Le piège à éviter pour investir dans des start-ups

Quand il s’agit d’investir, il y a souvent plusieurs façons de le faire. Que ce soit dans l’immobilier, la bourse, la crypto-monnaie ou l’investissement dans les start-ups, il existe souvent différentes stratégies, différents marchés mais également différentes plateformes.

Evidemment, tout ne se vaut pas et dans certaines de ces possibilités résident des pièges…

Pour les start-ups, on pourrait justement être tenté de se tourner vers des plateformes qui semblent être simples d’utilisation et sans trop de difficultés pour finaliser son investissement.

Le problème, c’est que les start-ups ont tout sauf envie de terminer sur une plateforme. Je t’explique pourquoi dans cette vidéo.

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Le piège à éviter pour investir dans des start-ups

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Retranscription de la vidéo :

Les amis, bienvenue sur cette nouvelle vidéo en direct de Marrakech au Maroc. Comme tu peux le voir devant moi, le décor est plutôt sympathique. Mais on n’est pas là pour parler d’hôtellerie ni d’architecture mais plutôt aujourd’hui de start-ups.

Je vais faire une petite mise en garde en fait aujourd’hui, dans cette vidéo, sur ce qui concerne l’investissement dans les start-ups.

On va se mettre là-bas pour être tranquillement au calme.

En fait, dans l’investissement, il y a toujours à boire et à manger. On vous propose tout et n’importe quoi. Et c’est parfois pas évident pour toi en tant qu’investisseur de savoir qu’est-ce qui est bon, pas bon, le vrai, le faux, ce qui est intéressant, pas intéressant.

Et aujourd’hui, je voudrais te mettre en garde en fait contre les investissements que tu peux réaliser via des plateformes gratuites.

En réalité, j’avais préparé pas mal de noms de plateformes, que je vais te citer, que tu connais peut-être déjà plus ou moins. Il y a Funders Club, CrowdLords, SeedInvest, Crowdfunder, Republic… Tu vas trouver plein de plateformes qui vont te permettre d’investir dans ce qu’on appelle le private equity, investir dans des start-ups.

Mais en fait, il y a un souci avec ces plateformes gratuites, et c’est ce que je vais t’expliquer dans cette vidéo.

On va commencer par la base. Une start-up, c’est quoi ?

Une start-up, c’est une entreprise qui a une idée de produits et de services qui peut répondre à une demande. La start-up est immature, ne génère pas ou peu d’argent, qui a besoin de beaucoup d’argent justement pour investir dans sa croissance, qui a donc besoin des investisseurs, et qui a évidemment besoin de confidentialité.

Et aujourd’hui, ce qu’il faut comprendre, en tant qu’investisseurs, c’est qu’une start-up n’a aucun intérêt d’aller lever des fonds sur une plateforme publique et gratuite auprès des investisseurs particuliers.

Souvent, les start-ups, elles ont besoin de quoi ? D’argent mais aussi d’accompagnement, d’expérience, de partenariat, d’opportunités. Le rôle d’un investisseur, ce n’est pas que de donner de l’argent et lui dire : « Débrouille-toi ».

Une start-up, elle cherche à attirer des investisseurs, des fonds d’investissement, des incubateurs qui vont pouvoir apporter évidemment l’argent, puisque c’est le nerf de la guerre, mais également l’expérience du contact, du réseau, etc.

Et aujourd’hui, pour une start-up, aller sur une plateforme publique et lever auprès des particuliers, c’est une hérésie en fait. Parce qu’elle va avoir peut-être un peu d’argent, pas forcément beaucoup, parce qu’évidemment, le particulier, il ne va donner qu’un petit peu d’argent, peut-être 100 balles.

Et justement, on voit parfois même des plateformes qui permettent d’investir à partir de 10$. Donc j’ai envie de te dire : Il en faut des 10$ pour pouvoir lever un million, 500.000, 200.000$ etc. ou plus même, 5 millions etc.

Et donc évidemment, c’est compliqué. Et en plus de ça, le particulier, il ne va pas fournir de l’expérience. Le particulier, par définition, ce n’est pas son rôle, ce n’est pas son métier que d’être investisseur, contrairement à des fonds d’investissement, des incubateurs, etc. ou des gros CEO qui ont pour mission de créer des entreprises et de les développer.

Donc il faut comprendre ça. C’est qu’une start-up, généralement, qui se retrouve sur une plateforme publique, il faut se poser la question de pourquoi elle le fait.

Et en fait, malheureusement, c’est que c’est souvent une question de survie. C’est-à-dire qu’elle n’a pas forcément réussi à convaincre des investisseurs plus gros, plus intéressants, les investisseurs institutionnels, les investisseurs qui ont de quoi apporter de l’argent et de l’expérience parce que le produit ou le service est potentiellement pas bon, parce qu’il n’y a pas de demandes ou parce qu’ils n’ont pas réussi à convaincre ou que les chiffres ne sont pas bons, bref, que quelque chose ne va pas.

Il peut y avoir plein de raisons qui font qu’un investisseur ne veut pas investir dans une start-up, mais logiquement, les meilleures start-ups aujourd’hui sont prises d’assaut par les meilleurs investisseurs.

Donc il faut comprendre que si une start-up se retrouve sur une plateforme, c’est que potentiellement, il y a une question de survie qui est en jeu là-dedans.

Il y a 2 points importants. Le plus important même, c’est que tout ça, c’est confidentiel. C’est-à-dire que quand tu investis dans une start-up – moi tel que je le fais – les informations me sont confidentielles.

C’est-à-dire qu’on me dit très clairement : « Ne partage rien de tout ce que tu as comme informations. C’est confidentiel. Si tu le partages, tu auras des problèmes. »

Juridiquement parlant, c’est confidentiel. Ce qui se comprend. Une start-up, évidemment, elle a besoin de protéger son business, ses marges, son chiffre d’affaires, sa vision, sa traction, des concurrents.

Si tout le monde sait c’est quoi le plan de la start-up, potentiellement, ça va la tuer dans l’œuf. C’est-à-dire qu’un concurrent plus gros va venir et dire : « Ah ouais, là il y a un angle d’attaque, il y a un marché. Ils ont fait une étude de marché. Il y a ci, il y a ça. Ils ont commencé à développer ça. On va faire pareil. On a plus de moyens. On va les écraser. » Et c’est terminé.

Donc évidemment que c’est confidentiel. Donc encore une fois, pose-toi la question : « Pourquoi une start-up dont l’activité est confidentielle, ou en tout cas dont les informations sont confidentielles irait sur une plateforme publique gratuite auprès des particuliers pour lever de l’argent ? »

Donc tu vois, il y a vraiment 2 raisons qui font que ce n’est pas logique. C’est que d’un point de vue confidentialité, elle s’expose au grand public, et d’un point de vue financier et investisseur, elle n’attire pas du tout les bons clients en termes de moyens, et en termes de compétences et de connaissances.

Donc c’est pour ça que les plateformes publiques, bien qu’encore une fois semblant être très pratiques, faciles d’accès parce que c’est 10$ minimum, 100$ minimum, c’est un piège.

C’est un piège parce que quand tu regardes dessus, il y a souvent de très très mauvais projets, et en tout cas des projets qui sont selon moi très peu intéressants.

Alors, attention, je ne dis pas que tout est mauvais. Mais honnêtement, il y a parfois des bons projets, des belles start-ups, et même de très très belles start-ups qui sont passées par des plateformes publiques pour lever des fonds.

Mais dans la majorité des cas, c’est éclaté au sol – excuse-moi le terme.

Il n’y a qu’une seule raison qui peut faire en sorte qu’une start-up va lever des fonds sur une plateforme publique, c’est quand elle cherche à faire une opération de marketing, une opération de visibilité auprès du grand public en « impliquant » les particuliers dans la levée de fonds.

Et souvent, ce sont des start-ups qui ont déjà un stade avancé de maturité, qui valent déjà plusieurs centaines de millions de dollars, voire plusieurs milliards de dollars et qui se disent : « Okay, on a levé des fonds, on a de la traction, on a de la maturité, on commence à l’acquérir, on fait de l’argent, on a une place sur le marché, et on va impliquer le public, le particulier, pour que cette opération soit médiatisée et que les particuliers se sentent impliqués dans notre produit, dans notre service. »

« Et voilà, on renforce l’engagement, la fidélité, et notre place sur le marché. On se fait connaitre encore plus. » Mais là, il n’y a plus besoin de séduire. C’est-à-dire que quand tu as une valorisation de plusieurs centaines de millions, voire de milliards de dollars, tu as déjà séduit beaucoup d’investisseurs, et souvent, on toque à ta porte tous les jours en te disant : « Est-ce que vous voulez des fonds ? Est-ce qu’on peut vous aider ? Est-ce qu’on peut vous accompagner ? » Okay ?

Là, c’est tout à fait un autre scénario. Mais pour les jeunes start-ups qui débutent et qui ont besoin de faire leur première levée de fonds, c’est une hérésie totale de passer par une plateforme publique.

Donc ça, il faut bien comprendre ça. Ne tombez pas dans le piège encore une fois de se dire : « C’est facile, c’est pratique, il n’y a pas de galère, c’est simple » etc. Encore une fois, quand c’est trop simple, quand c’est trop faible, quand c’est trop gratuit, il y a un piège derrière.

Comme je le dis toujours avec les courtiers en Bourse qui sont gratuits avec zéro frais – on en parlait encore une fois dans le Mastermind où j’ai participé ici au Maroc, à Marrakech, je disais à tous les membres : « Attention ! Ces courtiers gratuits ne sont pas gratuits. »

C’est-à-dire qu’il y a un moment, un courtier en Bourse, c’est une entreprise commerciale qui a un but de gagner de l’argent. Donc si elle vous dit que le passage d’ordre est gratuit, c’est que quelque part ailleurs, elle va gagner de l’argent. Et c’est souvent sur ce qu’on appelle le « spread », entre le cours de l’action à l’achat et à la vente.

Et ça, c’est invisible, et ça vous fait perdre de l’argent. Et à la fin, vous payez plus que quelqu’un qui a tout simplement payé un frais de passage d’ordre. Mais bref, là, ce n’est pas le sujet.

Donc faites attention en tout cas à ces plateformes publiques. Egalement, ce qu’on voit sur les plateformes publiques pour les start-ups, c’est des choses très tristes. C’est par exemple comme le fait qu’une start-up va offrir des cadeaux à ses investisseurs.

Donc je le répète. Une start-up est une entreprise immature qui ne gagne pas ou peu d’argent, qui a besoin d’argent, je répète, qui a besoin d’argent, qui va aller chercher des investisseurs pour lever des fonds et se développer.

Et la start-up se retrouve dans l’obligation d’offrir des cadeaux à ses investisseurs pour les séduire. Donc on voit parfois : « Voilà, tu as investi 500$, on t’offre un pack de ceci, tu investis 1000$, on t’offre un pack de ci + on met ton nom quelque part. Tu as investi 2000$, on t’offre le pack premium + on fait ci. » Etc.

Et plus tu vas donner d’argent à la start-up, et plus elle va t’offrir des packages, des cadeaux pour te remercier d’avoir investi dans l’entreprise. Et ça, c’est totalement WTF et pas normal, parce que la start-up se retrouve à avoir des engagements envers ceux qui sont censés la soutenir, et faire en sorte qu’elle se développe.

Donc ce n’est pas normal. Ce n’est pas bon. Tu ne dois rien attendre de la part de la start-up si ce n’est qu’elle te fasse gagner de l’argent au moment où elle va être introduite en Bourse ou se faire racheter par une autre boite, etc.

Tu ne dois pas te dire : « Ah ouais, c’est cool. Elle va m’offrir un an d’accès à son service. Elle va m’envoyer chez moi un pack de je ne sais pas quoi. » Etc.

Non, ça ne doit pas marcher comme ça. Tu n’investis pas dans une start-up pour recevoir des cadeaux. Dans ce cas-là, je ne comprends pas. Moi, ça me paraît bizarre.

Donc tout ça, en fait, ça va être des warnings, des signaux d’alarme qui doivent te faire dire : « Non, ce n’est pas normal, ce n’est pas bon, ce n’est pas okay. »

Donc c’est pour ça qu’en fait, toutes les bonnes affaires encore une fois ne sont pas appelées des bonnes affaires puisqu’on ne sait jamais ce que va donner une entreprise, une start-up. Tous les bons projets, tous les projets à fort potentiel, ne sont pas sur les plateformes publiques, mais sont en off-market.

Comme en immobilier, les meilleures affaires sont en off-market. Ce n’est pas avec le private equity, crois-moi, que toutes les start-ups qui sont intéressantes sont très rapidement identifiées, et on vient toquer à leur porte, on leur donne beaucoup d’argent, et même beaucoup trop d’argent ; elles doivent choisir.

Beaucoup des levées de fonds avec lesquelles j’ai participé régulièrement, je suis proratisé. C’est-à-dire que la start-up a levé trop de fonds, et elle doit proratiser tous ses investisseurs.

Tu veux investir 10.000$, à la fin tu n’investis plus que 9.000$ par exemple, parce qu’il y a eu trop d’argent. Donc la start-up a eu le luxe de choisir ses investisseurs, de choisir le montant qu’elle voulait lever. Et c’est comme ça que ça se passe pour les très bons projets. Okay ?

Donc moi, personnellement, je fais partie de tout un tas de syndicats, aux Etats-Unis, en Inde, à Singapour, en Indonésie etc. qui m’envoient régulièrement du deal flow qui a été trié en interne. Et ensuite, libre à moi d’aller lire les pitch decks, les mémos, et d’aller investir ou non dans ces boites, mais ça ne sort de plateformes publiques.

Les start-ups dans lesquelles j’investis ne sont pas sur les plateformes publiques parce que encore une fois, il y a une différence de qualité.

Dans les levées de fonds dans lesquelles je participe, il y a des chartes de confidentialité. Il ne faut rien partager. C’est secret. Voilà, il ne faut rien dire.

Et c’est pareil dans mon club d’investissement. Quand je te partage mes levées de fonds des start-ups dans lesquelles j’investis, je te fais signer à l’entrée de mon club, un document, un pacte d’engagement qui te dit très clairement : « Attention, les informations que tu vas recevoir sont confidentielles. Et si tu ne respectes pas cette confidentialité, c’est évidemment, un bannissement immédiat et sans négociation du club. »

Parce qu’encore une fois, on parle de choses importantes. C’est-à-dire que ce n’est pas une entreprise cotée en Bourse ici. L’entreprise cotée en Bourse, c’est très transparent. Elle peut tout dire. C’est même normal.

C’est une obligation pour elle de publier ses comptes chaque trimestre. Là, on parle d’une société privée qui a des concurrents, qui a tout à faire et qui doit se protéger.

Donc évidemment qu’il y a des chartes de confidentialité, et c’est extrêmement important.

Donc voilà les amis. Comme tu l’as peut-être plus ou moins compris, j’ai donc un club d’investissement dans lequel je te partage toutes les levées de fonds dans lesquelles j’investis, qui ne sont pas présentes sur les plateformes publiques.

Ça se passe dans la barre de description, où tu tapes dans ton navigateur Clubmillionnaire.vc, et tu auras accès à la présentation de mon club d’investisseurs, et la possibilité de réserver avec moi un petit appel pour qu’on puisse en parler, puisqu’évidemment, je n’accepte pas tout le monde dans ce club.

Je veux m’assurer que tu aies compris pas mal des points très importants du milieu du private equity et des start-ups.

Bref, tout est expliqué sur la page de présentation. Donc pas de stress, tu l’as bien en complet, et si c’est quelque chose qui t’intéresse d’investir dans les start-ups tel que je le fais, et d’avoir accès à mes opportunités d’investissements, c’est avec un grand plaisir potentiellement de te compter parmi les membres.

Partage cette vidéo à tes amis qui sont investisseurs, qui peut-être eux passent déjà par des plateformes publiques. Mets-les bien en garde sur les tenants et les aboutissants.

Pose-moi tes questions dans la barre de commentaires ci-dessous. Lis bien la barre de description. Abonne-toi à la chaîne YouTube. Un petit Like comme d’habitude.

Et je te dis à très très vite pour une prochaine vidéo. Ciao ciao !

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