Mon bilan en 2023 : dividendes, Panama, baisse du patrimoine, …

Allez, c’est parti pour la vidéo annuelle qui arrive un peu tardivement cette année.

Nous parlons dans cette vidéo d’immobilier, de bourse, de start-ups, de vie perso, d’expatriation, de voyages, business, … et de tout ce qui est prévu pour 2024.

Et toi ? Es-tu satisfait de ton année 2023 ?

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Mon bilan en 2023 : dividendes, Panama, baisse du patrimoine, …

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Retranscription de la vidéo :

Les amis, l’heure du bilan 2023 est enfin arrivée.

J’ai envie de dire : enfin. Cette année nous sommes en retard. Pourquoi ? Il y a eu le séminaire le 06 janvier à Bruxelles – on va en reparler un peu plus tard dans la vidéo – qui s’est très bien passé et qui a fait qu’on était mobilisé à 100% pour que ce séminaire soit une réussite.

Donc, on a un peu laissé de côté tout le reste dont la vidéo « bilan de 2023 ». Mais, ne vous en faites pas, elle est là.

On est où ? On est à Bichkek au Kirghizstan. Quoi de mieux que de faire ça en direct de « la maison » ?

Alors, la vue n’est pas des plus forts. Là, aujourd’hui, c’est l’hiver, il neige un petit peu comme tu peux le voir, il fait gris. Bref, beaucoup de paramètres qui pourraient faire en sorte que ce n’est pas attirant. Mais, moi, j’aime toujours autant le Kirghizstan. On va parler justement un petit peu de voyages également dans cette vidéo.

2023, en termes d’introduction, est-ce que ça a été une bonne année, ou une mauvaise année ? Ça n’a pas été une année, on va dire, facile, par rapport à des années précédentes. Mais, globalement, le bilan reste toujours positif, vous allez le voir, puisque les choses vont dans le bon sens. On avance, on continue d’investir, de développer du patrimoine, d’avoir des actifs, de voyager, de kiffer, et c’est là le plus important.

Alors, comme d’habitude, on va découper cette vidéo par différentes tranches d’actifs. On va parler d’immobiliers, puis de bourses, puis de crypto, start-ups, où ça en est, les voyages, on va parler du business, on va parler d’un petit peu ce qui est alternatif en terme d’investissement, d’évènementiels, de vie perso, livres, patrimoines, et on fera une dernière petite conclusion sur « qu’est ce qui nous attend pour 2024 ? »

Si ça vous va, on part sur ce format-là.

  1. Immobilier

Ça va aller vite pour l’immobilier. L’immobilier, je m’étais mis un objectif « acheter un appartement cash à l’étranger ». Bon, je ne l’ai pas fait.

Et, même au contraire, plus l’année est passée et plus je me suis dit : « Mais l’immobilier, en détenir, ça ne sert à rien, pourquoi j’irai me faire chier avec, je ne sais pas, des chiottes qui fuient, des factures à payer, des taxes foncières, que ce soit en France ou à l’étranger ? »

Bref, l’immobilier ça marche plus ou moins pareil, il y a toujours des trucs à faire et à gérer. Alors qu’en fait, je peux ouvrir n’importe quelle porte pour 10 $, pour le moins cher, à 1.000 $, le plus cher, « les grosses moyennes », n’importe quelle porte d’un Airbnb d’un hôtel, tu peux les ouvrir en 3 clicks sur ton téléphone et tu as un appartement, tu as un toit.

Donc, pourquoi, j’irais me faire chier à détenir de l’immobilier ? Alors que si je veux, je peux aller checker dans Saint Régis, je peux m’offrir un Airbnb, comme c’est ici, finalement, c’est un Airbnb, toute somme bien sympathique et qui fait le taf, tu vois.

Pour mettre 2 semaines ici, au Kirghizstan, j’ai une cuisine, j’ai un coin salon, j’ai une chambre, en hyper-centre de Bichkek, ça me suffit.

Donc, cette idée de détenir de l’immobilier, m’est largement passée au-dessus de la tête, et même on va revendre une partie de l’immobilier.

Ceux qui étaient au séminaire à Bruxelles, je leur ai partagé ce fait que en fait, je vais revendre, et je vous l’ai dit dans une autre vidéo, une partie de mon immobilier parce que je n’en peux plus pour plein de raisons que vous connaissez tous très bien si vous faites de l’immobilier, en France.

Je suis à un stade de mon patrimoine où je pense que c’est un beau moment d’arbitrer. J’ai d’autres actifs, j’ai un niveau de patrimoine qui fait que l’immobilier a été un très bon tremplin pour moi pour faire de l’argent.

Je ne remercierais jamais assez le Airbnb en 2014 – 2015 – 2016 où j’encaissais à mort, où j’amortissais à mort, et c’était un réel tremplin pour investir et faire d’autres choses par la suite. Mais, aujourd’hui, je ne veux plus entendre parler d’immobilier.

Et je partageais justement au séminaire, une infographie où je montrais que plus le patrimoine augmentait et moins les riches détenaient d’immobilier dans leur patrimoine en proportion par rapport à tout le reste.

Et en fait, on se rend compte que quand les gens sont pauvres, ils n’ont rien, ils n’ont que des liquidités. Quand les gens commencent à s’enrichir, l’immobilier a une grande part dans le patrimoine. Et quand les gens commencent à peser plusieurs millions, plusieurs dizaines de millions, on se rend compte que l’immobilier est minime, et que c’est les produits financiers qui sont vraiment représentés en majorité.

Donc, ça m’a un petit peu conforté dans mon idée de me dire qu’en fait, je suis simplement en train d’évoluer et ce que j’ai toujours considéré comme étant important à l’immobilier dans un patrimoine. Je comprends en fait, aujourd’hui que c’est un très bon tremplin mais c’est loin d’être important et c’est loin d’être l’actif le plus rentable et le plus passif, contrairement à d’autres choses.

Donc, voilà pour l’immobilier.

  1. Bourse

Pour la bourse, tout a suivi son cours. On a investi à peu près 241.000 $ cette année, ce qui est plutôt très correct. Par contre la perte a été cette année moins bonne que celle de S&P 500, l’année dernière on avait fumé de la S&P 500, cette année, on s’est fait fumer par le S&P 500.

Sur les 2 dernières années, finalement, on se rend compte que j’ai plus ou moins suivi la même performance pour le S&P 500. Mais, là encore une fois, parce que c’est une question qui revient souvent, donc, je réponds à ça. Là, n’est pas l’objectif que de battre le S&P 500.

Moi, ce qui m’intéresse c’est de voir si les dividendes ont augmenté et là-dessus, alors, c’est dommage, je n’ai pas préparé la stat, à combien on était en début d’année 2023 par rapport à la fin 2023 en termes de dividendes perçus.

Mais, on a fait un sacré bond en avant. Parce qu’évidemment, quand on a réinjecté 240.000 $ et que les dividendes de nos entreprises ont augmenté et qu’on a réinvesti également les dividendes perçus dans de nouvelles actions, tu te rends compte naturellement que les choses s’accélèrent et à mon petit stade, puisque j’ai encore un petit portefeuille, on ne parle pas de dizaine de millions, je sens déjà les intérêts composés faire leur effet, donc, ça c’est extrêmement également sympathique.

Donc, niveau bourse, ça s’est vraiment plutôt très bien passé.

  1. Cryptos

Crypto, c’est un petit peu le point, on va dire, déception, puisque je m’étais mis comme objectif d’investir 10.000 € par mois dans le BTC. Aujourd’hui, je me vois investir plus que dans le BTC pour pleins d’autres raisons, je n’entrerai pas dans les détails aujourd’hui.

Et, en fait sur toute l’année 2023, je n’ai investi que 17 – 18.000 € en crypto, en BTC, principalement. Donc, j’ai toujours du mal à investir dans les cryptos. Je le dis, je pense chaque année, je veux le faire, je ne fais pas autant que je ne devrais.

J’ai pas mal investi en 2017 – 2018 – 2019 et c’est vrai que ce portefeuille, je le laisse tourner, je le laisse vivre ses petites montagnes russes. Donc, vous avez vu que les cryptos ont remonté récemment, ça fait plaisir au portefeuille, ça le fait un petit peu respirer là où il a longtemps un peu moisi.

Donc, là, il reprend les couleurs, mais, c’est vrai que j’ai du mal à être régulier et à me dire : « J’y vais beaucoup plus que ça dans les cryptos », là où je vois beaucoup de mes proches et amis qui sont beaucoup plus, on va dire, maximalistes sur tout ce qui est BTC et cryptos et qui investissent quasiment la totalité de leur patrimoine et de leur cash dans les cryptos.

Moi, j’ai encore du mal, c’est vrai que j’aime beaucoup les actifs, on va dire, un peu plus tangibles comme la bourse avec les actions ou les start-ups où là on parle d’entreprises.

Donc, je vois clairement au quotidien, le produit et le service rendu au quotidien. C’est-à-dire que quand j’achète une pizza, je comprends la création de valeur. Quand je bois dans une bouteille d’eau, de l’eau, je comprends la création de valeur. Une entreprise qui vend du savon, comme ça, je comprends la création de valeur.

Il y a plein de cryptos où malheureusement, encore une fois la création de valeur, elle n’est pas forcément très palpable, et où c’est plutôt de la spéculation plus qu’autre chose.

Donc, c’est vrai que j’ai parfois un petit peu du mal. Je ne parle pas ici du BTC. Je parle de plein d’autres cryptos, naturellement. Donc, voilà pour les cryptos.

  1. Start-ups

Parlons start-ups, justement, parlons entreprises non cotées, du coup ici. J’avais prévu de faire 24 projets cette année, on n’en a fait que 9.

Alors, attention, là, encore une fois, il y a vraiment 0… je ne suis pas mécontent de ce résultat. C’est-à-dire que je préfère faire de très bons projets plutôt que d’en faire qui sont moyens juste pour me dire : « Allez, on a fait pleins de projets ».

C’est ce que je dis d’ailleurs à tous les membres du club Insolent Capital : « Les gars, s’il n’y a rien pendant 2 mois, il n’y a rien pendant 2 mois ». Ce n’est pas que je ne bosse pas, c’est juste que, en fait, il n’y a rien qui m’a semblé suffisamment pertinent pour que je puisse y mettre mon argent et que je puisse vous le proposez et que vous puissiez mettre votre argent.

C’est-à-dire qu’encore une fois, je mets 100% de mon argent dans tous les deals que je propose aux membres du club. Donc, c’est très important pour moi.

Et c’est vrai parfois, il y a 2 deals en 1 semaine et des fois pendant 2 mois, il n’y a rien. Donc, c’est un peu frustrant, peut-être pour la gestion du cash, mais il faut savoir que ça marche comme ça.

Qu’est-ce qu’on a fait sur ces 09 projets ? Alors, c’est marrant, il y a une forte concentration, je ne m’en suis rendu compte que ce matin, en faisant les stats, aux Etats-Unis, il y a eu 7 deals aux Etats-Unis. Un au Rwanda, un en Indonésie.

Donc, ces deals, franchement je les adore. En les ayant regardé de nouveaux, je me suis dit : « Mais qu’est-ce qu’ils sont géniaux ! »

On a d’ailleurs un deal pour lequel on a failli croire qu’il se faisait racheter. En réalité, il a vendu une partie de l’activité à un groupe mais pas l’ensemble de la boite. Donc pour les investisseurs, pour le moment, il n’y a pas de conséquences financières, mais on a failli y croire.

D’un côté, c’était trop tôt. C’est-à-dire que le deal avait été fait il y a 9 mois, donc, en 9 mois, on n’aurait pas pu espérer un multiple mirobolant de x 50, x 100, on aurait pu espérer un x 1,5, x 2, x 3, grand max.

Donc, c’est un mal pour un bien. On a eu l’excitation de se dire : « Ça y est, un exit », et au final, non.

Donc, tant mieux, je préfère laisser la boite grandir, grossir et valoir plus d’argent pour se faire racheter plus tard plus gros, que voilà, faire un x 2, franchement, on n’est pas venu là pour ça. Ça aurait été même pour moi, je te le dis sincèrement, un échec.

Sur les autres boites, mon portefeuille est public, de toute façon, il n’y a rien à cacher, si ce n’est pour les dernières levées de fonds qui sont encore en cours mais on a fait un très beau projet en Indonésie sur un Marketplace B2B, dans l’échange de matières premières.

Qu’est-ce qu’on a fait ? On a eu une belle intelligence artificielle pour fournir des réponses cliniques aux docteurs sur la base évidemment de recherches empiriques et académiques. Donc, ça c’est génial pour fournir des bonnes réponses de qualité à des docteurs qui n’ont pas le temps d’aller fouiller tous ces gros livres qui pèsent des milliers de pages.

On a fait quoi ? On a fait, vraiment de très beaux projets. On a ici, je vois, Rwanda, on va dire pour faire simple, une assurance, un assureur pour les employés. C’est devenu une loi qui est passée en Afrique de l’Est pour obliger les employeurs à fournir des assurances aux employés. Donc, on surfe sur cette vague.

On a également BlueDot, aux Etats-Unis, excellente boite qui sort Y Combinator, puisque j’aime énormément investir aujourd’hui, exclusivement dans les boites du Y Combinator, pour plein de raisons que j’ai pu citer au séminaire. Investissez dans le Y Combinator. Vous êtes déjà devant tous les autres en investissant uniquement dans le Y Combinator. Donc, faites-le.

Donc, Bluedot, une plateforme pour gérer tout ce qui est charge, banque de rechargement des véhicules électriques et gestion de flottes électriques puisque de plus en plus les entreprises aux Etats-Unis, ont des flottes de véhicules électriques pour leurs salariés. Donc, il faut gérer tout ça.

Donc, bref, je ne vais pas te reprendre toutes les start-ups, une par une, mais tout ça est très prometteur. Même si l’année 2023 a été évidemment une année compliquée également pour tout ce qui est start-up puisqu’il y a eu beaucoup moins d’argent en 2023 que sur les années précédentes pour tout ce qui est levée de fonds.

Donc, il y a beaucoup de start-ups qui ont eu du mal à lever des fonds, qui doivent faire très attention à leur cash, qui cherchent avant tout maintenant la profitabilité pour pouvoir être certaines de survivre dans un environnement où l’argent il n’est plus aussi abondant qu’avant, vous l’avez vu avec les taux d’intérêts qui ont augmenté.

Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que l’argent il est plus aussi gratuit qu’avant. L’argent coûte cher à emprunter. Donc l‘argent est devenu plus précieux.

Donc, on fait attention de ce qu’on fait avec son argent et les investisseurs font attention et ne balancent plus du cash à droite, à gauche, comme ils ont pu le faire en 2020 – 2021, etc… Okay ?

Mais, à priori, la fenêtre 2024 – 2025 commence un petit peu à se ré-éclaircir et on commence à avoir des échos d’introductions en bourse ou d’ouvertures du marché. Donc, ça devrait un petit peu plus respirer également en 2024.

  1. Voyages

Ensuite, niveau voyage, je m’étais mis 12 nouveaux pays dans le viseur. Pour parler un petit peu autre chose que d’investissement. Je n’en ai fait que 9.

Alors, il y a 2 choses, la première c’est que je suis retourné dans des pays que j’avais envie de revisiter et que j’ai beaucoup aimés, donc, naturellement le Kirghizistan, j’y suis allé 2 fois dans l’année 2023. La Biélorussie, un pays que j’ai aimé également beaucoup, j’y suis retourné.

L’Inde, ça faisait longtemps que je n’étais pas allé en Inde. J’y suis retourné à Mumbai, qu’est-ce que j’ai kiffé, j’ai déjà envie d’y retourner. Les gens sont extrêmement sympathiques, on est dépaysé. C’est génial.

L’Inde, ça va très vite et je vous le dis dans les start-ups, je mise énormément sur l’Inde. D’ailleurs dans les start-ups américaines, je vous avais dit que j’étais surpris qu’il y ait beaucoup de start-ups américaines. En fait, ce n’est pas vraiment des start-ups américaines. Derrière ces start-ups américaines se trouvent pour certaines que des fondateurs indiens mais qui font le pari de créer et d’investir, d’innover aux Etats-Unis.

Donc, tu vois, c’est comme ça, mais c’est plutôt une bonne chose puisque les Etats-Unis fournissent un écosystème qui est encore une fois devant tout ce que tu peux trouver ailleurs dans le monde. Donc, c’est entièrement normal et encore une fois le Y Combinator attirent des fondateurs du monde entier qui ont des compétences excellentes. Et quoi de mieux que le Y Combinator pour accompagner ces excellents fondateurs ?

Donc, l’Inde, génial et un nouveau pays. Qu’est ce qui m’a dépaysé cette année ? Brunei, petit pays d’Asie du Sud-Est. Alors, il ne faut pas y passer 3 mois, mais c’est intéressant de voir ce petit pays en Asie du Sud-Est qui tranche avec tous ces voisins.

Le Népal, excellente surprise. Perdu dans les montagnes, on est vraiment dans un monde parallèle. C’est-à-dire que le Népal, il y a une ambiance un peu mystique, je trouve, vraiment. Dès qu’on arrive en avion, on est entouré par des mastodontes, des grosses montagnes où on se dit : « Bordel de merde, il faut que ça se passe bien à l’atterrissage, sinon, il n’y a aucune chance. »

Je suis allé en Iraq également. Excellents, les Iraquiens, franchement, un très bel accueil. Loin d’être si peu safe, comme on pourrait l’entendre à droite, à gauche. Je ne me suis pas senti du tout en danger en Iraq. Je ne dirais pas qu’il faut faire n’importe quoi , mais à priori si tu as du bon sens paysan, comme tu peux l’avoir partout ailleurs dans le monde, ça se passera bien.

L’Equateur, également un pays très intéressant, où j’ai senti que c’était un peu tricky, qu’il y avait une ambiance un peu bizarre. Et on l’a vu récemment dans les médias, où ça part en couille avec les narcos.

Donc, c’est un pays qui a un portrait stratégique sur l’Ouest à Guayaquil, et Tupa. On a vu beaucoup de belles marchandises. Je n’ai pas lâché trop de… je n’ai pas envie de me faire buter par un narco, donc, voilà, il se passe des choses.

Et Panama, on va en reparler un petit peu plus tard. Première fois que je suis allé à Panama et pas pour rien. On en reparle un petit peu plus tard dans la vidéo.

Donc, voilà, on a bien voyagé. On a encore bien voyagé cette année. Ce n’est pas quelque chose qu’on a prévu d’arrêter du tout que de voyager. On a toujours autant la bougeotte. Même malgré le fait d’avoir eu 30 ans, où je m’étais dit : « Je vais me poser un peu plus ». Finalement, je me rends compte que me poser 2 semaines au même endroit, là je suis au Kirghizistan, je kiffe mais je sais qu’au bout de 2 semaines, je vais avoir envie de me dire : « où est-ce qu’on se casse ? ».

Donc, c’est très bizarre mais c’est comme ça, moi, je kiffe voyager, voir de nouvelles choses, donc, ça ne me rend pas triste. Loin de là.

  1. Business en ligne

Parlons un peu du business en ligne. Intéressant cette année 2023, et c’est quelque chose que j’ai constaté chez à peu près tous mes collègues, si je peux les appeler comme ça, tous mes amis, entrepreneurs qui ont des business en ligne. Que ce soit aussi bien un business parallèle au mien ou similaire au mien, ou que ce soit de l’E-commerce, ou de l’affiliation, du SAS, que ça soit de la vente de produits, d’info-produits, ce que tu veux, je pense qu’on a à peu près tous plus ou moins constaté une baisse, un petit peu, de chiffre d’affaires pour 2023.

En tout cas, moi et beaucoup de mes amis, on a une baisse, voilà, par rapport en fait… Il faut savoir que 2020 – 2021 – 2022 étaient des années vraiment très bonnes parce que il y a eu le Covid, il y a eu un changement de paradigmes. Les gens ont commencé à comprendre que c’était très important soit d’entreprendre, soit d’investir, que l’argent qu’on a pris mais à tout va pour relancer l’économie après le Covid, ce n’était pas magique que ce qui nous est arrivé pendant le Covid, ce n’était pas très cool. Donc, il fallait peut-être être un peu plus indépendant.

Donc, c’était vraiment de très bonnes années pour tout le monde et on a vraiment fait des beaux chiffres je pense pour la majorité des acteurs et 2023 était un peu plus fade.

Moi, j’ai personnellement senti que les gens avaient beaucoup moins d’argent, même chez certains clients pour lesquels je sais que ça va, qu’ils ont de l’argent, il y a ce qu’il faut, ça négocie.

Je sens que les gens n’ont pas d’argent. Les gens dépensent moins. Les gens réfléchissent plus. Les gens prennent plus leur temps. Et donc, évidemment souvent quand ce n’est pas maintenant qu’on dépense, c’est souvent jamais. Le plus tard, c’est souvent jamais.

Donc, c’est un peu plus compliqué. On verra ce qui se passe en 2024. Mais, mois, personnellement, ne serait-ce qu’avec l’organisation du séminaire à Bruxelles, on en reparlera un petit peu plus tard également, j’ai senti qu’il y a un petit souci dans la poche des gens par rapport à l’expérience de billetterie que j’ai peu connaitre sur les précédentes éditions du séminaire.

Je me suis dit : « Oulà, là, il y a un truc ». On l’a rempli le séminaire, Dieu merci, mais c’est vrai que l’expérience était assez différente des années précédentes.

Donc, voilà, les gens dépensent moins, moins d’argent ou sont un peu plus radins, je ne sais pas, mais en tout cas, on va faire en sorte que 2024 soit une bonne année.

Alors, attention, 2023 était loin d’être une mauvaise année pour le business, encore une fois, Dieu merci, on est sur un business qui pour moi est le meilleur business au monde. C’est-à-dire que tu vends depuis n’importe où dans le monde, tu es ouvert H24, tes marges sont excellentes, un produit ne te coûte quasiment rien puisque tu peux le dupliquer quasiment à l’infini.

Enfin, bref, je ne te refais pas la chanson. Mais on est toujours sur un excellent business qui marche très bien et le marché de la formation, par exemple, continue de grossir énormément en France, en Europe et dans le monde.

Donc, voilà, mais en 2024, il va falloir un petit peu se réinventer ou ne pas chômer. Puis, il ne faut pas non plus, négliger la concurrence. Tout le monde veut devenir entrepreneur. Je pense que tu le vois très bien. Des nouvelles pubs au quotidien sur YouTube, Facebook et compagnie, Instagram et tu te dis : « Putain, encore un nouveau, encore un nouveau, mais qui, qu’est-ce qu’il veut celui-là ? ».

Donc, voilà, il faut être conscient qu’il y a également une grosse concurrence et que les gens se professionnalisent. Le marché de 2014, quand j’ai commencé par rapport à celui de 2024, maintenant, ce n’est pas le même.

Tu ne peux pas arriver à l’arrache et tout péter comme c’était possible en 2014. Maintenant, il faut se professionnaliser et innover.

Donc, voilà pour la partie business.

  1. Alternatifs

Pour la partie alternative, je m’étais dit m’acheter une Rolex. Toujours pas. En fait, je me dis : « Mais une Rolex quand je vais finir dans un bouiboui aux fins fonds du Kirghizistan, au Népal, en Iraq ou je ne sais où en Thaïlande, est-ce que c’est une bonne idée ? »

On verra plus tard. J’aimerais bien mais ce n’est pas non plus le truc à me faire kiffer de fou. Au contraire, je pense que ça va me stresser, tu vois. Genre, poser la main comme ça sur une table, et me dire mais ça va rayer le bracelet présidentiel, ça va me souler.

Donc, je pense que ça va plus me stresser, donc on verra. Peut-être cette année, peut-être l’année prochaine. On verra.

  1. Evènements

Le séminaire de Bruxelles. Tout ce qui est évènementiel, je vous l’ai dit dans une autre vidéo, c’est terminé, on arrête ces bêtises. Après 5 éditions, c’est bon.

Alors, moi, j’adore les évènements, quand je vous rencontre et tout et encore une fois, à Bruxelles, j’étais agréablement surpris. Je me suis dit : « Putain, mais c’est quand même trop cool de rencontrer sa communauté, de leur serrer la main, de leur taper une bise, de leur parler. »

Même si c’est toujours des échanges très rapides, c’est quand même ultra plaisant de mettre un visage sur des emails, et tu sais des choses qu’on voit au quotidien, des emails, des paiements et des trucs comme ça. Mais, il manque un côté humain. Donc, c’était extrêmement plaisant comme exercice. J’ai adoré.

Je me suis même dit : « Putain, est-ce que c’est vraiment le dernier ? » Mais, la réalité, c’est que c’est vraiment le dernier parce que ce séminaire m’a fait perdre de l’argent encore une fois. Je pense à quelque chose comme dans, je n’ai pas encore clôturé la compta mais plusieurs milliers, voire peut-être presque 10.000, je ne sais pas, peut-être pas autant mais au moins dans les 5.000 et quelques.

Donc, on ne fait pas un évènement pour perdre de l’argent. Et cette année, j’ai senti encore une fois comme je te l’ai dit que l’expérience de billetterie était atypique, les gens ont moins d’argent. Et, également, je le dis maintenant, mais c’est vrai que j’étais un petit peu déçu de beaucoup d’excuses que les gens ont pu avoir pour ne pas participer au séminaire.

Je t’explique. Avec tous mes programmes de formation, généralement, j’offre une place de séminaire quand tu rejoins ma formation sur la bourse ou sur le club de start-ups, etc … donc, on va tout supprimer maintenant, qu’on arrête les séminaires. Mais, c’était l’idée jusqu’à présent.

Et on avait à peu près 475 places qui étaient réservées à des membres de formation qui en avaient obtenu une en achetant un programme de formation.

Donc, moi, à la base, j’étais même stressé par ce séminaire en me disant : « Ça ne va jamais remplir ». A Bruxelles, il n’y a pas d’aussi grosse place, tu vois ? Tonton Marriott n’a pas d’hôtel assez grand pour accueillir au moins 475 personnes sans même avoir à ouvrir de billetterie.

Donc, je savais que tout le monde ne viendrait pas mais je me disais : « Bon, même s’il y a 40% des gens qui ne viennent pas, ça fait encore beaucoup de gens à accueillir et en fait, je ne pourrais même pas ouvrir de billelterie parce qu’on sera déjà sold out direct. »

Et, je n’ai pas les chiffres en tête très précisément mais sur ces 475 places qui étaient offertes, très très peu finalement ont été utilisées et énormément d’excuses ont été fournies pour ne pas participer à l’évènement.

« Je viendrais l’année prochaine, là je ne peux pas, là c’est chaud, là j’ai ci, là j’ai un anniversaire, etc… »

Et je me dis : « Mais je ne comprends pas ». Toute l’année, on m’a réclamé un séminaire, je te jure, j’ai très régulièrement des messages en mode : « C’est quand le prochain séminaire, c’est quand le prochain séminaire ? » Et là, je me suis dit : « Putain, j’étais stressé par l’idée qu’on soit sold out et que ce soit la merde. Et, en fait, non, il y avait quand même beaucoup de gens qui avaient des places et qui ne sont pas venus.

Donc, tout s’est très bien passé le 06 janvier, j’étais extrêmement content. Franchement, je pense que c’était un des meilleurs séminaires en termes d’énergie. Les gens participaient énormément dans le public. Les intervenants étaient géniaux, n’étaient pas là pour vendre, tu vois, vraiment, ils ont délivré de la valeur, les gens ont kiffé, l’hôtel était sympa, il n’y a pas eu de couacs, j’ai eu que des bons retours.

J’ai envoyé un sondage anonyme à la fin du séminaire. Il n’y a pas eu de mecs qui ont dit que c’était nul, etc… Donc, à priori, tout s’est vraiment très bien passé et moi, je l’ai très bien senti.

Mais, c’est vrai que sur l’expérience de remplissage du séminaire, je me suis dit : « Bon, je ne comprends pas, on m’en réclame beaucoup des séminaires et à la fin, en fait, même quand c’est gratuit pour les gens, parce qu’ils ont eu la place via un programme de formation, il y a des excuses, à tout va ».

Donc, j’étais un petit peu déçu sur ça. Et bon, je le dis maintenant, lors du bilan de l’année sur cette vidéo.

  1. Vie perso

Concernant, la vie perso, ça y est, je dépense un peu plus pour moi, même si j’ai du mal à dépenser. Parce qu’en fait, une journée comme aujourd’hui à Bichkek, tu vois, là je me lève tranquillement, je bosse, je vais aller dans un café, ça va me coûter 2 € le capuccino. Je vais aller bouffer au resto ce soir, 10 € grand max. Il y a des journées comme ça très simples, en fait, où je suis un petit peu dans une routine, où je ne voyage pas tout le temps, où ça coûte très très peu de vivre.

Donc, même si mon objectif c’est de dépenser plus pour moi et je me verse plus d’argent en perso, j’ai toujours du mal à le dépenser. Et, en fait, il s’accumule, il s’accumule, il s’accumule, et je me dis : « Merde, en fait, c’est quoi ce bordel ? Je n’arrive pas à le dépenser, je ne trouve pas d’arguments pour dépenser ». Mais, j’essaie, j’essaie, en tout cas. Peut-être qu’on va accumuler, accumuler, accumuler jusqu’à atteindre le prix d’une Rolex et ce sera le moment de cash out, on verra.

Le russe, je pensais, que je me débrouillais pas trop mal, et depuis que je suis revenu au Kirghizistan, c’est une catastrophe. J’ai tout oublié, beaucoup de mots de vocabulaires, les tournures de phrases.

Hier, j’ai regardé un film en russe, c’était vraiment très dur. Hier soir, j’étais très découragé par le russe mais pour 2024, j’espère qu’on va y arriver une bonne fois pour toute.

C’est vraiment une langue d’enfoirés, franchement, c’est vraiment les montagnes russes, aussi, comme les cryptos l’apprentissage du russe. C’est-à-dire que des fois, tu as l’impression que tu es le boss, que tout passe, mais dès que tu rentres dans des phrases un petit peu compliquées ou des sujets un peu plus complexes, tu te rends compte qu’en fait, tu es encore loin du compte.

Donc, extrêmement dur. Mais, c’est l’objectif avec pourquoi pas un peu plus d’espagnol, maintenant qu’on arrive à Panama. Et c’est la transition toute faite pour Panama.

Donc, je t’ai dit que je m’y suis rendu cette année 2023. On change de résidence, j’en ai également parlé dans une vidéo récemment et au séminaire à Bruxelles. Donc, l’Estonie, c’est fini, à 99% pour dire les choses comme ça. Et, on se barre à Panama.

Je te ferais probablement des vidéos quand j’y retourne là dans 2 – 3 mois grand max, que je serais sur place, ce serait plus sympa. Où je t’expliquerai un peu plus c’est quoi Panama, comment ça fonctionne, pourquoi ce choix, pourquoi là-bas et plus l’Estonie, pourquoi Panama et pas Dubaï ou Thaïlande comme certains peuvent se poser la question.

J’en ai parlé au séminaire, mais voilà. Soit tu pourras te procurer l’enregistrement du séminaire soit tu attendras d’autres vidéos YouTube où je te parlerais potentiellement plus en détail de ce choix et de ce qui se passe à Panama et pourquoi c’est intéressant.

Il faut savoir qu’il y a quand même pas mal d’expatriés à Panama. Mais, que Panama, c’est une destination avec une connotation de confidentialité. Donc, ce n’est pas le show off de Dubaï, ce n’est pas la Thaïlande. C’est une autre communauté.

Elle est un peu plus discrète, elle est un peu plus calme. Elle est un peu plus peut-être mature, si on peut utiliser ce mot-là. Voilà, confidentiel, c’est vraiment le terme.

  1. Livres

Donc, je t’en parlerai un peu plus tard. Pour parler livre, alors « La Magie des Dividendes » continue de très bien marcher. Franchement, merci à vous. Je suis vraiment extrêmement surpris et toujours très bien dans les classements Amazon. Il se vend tous les jours très bien. Toujours d’aussi bons retours naturellement.

Donc, un grand merci. J’hésite à sortir un nouveau livre. Je m’étais dit que dès que « La Magie des Dividendes » atteint les 1.000 commentaires sur Amazon, et on y est presque puisqu’on est à 950 et quelques et bientôt 960, je m’y mettrai.

J’ai un poil la flemme pour ne rien vous cacher. J’ai peur, en fait, tout simplement, de faire beaucoup moins bien que « La Magie des Dividendes » pour être honnête. Parce que « La Magie des Dividendes » était un tel succès en termes de ventes que j’ai du mal à imaginer faire mieux.

On va essayer mais, en étant réaliste, je pense que ça va être très compliqué. On verra. Mais, voilà, dites-moi dans les commentaires ci-dessous si vous voulez que je me chauffe à écrire un livre.

L’idée, ça serait de faire un livre « millionnaire avant 30 ans » avec un gros retour d’expérience en mélangeant un peu tout business, investissement, voyage. Faire un truc très sympa, un peu romancier. Dites-moi si vous voulez.

  1. Patrimoine

Niveau patrimoine, intéressant, le patrimoine a légèrement baissé cette année.

Chaque année, au 31 décembre, 25 décembre, fin d’année, je fais un bilan de mon patrimoine, je reprends tous mes actifs, je les revalorise. Donc, l’immobilier, portefeuille, crypto, start-ups, bourse, le cash, tout et je regarde comment on a évolué.

Et, c’est la première année que le patrimoine baisse un tout petit peu. Tu vois, c’était la première année également en 2023 que mon chiffre d’affaires a baissé niveau business internet. Et c’est la première année également que mon patrimoine également baisse un tout petit peu.

Donc, tu vois c’est intéressant. Ça ne me décourage pas. Je ne me dis pas qu’il y a un truc qui ne va pas. C’est juste que, en fait, comme on dit en bourse : « Les arbres ne montent pas jusqu’au ciel ». Donc, il y a des années où ça va un petit peu moins bien, où les actifs sont un petit peu moins valorisés.

Et en fait, ce qui s’est passé c’est que mon immo… et qu’est ce qui a baissé ? Donc, les cryptos ça a monté, je vois ici. Les actions ça a monté. Start-ups, pourquoi j’ai noté baisse, ça n’a pas baissé les start-ups, les start-ups ça a monté. C’est l’immo que j’ai un petit peu moins valorisé.

Vous savez quoi, je vais rouvrir le fichier juste devant moi avec vous. Comme ça je suis sûr mais les start-ups, ça n’a pas baissé. Start-ups, start-ups, start-ups, non, ça n’a pas baissé. Voilà, j’ai fait une bêtise.

Donc, c’est un petit peu de l’immobilier que j’ai un petit peu baissé. Et en fait, on est à l’équilibre. Je vois là, ça se joue à 100.000 €. Donc, tu vois, il n’y vraiment pas grand-chose.

Donc, voilà, ça a baissé, ça a stagné on va dire. Ce n’est pas que ça a baissé, ça a stagné. On est à même niveau de valorisation que l’année dernière. Donc, intéressant, mais je pense que 2024 va être une très bonne année, là-dessus.

Pour 2024, justement, parce qu’on est déjà à la fin de cette vidéo, ça passe très très vite, 2024, ça ne va pas changer drastiquement.

On va toujours investir en bourse en masse, start-ups également en masse. Alors, j’en ai parlé également au séminaire. Beaucoup de gens sont sceptiques sur les start-ups, « Pourquoi tu as déjà investi plus de, je crois, 400.000 $ et quelques, en start-ups. Et tu n’as toujours rien gagné ? » Moi, je suis très confiant.

C’est-à-dire qu’encore une fois on n’investit pas dans n’importe quoi. Beaucoup de gens me sortent la stat du 9 start-ups sur 10 vont échouer. C’est une réalité quand on prend l’ensemble de toutes les start-ups.

Mais, le simple fait déjà que d’investir dans le Y Combinator vous fait mentir sur cette stat puisque 40% à peu près des boites du Y Combinator vivent un évènement de liquidité.

Donc, on n’est pas sur 9 boites sur 10 qui font un échec, on est sur 6 boites sur 10 avec le Y Combinator et encore, dans les 6 boites restantes, elles ne sont pas forcément en échec, elles sont encore en vie. Donc, en fait, le Y Combinator permet déjà de faire un excellent tri et ensuite, dans les boites du Y Combinator dans lesquelles je me positionne, je ne prends pas n’importe quoi, les boites, parce qu’il y en a du Y Combinator qui présentent simplement qu’une idée. Je n’y vais pas, j’aime voir de la traction financière.

Alors, ça m’est arrivé d’avoir des boites qui ne présentent qu’une seule idée mais c’est extrêmement rare, j’aime aller sur des boites qui ont déjà ce qu’on appelle un PMF, un Product Market Fit, qui ont déjà démontré qu’elles savent encaisser de l’argent et qu’il y a des clients qui sont intéressés par leurs solutions.

Donc, start-ups, on va continuer, crypto, on va essayer toujours d’investir plus, d’atteindre les 10.000 € par mois et 120.000 €, ce sera bien qu’on investisse 120.000 € cette année en cryptos. On va revendre du coup, d’immobilier, une partie de l’immobilier et tout mettre en bourse. D

Directement là-dessus, il n’y a pas d’hésitation. On récupère l’immobilier et on fout tout en bourse. Voyage, j’ai 3 voyages qui me font vraiment de l’œil, là, j’ai vraiment envie d’aller visiter 3 pays, par exemple, c’est la Mongolie, Madagascar, et la Chine. J’ai vraiment très hâte. J’espère qu’on les fera cette année.

On va essayer de se réinventer un niveau un peu business, faire des choses un peu différemment sur la façon dont on présente ses idées ou on acquiert le trafic. On va essayer de se réinventer là-dessus.

Et en dernière chose, sur tout ce qui est résidence, et langues, on va essayer de maitriser le russe, l’espagnol et d’acquérir de nouvelles résidences. Je vous dis que je vais à Panama, mais, voilà, j’obtiens une résidence, donc permanente à Panama et j’aimerais obtenir d’autres résidences temporaires, permanentes ou voire même des passeports, cette année, dans d’autres pays.

J’en ai parlé également lors du séminaire de Bruxelles.

Donc, n’hésites pas lorsque le replay sortira à te le procurer mais j’ai parlé de toute l’importance de cette diversification avec également Ladislas Maurice qui est intervenu au séminaire, qui lui aussi parlait avec brio, c’est son métier. Ce sont des actifs, au même titre que l’immobilier, la bourse, les cryptos, les start-ups, tout ce que tu veux.

Avoir des passeports, des résidences permanentes, parler d’autres langues, ce sont des actifs. Ça ne te fait pas gagner de l’argent tout de suite mais ça peut t’éviter d’en perdre soit beaucoup ou soit de te sauver d’une situation très pénible.

Encore une fois, il ne faut pas s’attendre d’être dans la position d’un Russe ou d’un Ukrainien, qui du jour au lendemain a tout perdu parce que les Ukrainiens ont vécu sur le terrain des évènements tragiques, mais les Russes aussi avec les sanctions ont perdu pour certains leurs business, leurs activités économiques et tous leurs moyens de paiement.

Donc, il ne faut pas se retrouver dans la situation d’un Ukrainien, d’un Russe ou de qui d’autres dans le monde.

Malheureusement, il y a plein de gens qui sont dans des situations compliquées, et qui souffrent. Il ne faut pas attendre d’être au dos du mur pour trouver des solutions. Il faut anticiper et savoir se dire qu’on peut partir à tout moment ailleurs, quelque part, où on sera accueilli, parce qu’on est résident permanent ou qu’on détient un passeport et non pas trouver des solutions quand c’est trop tard et que tout le monde, en même temps, cherche des solutions. Okay ?

Bref, on aura l’occasion d’en reparler peut-être plus tard notamment quand je serai à Panama.

Voilà, les amis, pour 2023. Ça reste un bilan extrêmement positif de mon côté quand même. Il n’y a pas que les chiffres avec un business qui a peut-être un peu moins généré d’argent ou qui en a toujours généré un montant confortable ou un patrimoine qui a un petit peu stagné. Il n’y a pas que ça, il y a l’ensemble. Et je trouve que l’ensemble a très bien évolué parce que on a toujours plus d’actions, on a toujours plus de start-ups en portefeuille, on a toujours plus de cryptos, on a toujours plus d’actifs, et donc, ça c’est intéressant.

Et même si l’année 2023 n’a pas toujours été facile, je sais qu’à terme, tout ça va énormément se valoriser et payer, porter ses fruits.

Voilà les amis. Dis-moi dans les commentaires, ce qu’a été pour toi l’année 2023, est-ce que ça a été une bonne année, une année un peu moins bonne que les précédentes, peut-être qu’un peu comme moi, mauvaise, qui a stagné.

Bref, dis-moi, je suis super curieux de savoir où ça en est également pour toi, de ressentir un petit peu l’énergie globale.

Lis bien la barre de la description également comme d’habitude. Il y a pas mal de ressources qui devraient pouvoir t’aider justement à investir en bourse et en start-ups. Encore une fois, je te souhaite une excellente année 2024. On va tout faire pour faire en sorte que ce soit une excellente année.

On va bosser dur et je te dis à très très vite en direct du Kirghizistan. Ciao ciao.

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