il y a parfois quelques mois, un an, qui est en train de lever des fonds, qui doit peut-être encore gagner de l’argent, qui n’en a encore jamais gagné, qui ne fait que du résultat net négatif.

C’est une entreprise qui n’est pas sûre de survivre. Il ne faut pas se voiler la face non plus. Mais voilà, malgré tous ces problèmes, elle n’a pas non plus d’historique ou des choses comme ça.

Mais malgré tous ces problèmes, le potentiel de performance de cette entreprise est bien plus élevé parce qu’en Bourse, faire un X10, faire un X100, c’est quelque chose d’assez rare. On parle vraiment en mentalité investisseur. Je ne parle pas en mentalité trader.

Mais voilà, avec une start-up, c’est quelque chose de beaucoup plus courant, et limite, j’ai envie de dire, de ce qui est recherché. On cherche à faire un exit.

Un exit, c’est tout simplement revendre ses parts à un moment où l’entreprise, elle a bien grossi, et où les actionnaires sortent du capital de l’entreprise.

Je vais éviter d’essayer de me prendre un bus. Voilà.

Donc voilà, faire un X10, faire un X100 dans un exit de start-up, ce n’est pas forcément quelque chose de déconnant et c’est même plutôt quelque chose qui est recherché.

Du coup, cette start-up, comment elle s’appelle ? Puisque je sais que tu as envie de savoir. Ça s’appelle Grain Technology. Donc tu peux taper dans Google. Tu peux aller voir leur site Internet.

Tu peux aller voir ce qu’il font même si je vais t’expliquer.

Grain Technology, c’est une start-up américaine. Alors, malheureusement, un petit peu comme les actions américaines qui ont le plus de performance par rapport aux actions françaises, le milieu des start-ups, l’écosystème start-up est bien plus performant aux Etats-Unis qu’en France, malheureusement.

C’est pour ça que moi, je n’investis que dans des start-ups américaines puisque c’est là-bas qu’il y a le plus d’opportunités, et qu’il y a un meilleur écosystème, plus d’incubateurs.

Par exemple, la start-up Grain Technology, elle sort de l’incubateur Y – je ne sais pas si tu connais. C’est de là-bas que sont sortis par exemple Stripe, Discord, je crois, Airbnb, des gros noms. C’est un très très gros incubateur. Tu peux également taper le nom dans Google et tu découvriras plein d’informations sur lui.

Et donc elle est américaine. Qu’est-ce qu’elle fait du coup cette entreprise ? Parce que je sais que ça t’intéresse.

On va partir d’abord d’un constat aux Etats-Unis. Il faut comprendre comment ça fonctionne aux Etats-Unis. Aux Etats-Unis, c’est un marché qui vit énormément sur la dette. Ça, je ne t’apprends rien dessus. C’est un marché qui est très endetté : dettes de tous les côtés.

Et ça, c’est quelque chose qui a commencé à saouler la nouvelle génération qu’on appelle les Millenials. C’est-à-dire que aujourd’hui, les Américains, ils ont de la dette sur les cartes de crédit.

Les cartes de crédit, les cartes de débit, là aussi il faut faire la distinction, parce que nous, en France, on appelle une carte de crédit, quelque chose qui nous permet de dépenser. En fait, le vrai terme, ça serait plutôt carte de débit.

Avec une carte de débit, on ne peut dépenser que ce qu’il y a sur la carte et pas plus. Alors qu’une carte de crédit aux Etats-Unis, le vrai sens du terme, la banque peut te faire des crédits, et c’est comme ça que les Américains se retrouvent extrêmement endettés.

Sauf que le problème, c’est qu’aux Etats-Unis, ces taux d’intérêts sur les crédits que font les Américains, ce n’est pas des petits crédits. Ce ne sont pas des petits taux d’intérêts comme on a en France. Ça va être du 20 %, 18 %.

Donc là tu sautes peut-être au plafond. Tu te dis : « Ouah, mec ! Attends, ils sont en train de payer 18-20 % d’intérêts sur des sommes aux Etats-Unis, qu’ils prennent sur leurs cartes de crédit ? »

Oui, c’est la réalité. C’est comme ça. C’est énorme. Je peux comprendre que ça peut choquer, mais c’est la réalité.

Et le problème, c’est que ces Millenials ne veulent plus ça. Ils ne veulent plus suivre ce process qui est pénible, où tu t’endettes très très jeune et où c’est chaud. Ils veulent éviter à mort tout ça.

Le problème, c’est quoi ? C’est qu’aux Etats-Unis, tu es noté. Tu as un « credit score ». Je ne sais pas si tu le sais non plus, mais tu as un credit score, et ce credit score permet de juger de ta capacité à rembourser des dettes, des emprunts que tu as pu contracter.

Et le problème, c’est que si tu as acheté ta maison, de l’immobilier, il faut que tu puisses montrer à la banque que tu as un score qui est bon, et montrer à la banque que du coup, tu es en capacité de rembourser tes dettes que tu en as.

Le problème, c’est que ces Millenials, ils ne veulent plus de cartes de crédit avec 18-20 % de taux d’intérêts. Ils ont des cartes de débit où ils ne dépensent vraiment que l’argent qu’ils ont. Mais le problème, c’est qu’ils ne construisent pas un credit score. Et sans credit score, ils sont bloqués.

Et c’est là qu’arrive Grain Technology qui dit : « Okay, on a un souci ici. La nouvelle génération ne veut plus être endettée, mais on a un problème de ne plus pouvoir se créer un credit score pour pouvoir investir dans l’immobilier. »

« Nous, ce qu’on va faire, c’est qu’on va se positionner comme étant un entre-deux. C’est-à-dire qu’on va proposer donc à ces jeunes personnes, et pas qu’eux, finalement de transformer leur carte de débit en carte de crédit à souhait. Et nous, notre algorithme (et c’est là leur valeur ajoutée de l’algorithme), on va déterminer si oui ou non, en fonction de leur historique bancaire, ils seront en mesure de rembourser ce crédit qu’on va leur accorder. »

Donc si on résume : les Millenials, ils prennent des cartes de débit pour ne pas faire de crédits dans tous les sens avec des gros taux d’intérêts, et ne pas se retrouver endettés.

Et grâce à cette application à laquelle ils connectent leurs cartes de crédit et leurs cartes de débit, ils peuvent transformer cette carte de crédit en carte de débit sur des montants prédéterminés par l’application d’un algorithme qui va dire : sur ce montant de prêt, on ne va pas mettre en danger la personne, elle va être en mesure de rembourser parce qu’en fait, en connectant leur carte à l’application et à l’algorithme, ils vont avoir accès à tout l’historique bancaire de ce client-là, et ils vont pouvoir déterminer des seuils idéaux pour que ça ne « parte pas en couilles ».

Donc ça, c’est l’approche qu’a Grain Technology.

Maintenant, je vais prendre 5 points différents que j’appelle le NECST pour vérifier si c’est une bonne start-up ou pas.

Généralement, c’est 5 points que je contrôle pour avoir rapidement une idée sur l’entreprise et son produit, son service qu’elle propose pour voir si c’est une bonne idée ou pas.

Le N, c’est Need. Le E, c’est Entry, la barrière à l’entrée. Le C, c’est Contrôle. Le S, c’est Scale : est-ce que tu peux scaler ? Et le T, c’est Time : est-ce que tu peux déléguer ?

Premier point, le N, Nee : Est-ce qu’il y a un besoin ? Bien évidemment. Aux Etats-Unis, ils ont besoin de crédits, ils ont besoin d’argent. Ça concerne tout le marché américain sans exception. Il n’y a pas un Américain qui n’est pas concerné.

Donc voilà, ça ne concerne pas forcément d’autres pays, mais le marché américain est déjà suffisamment énorme pour pouvoir faire quelque chose de vraiment sympa, et d’autant plus qu’il me semble qu’il y a d’autres pays où il y a quand même la possibilité de faire quelque chose de similaire.

Bref, l’idée, c’est vraiment commencer à attaquer le marché américain.

Donc est-ce qu’il y a un besoin ? Bien évidemment. A l’heure où il y a 67 % des Millenials qui ont simplement une carte de débit parce qu’ils ne veulent plus de crédits, et où ils ont ce problème de ne pas pouvoir se construire de credit score, ça concerne énormément de personnes, et je crois que ce sont des montants en trillions qui sont concernés sur ces montants dont on parle là.

Donc le besoin, il y a clairement un besoin.

La barrière à l’entrée pour ce business : est-ce qu’ils ont des concurrents ? Est-ce qu’ils peuvent se faire acquitter ? Déjà, l’avantage, c’est que cette société, cette start-up, elle est avant-gardiste.

Elle est vraiment pionnière dans ce milieu. Donc on dit des fois que ce n’est pas toujours bien d’arriver en premier, mais mieux vaut arriver en premier que en dernier. Et ils ont vraiment une longueur d’avance pour l’instant. Donc ça c’est vraiment sympathique.

Donc barrière à l’entrée : on pourrait se dire que tout le monde pourrait faire ça. Mais l’idée c’est qu’un algorithme, c’est souvent sous-coté, sous-évalué, mais ça coûte très cher à développer.

Ils ont passé énormément de temps à développer cet algorithme, et c’est vraiment leur valeur ajoutée.

D’autant plus qu’ils ont des partenariats déjà avec de nombreuses banques qui leur permet en fait de pouvoir prêter de l’argent à leurs clients, puisque quelque chose que je n’ai pas précisé, c’est que ce n’est pas la start-up qui va prêter l’argent aux clients.

Ils ont bel et bien des partenariats avec des banques, des gros noms aux Etats-Unis. Et donc ce n’est pas la start-up qui va prendre le risque de prêter de l’argent, c’est bien la banque qui prête l’argent.

Finalement, la start-up, l’application n’est qu’un intermédiaire dans la transaction, et ne prend aucun risque vis-à-vis du bon remboursement ou non de la dette contractée par le client final.

C’est simplement un apporteur d’affaires, et la start-up, l’application est rémunérée en tant qu’apporteur d’affaires sur des commissions, sur les commissions qui vont être versées en faisant des montants de crédits et des taux d’intérêts.

C’est-à-dire que les banques classiques aujourd’hui proposent entre 18 et 20 % de taux d’intérêts quand tu faisais des crédits avant, Grain propose 12 % en moyenne à peu près, avec des conditions qui varient, mais on ne va pas entrer dans les détails.

Donc voilà, il y a un gros gap. 6 %, c’est énorme pour les gens. Et c’est également vraiment là leur valeur ajoutée.

Et donc au niveau du contrôle, au niveau de la concurrence et la barrière à l’entrée, peu de personnes peuvent venir concurrencer cette start-up parce que l’algorithme, il est très difficile à développer, et surtout, il faut chercher les partenariats avec les banques, etc.

Ensuite, le contrôle. Est-ce que l’entreprise, la start-up, elle a le contrôle sur ce qu’elle fait ? Entièrement. L’algorithme lui appartient.

Plus que jamais, elle a le contrôle sur ce qui est en train de se passer parce que c’est son algorithme, ce sont ses clients, elle agit comme une apporteuse d’affaires.

Peut-être que tu as une objection immédiate qui est de te dire : « Oui, mais pourquoi les banques, finalement, ne réduisent pas tout de suite leur taux d’intérêts pour s’aligner sur ce que veut proposer Grain Technology ? »

Voilà, si la banque propose 18 %, Grain propose 12 %, tout le monde se met à 12 et Grain peut être « niqué » en 2-2.

Le problème, c’est que le secteur bancaire que ce soit en France ou aux Etats-Unis, c’est quelque chose qui est lent, très difficile à innover. Et il préfère historiquement racheter des choses que de créer eux-mêmes.

Il n’y a qu’à le voir en France. Quand on veut faire un virement en France juste à un ami, ça prend 2-3 jours parce qu’il faut entrer le bénéficiaire ensuite il faut attendre 48 heures. Ensuite, le temps que l’argent, il arrive et ça prend encore 48 heures.

Et ça, c’est sans parler de s’il y a plusieurs pays qui sont dans l’équation, etc.

Donc encore une fois, les banques traditionnelles ont des retards conséquents sur tout ça, par rapport au mobile banking, et donc c’est une hypothèse qui ne peut clairement pas arriver parce qu’elles préfèreront racheter une start-up comme Grain Technology, plutôt que de faire ce qu’elles font, elles.

Et d’ailleurs, la possibilité de l’exit, c’est de se dire que cette start-up, elle peut se faire racheter par Bank of America, par Wells Fargo, des grosses banques comme ça. Et c’est clairement l’idée.

Donc est-ce qu’elle a le contrôle ? Elle a finalement le contrôle parce qu’il n’y a personne sur le marché encore en tant que concurrence pour l’instant. Il y a vraiment peu d’acteurs. Et elle peut encore, pour l’instant tout contrôler.

Scale. Est-ce qu’elle peut scaler ? On l’a vu, il y a énormément de personnes qui sont potentiellement intéressées par ce genre de service. Tous les Américains, tous ceux qui ont des cartes de débit et de crédit sont intéressés par ce genre de chose.

Donc oui, elle peut scaler à mort. Là, il n’y a aucun souci.

Est-ce qu’elle peut déléguer ? J’ai envie de dire que là, c’est la Fintech. Il n’y a pas forcément besoin d’avoir des milliers, des centaines d’employés.

La personne, elle s’inscrit toute seule sur l’application, elle fait sa demande, elle connecte sa CB qui est automatiquement validée ou non par l’algorithme. Il y a peu d’interventions humaines. Et c’est ce qui fait que ça peut vraiment être délégué facilement et à moindre coût.

Et donc, ça, c’est également très facile.

Donc voilà, voilà. C’est pour toutes ces raisons que j’ai choisi d’investir dans cette start-up, parce que vraiment, je trouve que c’est un concept vraiment excellent.

Donc si on résume, les Millenials ne veulent plus de cartes de crédit (donc ils ont des cartes de débit), mais ils ont la possibilité de transformer provisoirement cette carte de débit en carte de crédit sur des montants qui sont très contrôlés par l’application, grâce à leur algorithme, à leur intelligence artificielle.

Et en parallèle, ça leur permet de construire le credit score. Ils sont quasiment certains d’avoir un bon credit score puisque l’application va faire en sorte de leur prêter de l’argent qu’ils sont normalement en mesure de rembourser, et voilà.

Finalement, tout le monde a à y gagner : la start-up a un très gros marché devant elle, les banques gagnent énormément d’argent également avec ces apporteurs d’affaires, puisque la banque elle est évidemment rémunérée sur les taux d’intérêts qui vont être versés.dd

En fait, ils se partagent les commissions, la banque et l’application. Et le client, lui aussi, il est très content puisqu’il maîtrise son credit score et il a des taux d’intérêts qui sont avantageux.

Donc c’est pour ça que j’ai choisi d’investir dans cette entreprise. Elle vient de lever à peu près 1,5 million de dollars sur la levée de fonds qu’elle vient de faire, et dans laquelle j’ai participé.

Et donc l’idée, ils décident de se faire racheter par Visa, Mastercard, Bank of America, Wells Fargo, etc.

Voilà. Dis-moi dans les commentaires ce que tu penses de ce projet-là. Est-ce que toi tu y crois ? Alors, j’espère que je te l’ai bien expliqué, parce que c’est vrai que je suis en voiture, il faut que je me concentre sur la route également.

J’ai peut-être oublié certaines choses, mais l’idée, elle est là. S’il y a des questions dans les commentaires, n’hésite pas à me les poser. J’y répondrai avec grand plaisir.

Je ne t’ai pas non plus parlé de tout en détail, parce que sinon, pour le moment, ça va prendre très longtemps comme vidéo. Là déjà je pense que ça dure un petit moment.

Mais voilà. Moi, ça m’a bien séduit comme projet d’investir.

Alors peut-être que tu veux me poser une dernière question, c’est : « Comment Raph tu as trouvé ce projet ? »

Je sais que c’est une question que vous m’avez posé sur Instagram. Comment trouver ce genre de projet ?

Je te l’ai dit peut-être au début de la vidéo ou pas. Moi, je n’ai aucune connaissance dans les start-ups. Ce n’est pas du tout mon sujet de prédilection.

Je suis conscient que c’est important d’investir dans l’écoutille – ça, je te l’ai dit ça, par contre – et d’avoir des participations dans des entreprises, investir tout court son argent.

Mais par exemple, les start-ups, ce n’est pas du tout mon sujet.

Je sais plus ou moins comment investir dans une entreprise, parce que je le fais déjà pour les entreprises cotées en Bourse. Mais pour autant, les start-ups ont quand même quelques particularités parce que ce sont des entreprises beaucoup plus jeunes.

Il faut regarder les choses d’un point de vue différent.

Bref, comment, j’ai trouvé cette affaire ? Finalement, je suis entouré de gens. Quand tu n’as pas de connaissances sur un sujet, ce que tu fais, c’est que tu vas voir des gens qui ont les connaissances sur le sujet et tu allies tes forces.

C’est-à-dire que toi, tu as de l’argent et que tu n’as pas les connaissances sur quelque chose, c’est pareil dans l’immobilier, c’est pareil pour investir en Bourse.

C’est pareil dans tous les domaines de la vie. Si tu as des connaissances ou que tu ne les as pas mais que tu as besoin d’investir dans ce domaine, tu t’entoures de gens qui ont ces compétences et qui peuvent t’aider.

Et donc là, j’ai fait justement la même chose. Et j’avais fait une vidéo YouTube il y a de ça peut-être quelques semaines, une vidéo où j’interviewais une personne qui d’ailleurs sera intervenante à mon séminaire à Genève le 5 décembre 2020. (Si tu n’as pas ta place, n’hésite pas à la réserver. Il y a beaucoup de personnes inscrites).

Et cette personne, je l’ai interviewée. C’est via elle que j’ai investi finalement dans cette start-up puisque cette personne, elle a l’équivalent d’un fonds, elle a des membres qu’elle regroupe. Et tous ensemble, on investit finalement dans ces start-ups.

Cette personne va analyser les start-ups pour nous. Elle va faire le tri, puisqu’il faut savoir que dans le milieu des start-ups, il y a beaucoup de gens qui vont venir te demander de l’argent. Moi, régulièrement par email, sur LinkedIn, j’ai des gens qui me demandent :« J’ai une start-up. Est-ce que tu peux me financer ? »

Mais voilà, encore une fois, il y a beaucoup de déchets, et moins de 1 % des projets que tu reçois généralement sont intéressants à étudier sérieusement.

Et cette personne, elle fait son travail. Elle analyse beaucoup de start-ups. Elle se rend même aux Etats-Unis plusieurs fois par an, je crois à peu près 4 fois par an, dans la Silicon Valley directement parce que c’est là-bas qu’il y a les meilleures start-ups, les meilleurs incubateurs.

Et elle va rencontrer les fondateurs, elle échange avec eux directement, et elle ramène les meilleurs projets, et ensuite, elle les propose à son club d’investissement qui regroupe plusieurs centaines de personnes.

Et tous ensemble, on met un billet. Et comment ça se passe ensuite ? Ce n’est pas qu’on donne l’argent et on ne sait pas ce qui se passe.

Une holding est créée. Généralement, c’est une holding américaine, si la start-up est américaine, et on est tous actionnaires de cette holding. Et cette holding, elle-même est actionnaire de la start-up.

On essaie quand même de beaucoup simplifier les choses d’un point de vue technique, parce que si imagine, il y a 1000 investisseurs qui mettent un X montant d’euros, il ne faut pas que la start-up, elle ait 1000 actionnaires différents.

Il faut qu’elle en ait un. Il faut que ce soit simple. Les levées de fonds, ce n’est déjà pas forcément évident d’un point de vue juridique et légal. Il faut vraiment que ce soit simple.

Donc ça, c’est vraiment une holding américaine qu’on constitue tous ensemble et qui va investir dans la start-up pour que la start-up, elle n’ait vraiment qu’une seule ligne en tant qu’actionnaire. Et c’est la holding.

Donc l’idée, elle est comme ça. Et l’idée, c’est vraiment qu’il y a un exit, un rachat ou une introduction, pourquoi pas une IPO comme on dit. Et c’est comme ça qu’on fait l’exit et qu’on récupère un billet.

Donc cette personne, voilà, n’hésite pas à regarder la vidéo que j’ai réalisée avec elle, comme ça tu peux voir l’interview, et que peut-être que ça t’intéresse d’investir dans les start-ups.

Voilà, moi je n’ai pas la compétence, l’expertise pour trouver les start-ups tout seul, donc je vais passer par quelqu’un même si ça coûte de l’argent pour avoir des bons projets plutôt que de faire moi-même les choses tout seul, et puis potentiellement me tromper.

Puisque on entend beaucoup des choses comme « 9 start-ups sur 10 échouent », ou des choses comme ça. Ça, ce sont les statistiques à l’ancienne dans les vieux clubs d’investissements où les mecs ils ont beaucoup d’argent, ils sont assez âgés, ils ne savent pas trop…

Ils n’ont plus cette vision nouvelle, on va dire. Ils investissent un petit peu n’importe comment leur argent parce qu’ils ont plein d’argent et qu’ils ne savent pas comment faire, et donc ils mettent des billets à droite et à gauche, et puis ils se disent : « On verra ce qui se passe. »

Le problème, c’est que aujourd’hui, dans les Fintech etc, cette approche un petit peu vieillotte des anciens business angels clubs, ce n’est pas forcément la meilleure.

Bref, l’idéal est là. N’hésite pas à voir la vidéo dans la barre de description ci-dessous que je te mets. Et n’hésite pas non plus si tu veux rejoindre le club. Ça s’appelle Leonis Investissements, le club Leonis.

N’hésite pas à le rejoindre également si tu veux recevoir tous ces deals. Et je te mettrai d’ailleurs un petit lien affilié dans la barre de description.

N’hésite pas à passer par celui-ci et en échange je te ferai des petits bonus, des petits cadeaux, avec l’adresse email à laquelle tu m’as envoyé un email pour me dire que tu es passé par le lien. Et comme ça, je pourrais te faire des petits cadeaux, comme ça, c’est win-win.

Bon voilà, écoute, n’hésite pas à me dire si tu as la moindre question. J’espère que j’ai été assez clair. C’est vrai que les start-ups, ce n’est pas le sujet sur lequel je suis forcément le plus à l’aise pour parler par rapport à l’immobilier ou les actions à dividendes, des choses comme ça, mais n’hésite pas à me poser toutes les questions dans les commentaires.

Et moi, je te dis à très très vite. Ciao ciao.

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