ILS LEVENT DES FONDS GRACE A SNAPCHAT POUR LEUR MARQUE

Salut à tous,

On rencontre deux entrepreneurs aujourd’hui qui sont associés. Je t’avais déjà présenté l’un d’entre eux, Florian, il y a 1 an qui nous expliquait comment il avait investi dans l’immobilier avec un prêt étudiant.

On fait, dans cette vidéo, le point sur la situation immobilière de Florian et on parle également de 2 autres projets réalisés avec son associé :

  • comment ils ont acheté un immeuble de rapport sans CDI
  • comment ils ont levé des fonds grâce à Snapchat pour leur marque

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ILS LEVENT DES FONDS GRACE A SNAPCHAT POUR LEUR MARQUE

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Retranscription de la vidéo :

Raph :  Salut à tous, bienvenue sur cette nouvelle vidéo, on est aujourd’hui à Lyon et je vais vous présenter aujourd’hui deux personnes, dont une que vous avez déjà vu sur la chaîne YouTube. Donc avant qu’on commence cette vidéo, cliquez bien sur le bouton s’abonner ci-dessous pour recevoir en avant première, toutes les prochaines vidéos et cliquez bien sur le lien dans la barre de description ci-dessous puisque j’ai un petit cadeau pour vous. Il s’agit d’un pack de bienvenue au contenu 100% secret qui te permettra d’amorcer ton indépendance financière, donc les gars, salut, comment vous allez ?

Florian : Salut, ça va et toi ?

Raph : Florian, salut,

Alex : Ça va, la forme ?

Florian : Alex, la forme ?

Alex : Toujours,

Raph : Donc rappelez-vous, vous avez certainement vu déjà Florian sur une vidéo, il y a un an, on avait un petit peu évoqué son parcours d’entrepreneur et d’investisseur. Florian, rapidement, peut-être pour ceux qui ne te connaissent pas encore, est-ce que tu peux nous dire qui tu es rapidement, en trente secondes ?

Florian : Rapidement, du coup, j’ai 24 ans,

Raph : Oui

Florian : Je suis conseiller en gestion de patrimoine depuis deux ans,

Raph : Okay,

Florian : Et à côté investisseur, plus d’autre business en parallèle,

Raph : Okay,

Florian : Voilà,

Raph : Alex, à ton tour, rapidement, est-ce que tu peux nous dire en trente secondes qui tu es ?

Alex : Yes, Alexandre, j’ai 23 ans,

Raph : Oui

Alex : Je suis associé avec Florian sur la société de gestion de patrimoine en question,

Raph : Oui

Alex : Et en parallèle, on investi dans des projets entre autres immobiliers, toujours ensemble, voilà, on fait beaucoup de projets pros ensemble,

Raph : Okay, top, donc rappelez-vous Florian il y a un an, tu avais acheté un parking, tu avais acheté un appartement avec un prêt étudiant

Florian : C’est ça,

Raph : Et tu avais ton activité de CGP, rapidement, avant qu’on rentre dans le cœur de la vidéo, est-ce que tu peux nous dire où est-ce que ça en est ton parking, ton appartement, est-ce que tu l’as, tu l’as encore ?

Florian : Oui, exactement, pour ceux qui est de l’appartement, il tourne toujours,

Raph : Okay,

Florian : Avec le prêt étudiant qui s’autofinance avec le locataire, donc là-dessus on laisse tourner,

Raph : Oui

Florian : Pour ce qui est du parking, je l’ai revendu il y a deux semaines, donc pour rappelle, je l’avais acheté cinq mille euros,

Raph : Okay,

Florian : Pendant la vidéo, là je l’ai revendu onze mille euros net vendeur, donc j’ai fait une très bonne plus-value,

Raph : C’est plutôt insolent,

Florian : C’est pour ça que je l’ai revendu, je savais que je pouvais le mettre

Raph : Oui

Florian : Assez élevé par rapport à ce que je l’avais acheté et je me suis dit pourquoi ne pas le revendre et puis en plus on a d’autres projets,

Raph : Oui,

Florian : Donc voilà,

Raph : Tu avais besoin de cash pour investir

Florian : Je l’avais investi au bon endroit, au bon moment, voilà, ça m’a coûté trois lignes blanches,

Raph : C’est ça,

Florian : Trois casiers,

Raph : Parce que rappelez vous, tu avais fait un parking pour moto, tu avais divisé en trois,

Florian : C’est ça,

Raph : Pour trois motos,

Florian : Voilà,

Raph : Oui,

Florian : Ce qui me permettait d’avoir une grosse rentabilité, ce qui n’était pas possible sur une petite place de parking pour une voiture

Raph : Oui

Florian : Et là même en le revendant à un prix de onze mille euros nets vendeur, l’investisseur est quand même assez rentable pour une place de parking qui est sur Lyon puisqu’il

Raph : C’est ça,

Florian : À quand même récupérer les trois locataires qui sont sur la place de parking,

Raph : Okay,

Florian : Donc voilà,

Raph : Donc propre, plus de 100% de retour sur investissement,

Florian : Oui, plus de 100%, en plus pas imposé sur la plus-value,

Raph : Je voulais te demander, est-ce que tu as payé des impôts sur la plus-value,

Florian : Évidemment que non,

Raph : Pourquoi ? Comment ça se fait ?

Florian : Et bien tout simplement parce qu’en dessous de quinze mille euros,

Raph : Oui,

Florian : Il faut savoir qu’on n’est pas imposé sur la plus-value,

Raph : Oui,

Florian : Donc du coup, vu que je l’ai vendu onze mille euros nets vendeur, pas d’imposition sur la plus-value, c’est pour ça qu’un petit conseil à donner, c’est que des fois il vaut peut-être mieux vendre à quinze mille euros ou quatorze mille euros plutôt que de vendre seize mille  et être imposé à la plus-value,

Raph : C’est ça, pour mille euros oui,

Florian : Voilà, pour mille euros près,

Raph : Okay,

Florian : C’est quelque chose à prendre en compte,

Raph : Okay, donc top, donc si vous n’avez pas vu la première vidéo, cliquez bien dans la barre de description ci-dessous, je vous mettrai le lien. Dans cette vidéo, on va parler un petit peu des projets que vous avez fait ensemble les gars,

Florian : C’est ça,

Raph : Parce que vous avancez plutôt vite, on va parler d’immobilier et on peut dire de création de marques dans le textile,

Florian : Oui, c’est ça, oui,

Raph : C’est ça, donc on va commencer par l’immobilier puisqu’on est dans l’immobilier, qu’est-ce que vous avez acheté, parce que je ne vous ai pas posé la question, mais vous avez continué d’acheter, logique,

Florian : Évidemment,

Raph : Qu’est-ce que vous êtes en train de nous concocter ?

Florian : Alors, là on est sur un tout nouveau projet, donc on a créé une SCI ensemble,

Raph : Oui

Florian : Et avec mon frère, donc j’expliquerai pourquoi avec mon frère aussi

Raph : Okay,

Florian : Les raisons après. On est sur un investissement, donc sur de l’immeuble de rapport, donc voilà, on en avait marre de faire du petit, du parking, de l’appartement, on vise plus gros,

Raph : Okay,

Florian : Donc on vise de l’immeuble de rapport, l’idée de la SCI est créée dans une idée de long terme, dans le sens où on voit notre future retraite aussi là-dedans,

Raph : Okay,

Florian : Dans le sens où on va investir sur des biens rentables et puis c’est pour ça aussi l’immeuble de rapport.

Raph : Donc le cashflow positif immédiat ?

Florian : Avec un cashflow positif immédiat, on cherche du 10% de rentabilité

Raph : Minimum ?

Florian : Minimum, voilà,

Raph : Brut ?

Florian : Brut, voire même net

Raph : Net,

Florian : Si possible

Alex : On est sur du net là pour le coup,

Raph : Okay

Florian : Là, pour le premier investissement, on est sur du net,

Raph : Okay,

Florian : Donc voilà, c’est un peu l’idée de la SCI,

Raph : Super, alors rapidement, est-ce que vous pouvez nous dire dans quelle région vous avez acheté ce bien ? Dans quel coin ?

Florian : Région, Rhône Alpes, oui, forcément,

Raph : Rhône Alpes, okay,

Florian : Oui, voilà

Raph : En périphérie

Alex : Agglomération lyonnaise,

Florian : Agglomération lyonnaise,

Raph : Agglomération lyonnaise, okay,

Florian : Bon, pour les curieux on donnera un peu plus

Raph : En off, oui

Florian : En off,

Alex : On ne va pas révéler nos cartes,

Raph : C’est ça, exactement, vous avez raison,

Florian : Voilà,

Raph : Quelle surface ? Quel type d’immeuble ?

Florian : C’est un petit immeuble avec quatre appartements dedans,

Raph : Okay,

Florian : Donc il y a deux T3 de quarante-cinq mètres carrés

Raph : Oui

Florian : Et deux studios de vingt-trois mètres carrés environ,

Raph : Déjà loué ou pas ?

Florian : Ils sont déjà tous les quatre loués, donc au moment de l’investissement, donc c’est aussi bien pour les banques, comme ça elles voient qu’il y a de l’argent qui rentre directement,

Raph : Elles sont rassurées, oui

Florian : Donc ça c’est un point positif par rapport aux banques, donc voilà tous loués exactement,

Raph : Donc tu as acheté avec une rentabilité affichée et un cashflow déjà affiché ?

Florian : C’est ça,

Raph : Est-ce que tu peux nous parler un peu de chiffres ?

Florian : Alors pour parler un peu de chiffre, les deux studios sont loués trois cent euros par mois,

Raph : Oui,

Florian : Les T3 quatre cents euros,

Raph : Okay

Florian : Donc on est à peu près à mille quatre cent euros de rentrée par mois donc voilà, donc ça c’est pour les rentrées d’argent des locations et on a un crédit donc sur vingt ans. On a prévu le plus large possible puisque l’idée c’est de faire du cashflow positif,

Raph : Oui,

Florian : Puisque c’est ça où c’est intéressant et ce qui va nous permettre justement de lancer notre SCI, de plus en plus grosse, puisque voilà, plus on a de cashflow, plus on va pouvoir réinvestir derrière et on a crédit donc de sept cent euros par mois

Raph : Pour mille quatre cent de rentrée,

Florian : Pour mille quatre cent de rentrée, donc on a un casflow positif de sept cent euros,

Raph : Brut, mais je suppose qu’en net, il t’en reste largement,

Florian : Brut oui, en net on est au moins à cinq cent euros nets d’impôts, etc, après toutes les charges, taxe foncière, etc,

Raph : Okay,

Florian : Donc c’est plutôt intéressant,

Raph : Alors justement, SCI, pourquoi être passer par ce véhicule d’investissement, une SCI comme société pour investir dans l’immobilier ?

Florian : Alors, c’est un peu ce que je disais au début, comme vous le savez, nous on est à notre compte

Raph : Oui

Florian : Depuis deux ans, sauf qu’il faut des bilans de minimum trois ans, pour les banques, pour pouvoir investir, donc c’est assez contraignant,

Raph : Oui,

Florian : Et sachant que c’est embêtant parce que nous on a aussi une âme d’investisseur à côté et on veut investir parce qu’on sait qu’on ne veut pas attendre trois ans,

Raph : Oui, c’est ça, c’est trop long,

Florian : Trois ans, voilà c’est trop long,

Raph : Il y a beaucoup de choses en trois ans,

Florian : On peut se créer beaucoup de patrimoines en trois ans, donc pourquoi attendre, donc voilà pourquoi l’idée de la SCI, c’est que dans la SCI et du coup, ça peut être un conseil pour les investisseurs

Raph : Oui,

Florian : Qui sont indépendants d’être associé finalement avec des gens qui ont un CDI, parce qu’aujourd’hui c’est ce que la banque regarde, même si le CDI n’a pas vraiment une grosse valeur,

Raph : C’est un autre débat, mais bon,

Florian : Voilà, on ne va pas débattre là-dessus,

Raph : Oui,

Florian : Aujourd’hui, mais la banque c’est ce qu’elle regarde,

Raph : Oui

Florian : Elle regarde le CDI et donc du coup le fait de mettre mon frère qui est en CDI dans la SCI, ça pèse dans la balance pour pouvoir investir et pour

Raph : Avoir le prêt ?

Florian : Que la banque accepte le prêt

Raph : Oui

Florian : Tout simplement,

Raph : Okay

Florian : Sachant que bon, pour la petite histoire, c’était quand même assez compliqué d’avoir le prêt puisque forcément, nous on avait quand même les deux tiers de la société,

Raph : Oui

Florian : En part

Raph : Oui, vous représentiez une grosse partie de la société

Florian : Voilà, on a vu cinq banques en tout

Raph : Oui

Florian : Quatre refus,

Raph : Pour quel motif les refus ?

Florian : Refus, pas de CDI, pas de revenus fixes,

Raph : Oui

Florian : Donc ça c’était embêtant et aussi les banques sont assez frileuses parce qu’elles voient ça comme du marchand de biens et elles ont un peu peur parce qu’elles ne savent pas que nous, on a une idée de long terme dans le sens où on veut vraiment louer, faire de la rentabilité et revendre dans vingt ans,

Raph : D’accord,

Florian : Elles se disent aussi que peut-être

Raph : Ils vont revendre très, très vite

Florian : Qu’on va séparé l’immeuble de rapport, on va revendre, voilà, c’est ce qui est un peu embêtant donc bien insisté aussi là-dessus par rapport au fait qu’en fait qu’on ne voulait pas faire du marchand de biens, mais vraiment faire de la location ultra rentable quoi, c’était vraiment notre idée,

Raph : Okay, je vois, donc l’idée de la SCI vraiment investir avec plusieurs associés, avoir une plus grosse force de frappe pour convaincre les banques,

Florian : C’est ça, oui

Raph : Au niveau de ce que vous avez acheté, c’est déjà loué tu m’as dit ?

Florian : Oui, exactement

Raph : Quel type de location ? Quel type de SCI vous avez créer du coup à l’imposition ?

Alex : Du nu,

Raph : Du nu ?

Florian : On est sur du nu, j’ai envie de dire par rapport à la SCI qu’on a créé, il n’y a pas forcément d’impact fiscal, par rapport au nu ou du meublé puisqu’on est sur une SCI à l’IS

Raph : Okay,

Florian : Donc impot sur les sociétés et pourquoi on a fait ça ? Parce que je sais que tu vas me poser la question,

Raph : Exactement, tu anticipes

Florian : Voilà, pourquoi l’IS ? Parce que nous on voulait détacher la société de notre nom propre, parce que du coup la société est indépendante,

Raph : Oui

Florian : Puisque c’est une société, elle tourne toute seule, puisque les locations vont pouvoir rembourser le crédit,

Raph : Oui,

Florian : Donc voilà c’est ça l’idée et comme ça aussi la banque voit que l’argent est dans la société et va pouvoir être réinvesti dans la société pour d’autres investissements,

Raph : Okay,

Florian : Parce que l’idée c’est vraiment de faire plusieurs investissements avec ce bébé monstre, nous on l’appelle comme ça,

Raph : C’est ça, oui

Florian : C’est un peu un bébé monstre dans le sens où on a voulu créer quelque chose, une structure qui nous permet d’investir de façon quasiment infinie,

Raph : Donc c’est une entité qui est là

Florian : Oui, dans le sens où plus on va investir, plus on va avoir de cashflow, plus on va asseoir la société, plus on va mutualiser le risque par rapport aux problèmes de location,

Raph : Oui

Florian : Et plus la banque nous suivra,

Raph : C’est ça,

Florian : Elle n’a pas de raison de nous dire non, non-stop, vous allez nous ramener trop d’argent, ça ne va pas être possible,

Alex : Sachant qu’en passant par une SCI, excuse- moi je te coupe,

Raph : Oui, pas de soucis,

Alex : En passant par une SCI à l’IS, là pour le coup vu que l’immeuble était déjà loué et qu’il était loué nu,

Raph : Oui

Alex : Ça nous permettait de bénéficier des amortissements sur le bien,

Raph : C’est ça, c’est ce qui est important,

Alex : Fiscalement c’était intéressant,

Raph : C’est clair, l’amortissement est quelque chose d’important. Quoi d’autre sur ce bien ? Est-ce qu’il y a une petite particularité sur ce bien que vous avez à nous dire ou pas du tout ? Il y a des travaux par exemple ?

Florian : Non pas de travaux,

Raph : Pas de travaux,

Florian : Puisqu’il était déjà loué,

Raph : Oui

Florian : Après bon, ça va être du rafraîchissement à chaque sortie de locataire, mais rien de bien méchant, pas de gros investissements, ce qui est toiture ou façade,

Raph : C’est ça,

Florian : Tout est propre donc parfait quoi,

Raph : Donc le coût de votre amortissement en termes de bilan comptable, ça va être l’amortissement des murs du coup, vu qu’il y a la SCI à l’IS,

Florian : Exactement, oui

Raph : Plus les intérêts d’emprunts,

Florian : Voilà les intérêts et autres charges, taxe foncière

Raph : Okay, okay. Est-ce que vous êtes sur d’autres projets immobiliers ou est-ce que pour l’instant ça va ? On fait un petit immeuble, mais on se calme ?

Alex : Non, non, tu nous connais Raph,

Raph : Ah, c’est pour ça que je pose la question, naïvement,

Florian : On est évidemment sur d’autres projets et c’est aussi le but de la SCI,

Raph : Oui,

Florian : C’est de ne pas s’arrêter,

Raph : Je me doute, oui

Florian : Donc du coup, on est déjà en recherche d’autres investissements, puisque du coup on a sept cent euros de cashflow sur cet investissement,

Raph : Oui,

Florian : Voilà, du coup on est déjà en recherche d’autres investissements rentables au-dessus de 10%

Raph : Oui

Florian : On reste encore sur le même secteur géographique, j’ai envie de dire pour celui-là. Sur l’année 2018, on s’est dit qu’on va se baser sur un secteur,

Raph : Oui

Florian : Et sur 2019, on va changer, voilà

Raph : Okay

Florian : C’était un peu l’idée, la stratégie, puis on s’est dit que ça peut être marrant de changer de ville tous les ans,

Raph : Alors pourquoi justement ? On peut vous posez la question, parce qu’il faut apprendre à marcher, il faut peut-être se déplacer,

Florian : Ah oui, c’est long d’apprendre à marcher, il faut l’étudier, il faut aussi, moi c’est ma technique que je te donne tout le temps, c’est faire des fausses annonces,

Raph : Oui, oui, oui

Florian : Pour voir s’il y a de la demande locative, parce qu’investir dans un endroit c’est cool, mais s’il n’y a pas demande locative, s’il n’y a pas de locataire,

Raph : C’est clair,

Florian : Où on va quoi,

Raph : Il faut que ça rentre,

Florian : Ça ne sert à rien, donc toujours tester le marché avant d’investir et oui, c’est long, mais l’avantage c’est la diversification,

Raph : C’est ça,

Florian : Et dans le patrimoine c’est ce qui est le plus intéressant,

Raph : Okay,

Florian : Après de manière générale,

Alex : Après par rapport, excuse-moi, vas-y fini,

Raph : Oui

Florian : De manière générale, le plus important dans le patrimoine

Raph : Oui

Florian : Et dans l’indépendance financière j’ai envie de dire, c’est la diversification,

Raph : Okay,

Florian : Donc là, on parle diversification immobilière, mais

Raph : Géographique,

Florian : Encore plein d’autre,

Raph : Il faut un type de location, il faut un type de produit, il faut un type de localisation, c’est ça,

Florian : Voilà,

Raph : Okay,

Florian : Pourquoi pas aussi faire du Airbnb peut-être,

Raph : Okay

Florian : Sur d’autres investissements

Raph : Immeuble, promotion, Airbnb, colocation,

Florian : C’est ça,

Raph : Tout ce qui est rentable en fait, tout ce qui apporte de l’argent

Alex : Exactement,

Raph : On signe,

Florian : C’est exactement ça, c’est ça, voilà un peu

Raph : Pour le projet immobilier

Florian : Tu voulais dire quoi d’autre ?

Alex : Oui, je disais, on ne part pas tout à fait de zéro pour les autres villes qu’on a en tête,

Raph : Oui

Alex : Parce qu’on a déjà un réseau d’investisseur immobilier entre guillemets,

Raph : Oui

Alex : Et donc on va se positionner sur les secteurs où eux sont déjà

Raph : Okay

Alex : Voilà, en étudiant un peu ce qu’ils ont fait par le passé, en voyant ce qui est rentable,

Raph : C’est ça,

Alex : Les villes qui sont intéressantes, etc, on ne part pas de zéro,

Raph : C’est important le réseau

Alex : Bien sûr

Raph : Vous arrivez, ils peuvent vous dire si c’est une bonne affaire, les artisans, les comptables, les notaires, donc ça okay, propre. Parlons un peu de ce qu’il y a sur la table, non ? Qu’est-ce que c’est que cette casquette du coup ? Je ne sais pas si vous allez bien la voir, donc « Agriculteur Moderne », je pense que tu peux nous en dire un peu plus Alex là-dessus ?

Alex : Oui, tu veux que je te raconte rapidement comment c’est venu,

Raph : L’histoire ? Bien sur qu’on veut,

Alex : Alors « Agriculteur Moderne » pourquoi ce terme ? Il faut savoir donc justement on parlait de réseau,

Raph : Exact,

Alex : Donc on a d’autres business à côté et l’un d’eux est en lien avec le trading,

Raph : Oui,

Alex : Et donc on a deux amis qui sont dans ce club de trading, qui l’ont fondé d’ailleurs et un jour on discutait, comme ça au détour d’une conversation, on leur dit allez c’est parti, pas le temps de parler, on va faire du blé,

Raph : Okay,

Alex : Et donc il faut savoir que c’est des personnes qui sont de Dijon, de Poiseul-lès-Saulx même, au milieu des champs en fait, oui, oui c’est ça et ils ne connaissaient pas l’expression en plus,

Raph : C’est bizarre ?

Alex : Et ils nous ont dit c’est quoi ? Pourquoi faire du blé ?

Raph : Oui,

Alex : On leur a expliqué que c’est faire de l’argent

Raph : Oui

Alex : Et à partir de ce moment-là, ils se sont mis à nous appeler les agriculteurs,

Raph : Okay,

Alex : Bon, il se trouve qu’en l’occurrence à l’époque, on est toujours CGP, conseiller en gestion de patrimoine, mais à l’époque on avait plus tendance à être bien dans les clous,

Raph : Oui,

Alex : On démarrait

Raph : Oui,

Alex : Donc on voulait faire bonne impression,

Raph : Carré,

Alex : On était en costume trois pièce tout le temps et donc ils ont rajouté le moderne à la fin et ils nous ont appelés les agriculteurs modernes et voilà, de fil en aiguille, ça a été notre surnom,

Raph : Oui

Alex : Eux ils nous ont appelés comme ça et puis après deux, dix, vingt, cent personnes. Aujourd’hui, il y a peut-être, je ne sais pas, peut-être cinq cent personnes dans notre entourage qui nous appelle comme ça les amis, les amis d’amis, ah c’est toi l’agriculteur,

Raph : Tu te fais reconnaître comme étant un agriculteur moderne,

Alex : Exactement

Raph : Tu fais du blé,

Alex : On fait du blé, exactement et alors pour l’anecdote c’est vrai que souvent on se dit que c’est un peu péjoratif pour les vrais agriculteurs,

Raph : Oui

Alex : Entre guillemets, mais on a discuté avec pas mal d’entre eux

Raph : Oui ?

Alex : Et ils ont adoré le concept,

Raph : C’est vrai ? On est bien reçu ?

Alex : On est bien reçu,

Raph : Tu en as même d’autres qui la porte peut-être non ?

Alex : Oui, on a même des agriculteurs, des vrais

Raph : Sérieux ?

Alex : Qui portent, qui portent nos produits,

Raph : Dans le champs avec la casquette ?

Alex : Ça m’est arrivé, oui sur un marché, j’ai un pote qui fait les marchés,

Raph : Oui

Alex : Il est traiteur et il nous a acheté pas mal de produits, parce qu’il adore le concept

Raph : Oui

Alex : Un jour, je débarque sur le marché, il me fait, il y a le gars à côté il a vu ma casquette, il veut la même et donc j’ai discuté avec lui, c’est un maraîcher,

Raph : Oui

Alex : Il fait des fruits et des légumes, il fait pleins de choses et il me dit oui, j’adore le concept, j’en veux une,

Raph : Oui

Alex : Il en a pris une aussi pour son, alors c’était son neveu, je crois ou son filleul enfin,

Raph : Okay, il a distribué à la famille

Alex : Oui, c’est ça, il a distribué autour, lui il a adoré le concept,

Raph : Okay, propre et donc quoi, tu t’es dit il y a un truc qui va loin, il y a un truc, c’est bizarre, ça dure trop longtemps,

Alex : C’est ça, en fait, à la base, quand on a vu qu’on commençait à nous appeler comme ça,

Raph : Oui

Alex : Agriculteur moderne, il y avait des hashtags qui étaient lancés sur les réseaux

Raph : Sur Facebook, les réseaux ?

Alex : Agriculteur moderne, on s’est dit whaou, ça ne peut pas durer et avec Flo, bon on est associé sur la boîte de gestion de patrimoine, sur la SCI, sur tous nos business on les fait ensemble et un matin je l’appelle, je venais de me lever

Raph : Oui

Alex : Le premier truc que j’ai fait, j’ai étais sur l’ordinateur, j’appelle Flo, je lui dis ça y est, je viens de déposer la marque « Agriculteur Moderne »

Raph : Ah oui ? Sans te le dire ?

Florian : Non, je n’étais pas au courant,

Alex : Il l’a appris, voilà, quand c’était fait, c’était trop tard et pourquoi tu fais ça, je lui dis attends il y a un business, on ne peut pas

Raph : Ne rien faire,

Alex : Ne rien faire,

Raph : Oui,

Alex : Et donc c’est parti de là, on s’est mis à faire des casquettes,

Raph : Tu as commencé par les casquettes en premier c’est ça ?

Alex : Oui, les casquettes,

Raph : Tu as commencé par ça,

Alex : Les toutes premières, c’était celles-ci d’ailleurs,

Raph : Oui, okay,

Alex : C’était ce modèle, snapback et puis après petit à petit on s’est mis à en faire d’autre, en fonction de la demande

Raph : D’autres couleurs, etc

Alex : Et oui, c’est parti juste d’un délire entre potes et l’idée n’était pas vraiment de faire du business,

Raph : Oui

Alex : Plus de protéger le nom au cas où, on fait un business un jour

Raph : Oui, mais comme la marque était déposée et protégée maintenant ?

Alex : C’est ça, pour dix ans, voilà,

Raph : Okay, donc au moins pendant dix ans tu es tranquille,

Alex : Pendant dix ans, on est tranquille,

Raph : Okay et le logo du coup c’est quoi ?

Alex : Le logo évidemment, c’est un épi de blé, un épi de blé,

Raph : Okay,

Alex : Doré, voilà, pour raconter rapidement l’histoire de la marque donc l’idée là c’est de proposer des produits qui sont d’entrée de gamme assez accessible,

Raph : Donc les casquettes,

Alex : Voilà, qui sont de bons produits, mais qui voilà, ne sont pas ultra onéreux,

Raph : Oui,

Alex : Et l’idée à terme, ça va être de proposer deux gammes sur la marque,

Raph : Okay,

Alex : Une partie entrée de gamme,

Raph : Comme celle-ci oui,

Alex : Et une partie luxe et en fait notre vision pour cette marque, c’est d’avoir une marque de prêt-à-porter entreprenariale, c’est-à-dire qu’on veut que les gens évoluent avec la marque, dans l’idée en fait sur les factures, sur les cartons de livraison,

Raph : Oui,

Alex : Sur absolument tout, on va mettre des phrases en mode mindset,

Raph : Des motivations,

Alex : Voilà, de motivation, vraiment pour mettre en avant le coté entrepreneur,

Raph : Oui,

Alex : Et que les gens évoluent avec la marque,

Raph : Oui

Alex : Et qu’ils se disent aujourd’hui j’ai une casquette à quarante euros sur la tête, mais mon objectif dans dix ans, c’est de porter une casquette version luxe à cinq mille euros,

Raph : Qu’est-ce qui justifiera le prix de cinq mille euros ?

Alex : Le fait que ce soit du luxe

Raph : Okay,

Alex : Et aujourd’hui,

Raph : Le luxe se vend plus,

Alex : Plus c’est cher, plus ça se vend,

Raph : C’est vrai,

Alex : On voit Philipp Plein, je ne sais pas si on peut citer les marques

Raph : Oui, il n’y a pas de soucis, on n’est pas à la télé,

Alex : Mais oui, Philipp Plein, je crois qu’il a vendu une veste à cent ou cent cinquante mille euros,

Raph : Exact, oui, j’ai vu ça,

Alex : Il n’y a pas longtemps. Je me dis qu’une casquette à cinq mille euros pourquoi pas et en plus donc pour l’histoire, mon pote qui est traiteur, quand je lui ai parlé de ça,

Raph : Oui,

Alex : Je lui ai dit oui, on va faire une version luxe, on va faire une casquette brodée en fil d’or

Raph : Okay,

Alex : Et elle sera vendue cinq mille euros et il me dit dis oui vas-y go, tu m’en mets une de côté.

Raph : Direct

Alex : Au début, je n’ai pas compris, j’ai fait non, je déconnais, il me fait non, mais je suis sérieux, le jour où elle sort, tu m’en prends une, puis un pote qui me dit ça, deux, trois, je me suis dit en fait que ça se vendrait,

Raph : C’est ça en fait, parce que le projet est vraiment parti d’un délire que les autres ont construit en fait, ça se lance, le fil d’or pour rigoler, ça se lance, après la suite c’est quoi ?

Alex : La suite déjà c’est de passer en société

Raph : Okay, une structure,

Alex : Au début, on faisait ça un peu à l’arrache,

Raph : Oui

Alex : C’était vraiment entre potes, on ne voulait pas faire de gratte sur les copains ou quoique ce soit donc on vendait sans marge, et puis petit à petit on a vu qu’on vendait cent, cent cinquante produits le premier mois, on a appelé le fournisseur, on lui a dit écoute fait nous un tarif,

Raph : Oui

Alex : Comme ça, ce sera notre marge à nous, puis on a continué à en vendre cent de plus, deux cent de plus. L’appareil on l’a rappelé, on a même était le voir sur place à Annecy, on lui a dit bon là, tu nous fais un prix d’ami

Raph : Oui, oui,

Alex : Qu’on puisse faire de vraie marge et puis petit à petit comme ça, on a réussi à se créer des revenus avec cette marque et jusqu’au jour où on en a parlé au comptable, il nous à dis là, les gars, il faut vous mettre en société

Raph : Oui

Alex : Et donc voilà on a décidé de se mettre en société et de passer à la vitesse supérieure,

Raph : Justement c’est quoi la vitesse supérieure ?

Alex : La vitesse supérieure, ça a était de levée des fonds

Raph : Super,

Alex : Parce que comme l’a dit Florian, lui avait revendu son parking,

Raph : Oui

Alex : Il avait des économies de côté, mais on était sur d’autres projets, cet argent on voulait le mettre dans d’autres projets, notamment immobiliers, donc on a dit c’est pas grave, la marque il faut qu’elle explose aussi,

Raph : Oui,

Alex : Donc on va la faire exploser, mais vu que ce n’était pas avec nos économies à nous, notre argent à nous, on va faire un appel public au départ entre guillemets,

Raph : oui

Alex : Mais on s’est dit plus d’une fois qu’on aimerait bien créer notre école un jour,

Raph : Oui,

Alex : L’école de l’indépendance financière un peu, avec des profs qui ne sont pas issus d’un système classique entre guillemets, mais un prof qui t’apprend l’investissement immobilier, mais qui lui-même est indépendant, qui t’apprend la bourse, mais qui est lui-même trader, enfin ce genre de chose, tu vois,

Raph : Okay

Alex : Des choses qu’on a en tête et pour l’instant elles sont au chaud dans nos esprits, mais un jour ça émergera peut-être, en l’espérant,

Florian : Reformater le système scolaire,

Raph : Ça, c’est un très, très bon objectif, très, très puissant,

Alex : Tu interviendras peut-être

Raph : Avec plaisir, tu m’appelleras

Alex : Exactement,

Raph : Okay, merci beaucoup les gars en tout cas, pour votre temps, pour cette vidéo, riche en contenu, donc si vous l’avez aimé, mettez un petit pouce bleu, posez-nous vos questions dans les commentaires, partager-là, avec des gens qui veulent entreprendre, investir et qui pensent que ce n’est pas possible, on est trop jeune ou je ne sais quoi, vous avez quel âge déjà, on ne l’a pas dit,

Florian : 24 ans,

Alex : 23 ans,

Raph : 24 et 23 ans, j’ai 24 ans, donc voilà preuve qu’on peut commencer jeune, vous avez commencé à quel âge à entreprendre et investir ?

Florian : 21 ans,

Raph : 21 ans,

Alex : 20 pour moi,

Raph : Plus ou moins pareil, voilà, c’est ça. Donc lourd, je mettrai également dans la barre de description, le site, il y a un site marchand, je suppose, pour acheter les casquettes,

Alex : Alors le site est en cours, mais il arrive pour avril, je ne sais pas quand tu vas publier la vidéo

Raph : Ce sera là du coup

Alex : Okay, le site sera en place et soyez agriculteur moderne,

Raph : Exactement, tu sais déjà l’URL ou pas ?

Alex : Non, pas encore

Raph : Donc on ne le dit pas, alors voilà, okay, je mettrai tout dans la barre de description en tout cas et lisez bien la barre de description si par exemple investir dans l’immobilier, on a un petit peu parler d’immobilier aujourd’hui vous intéresse, voilà j’ai certainement un programme qui vous permettra d’apprendre à investir dans l’immobilier, trouver une bonne affaire, la financer, les travaux, trouver un locataire, etc, etc, de A à Z.

Les gars, je vous tcheck pour vous dire au revoir,

Florian : Salut,

Raph : Merci Florian,

Florian : Merci à toi,

Raph : Alex, à une prochaine

Alex : Yes,

Raph : Ciao,

Alex : Ciao,

Florian : Salut

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