J’investis dans une fintech américaine (investissement n°3)

Je te parle dans cette vidéo du dernier investissement que j’ai réalisé dans une nouvelle start-up américaine !

Il s’agit d’une fintech qui s’attaque au marché bancaire et au marché des néo-banques encore très peu développé aux Etats-Unis !

Ces deals me sont apportés par un partenaire expert concernant le sujet des start-ups qui va chercher ces deals directement dans la Silicon Valley.

J’ai réalisé une vidéo de presque 40 minutes avec Gabriel où on parle de son parcours et de son expertise dans les start-up : https://www.youtube.com/watch?v=I2JMx…

Gabriel sera intervenant à mon prochain séminaire à Genève le 5 Décembre 2020, tu peux réserver ta place ici : https://clubmillionnaire.fr/seminaire

Pour rejoindre le club d’investissement de Gabriel et recevoir les meilleures start-up dans lesquelles investir (et donc investir avec moi et Gabriel dans ces projets), c’est par ici que ça se passe :

Club Leonis (pour les + grands) : https://clubmillionnaire.fr/leonis

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En passant par ces liens et en m’envoyant un email à [email protected] avec ton adresse postale, nous t’enverrons en bonus le livre de Gabriel sur les start-ups ainsi que mes 2 livres (sur l’indépendance financière et sur les actions à dividendes).

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J’investis dans une fintech américaine (investissement n°3)

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Retranscription de la vidéo :

Yes, les amis ! Bienvenus sur cette nouvelle vidéo. Investissement start-up.

Aujourd’hui encore, tu vas te dire : « Ouais, 2 investissements start-up en 3 semaines ». Tu sais, comme ça, les opportunités, ça arrive et je vais t’en parler aujourd’hui.

Encore une fois, je vais te dire quelle est la start-up dans la laquelle j’ai investi. Je vais te dire le nom, je vais te dire tout ce qu’elle fait.

Et à la fin de cette vidéo, je répondrai à quelques questions que vous m’avez posé sur Instagram où je vous demandais qu’est-ce que vous souhaiteriez savoir sur les start-ups.

Bon voilà, ce n’est pas du tout mon sujet d’expertise, comme je te dis dans la précédente vidéo. Je m’entoure de gens qui ont cette expertise et qui m’envoient, du coup, des deals de start-ups qu’ils ont déjà pré-étudiées et pré-analysées.

Et ensuite, moi je dis : « Oui ou non, je vais participer à cette levée de fonds ». Mais voilà, en tout cas, ils m’ont envoyé une nouvelle proposition d’investissement dans une start-up, une levée de fonds.

Donc, encore une fois, c’est une start-up américaine de la Silicon Valley parce que tout simplement, comme je te le disais, c’est aux Etats-Unis, malheureusement ou heureusement, je ne sais pas comment le dire, qu’on trouve les meilleures start-ups, celles qui ont le plus de potentiel.

Elles ont de meilleures écosystèmes, on va dire. Encore une fois, cette start-up, elle sort d’un incubateur, le Y Combinator d’où est sorti par exemple Airbnb, Twitch, Stripe, Dropbox.

Bref, il y en a plusieurs, des noms que tu connais très certainement. Et donc, cet incubateur est très, très sympa.

Donc, quelle est la start-up ? Je ne vais pas perdre plus de temps, je vais te le dire tout de suite, elle s’appelle Oxygen, comme en français sauf qu’il n’y a pas de « e ». Donc, c’est un terme américain.Qu’est-ce qu’elle fait cette start-up ? C’est qu’elle s’adresse directement aux néo-banques.

Donc, c’est-à-dire que toi en Europe, en France, tu dois certainement connaître, tu es peut-être même client tout comme moi de produits de banques comme N26, Revolut, Transferwise, Qonto peut-être. Bref, la totale, etc.

Ce sont les néo-banques, les mobile banking comme on les appelle et tu le sais tout comme moi, elles sont très, très pratiques parce que tu ouvres le compte en 5 à 10 minutes sur une application téléphone.

Tu n’as pas besoin d’avoir quelqu’un au téléphone, tu n’as pas besoin de galérer. Tu as des IBAN en multi devises ; tu peux aller à l’étranger et dépenser dans des devises étrangères à moindre coût.

Bref, ça simplifie la vie à tout le monde quand on voit comment les banques traditionnelles sont des dinosaures.

Donc, encore une fois, tu l’as compris du coup, c’est une fintech, encore une application finalement à laquelle j’ai participé en termes de levée de fonds. Et donc c’est une fintech, une application, une banque.

Donc, qu’est-ce qui se passe aux Etats-Unis au niveau des néo-banques ? C’est ce qu’il faut regarder finalement, c’est qu’il faut savoir qu’en Europe, pour le coup, on est en avance.

C’est-à-dire qu’en Europe, on a une longueur d’avance sur tout ce qui est néo-banque. Et aux Etats-Unis, j’ai envie de dire que c’est encore un peu le far west.

Je t’en avais parlé lors de la précédente vidéo que j’ai fait sur la précédente start-up où je te disais qu’ils étaient prêts à payer jusqu’à 18% de taux d’intérêts sur des microcrédits qu’ils faisaient. Et bien, ce n’est pas un hasard.

C’est que c’est vraiment encore le far west en termes bancaires aux Etats-Unis. Et donc, du coup, Oxygen s’attaque aux marchés des néo-banques aux Etats-Unis et a pour vocation, et a pour ambition de devenir le Qonto finalement qu’on connait tous, nous, en France.

Peut-être que tu connais, peut-être que tu ne connais pas. Bref, c’est vraiment une banque qui est dédiée aux entrepreneurs, on va dire.

Et du coup, Oxygen, son marché cible, ça va être les freelances. C’est-à-dire que les freelances aujourd’hui, c’est un marché qui, d’après l’étude de marché de Oxygen, est un marché qui est vraiment très, très mal servi par le milieu bancaire/

C’est un marché où c’est très difficile d’avoir accès à des comptes bancaires et avoir accès à des crédits. Tu es peut-être freelance. Un freelance, c’est quoi ?

C’est artiste, c’est musicien, ça va être copywriter, ça va être les agents immobiliers à leurs comptes, ça peut être plein de métiers, tu vois ? Il y a vraiment beaucoup, beaucoup de freelances aujourd’hui. Le digital nomad par exemple, ça en fait partie.

Donc, le problème, c’est que pour rassurer les banques sur ta situation quand chaque mois, tu ne touches pas la même somme d’argent,c’est un peu compliqué. C’est un peu le problème d’être entrepreneur, c’est que tu es ton propre patron mais dès que tu as besoin un petit peu des banques pour des crédits, des microcrédits ou des choses comme ça, eh bien, c’est compliqué.

Donc, la continuité que la précédente start-up que je t’ai présentée dans laquelle j’ai investi il y a quelque temps, il y a quelques semaines, cette application également, cette néo-banque, te permettra également, en tant que freelance, de finalement construire également un credit score.

S tu ne le sais pas encore, aux Etats-Unis, tu as besoin d’un credit score. Tu es noté sur ta capacité à rembourser tes emprunts pour pouvoir faire des emprunts. C’est magnifique.

Donc, voilà c’est quoi le cœur du business de Oxygen. Et donc, c’est vraiment comme les N26, etc, concernant les cartes bancaires qui sont très, très sympa. Une application qui est très, très simple avec une facilité d’utilisation.

Et comment se rémunère la start-up ? Parce que c’est vraiment le plus important quand on pense à investir dans une start-up, c’est comment la start-up gagne de l’argent. Et l’objectif, avant d’investir dans une levée de fonds selon moi, c’est vraiment investir dans une start-up qui gagne déjà de l’argent.

On ne veut vraiment pas faire le pari d’une entreprise qui a une idée mais qui ne l’a pas encore appliquée. Moi, je veux vraiment investir dans des entreprises, des start-ups qui m’ont déjà prouvé qu’elles savent gagner de l’argent et qu’elles en ont déjà gagné.

Donc, c’est vraiment une start-up qui n’est pas au stade d’idée. Comme toutes les start-ups dans lesquelles j’ai investi, elles ont déjà gagné de l’argent, etc. Mais elles ont tout simplement besoin d’un coup de pouce, d’argent supplémentaire pour financer la croissance et pour aller chercher de nouveaux clients, etc.

Donc, le marché, il est purement américain. Et comment se rémunère la start-up ? Eh bien, classiquement, sur toutes les transactions bancaires.

Tu le sais tout comme moi, ou si ça se trouve, tu ne le sais même pas, ce n’est pas très connu finalement. A chaque fois que tu paies, les Visa et les Mastercard prennent un petit pourcentage.

Je laisse passer parce qu’il y a la police juste devant moi et qu’il faut être très, très poli. Voilà, tout va bien se passer, super !

Donc, Visa, Mastercard, à chaque fois que tu paies une CB, tu paies, tu fais gagner de l’argent à Visa et Mastercard en fait, si tu ne le savais pas.

Et en fait, le commerçant va intégrer directement dans leur prix le coût de cette commission que eux vont devoir reverser à Visa et Mastercard pour l’utilisation d’un terminal de paiement avec une CB.

Donc, bref, Oxygen, c’est pareil. A chaque fois qu’on va se servir de la carte bancaire qui est en partenariat avec Visa, il faut savoir qu’il faut déjà avoir l’intégration avec Visa, c’est quelque chose qui n’est pas forcément facile à avoir.

Et toutes les entreprises qui ont des partenariats avec Visa, ce sont des entreprises qui ont des valorisations à plusieurs centaines de millions de dollars, des milliards de dollars. Donc, c’est déjà un très, très bon signe également qu’Oxygen ait pu obtenir ce partenariat avec Visa.

Mais bref, il y a cette première rémunération. La dernière rémunération, c’est avoir accès à des fonctionnalités supplémentaires en payant tous les mois un petit montant.

Tu le sais tout comme moi également sur les néo-banques, tu peux payer 5, 10, 15, 20 dollars par mois et tu auras accès à des fonctionnalités supplémentaires. Donc, ça, c’est également une façon de se rémunérer.

Et il y en a une troisième qui est la mise en place de microcrédits encore une fois basés sur ton profil etc.

Parce qu’ils vont récupérer de la data financière, finalement, sur les clients qui vont permettre de proposer des microcrédits avec, tu t’en doutes bien, des taux d’intérêt qui vont cette fois-ci à 18% et quelques, pas comme l’ancienne start-up avec laquelle j’ai participé en terme de levée de fonds.

Là, on va vraiment rester sur les traditionnels taux bancaires américains donc les à peu près 18% ou je ne sais pas combien ils ont prévu précisément de faire mais c’est en tout cas l’idée.

Donc, il y a 3 façons de gagner de l’argent et tu sais tout comme moi que les banques, elles ont la possibilité de gagner beaucoup d’argent.

Donc, rapidement, si on fait rapidement, tu sais, la reprise des 5 points très importants, le NCEST.

Donc, le N, le Need, le besoin, est-ce qu’il y a un besoin ? Bien évidemment, le besoin des néo-banques aujourd’hui quand on voit comment fonctionnent les banques traditionnelles aujourd’hui, on veut tous des néo-banques.

Dis-moi dans les commentaires, d’ailleurs, si tu as une néo-banque et laquelle c’est ? Je serais très curieux de savoir dans quelle banque tu es et pourquoi ?

Dis-moi pourquoi. Ça m’intéresse vraiment beaucoup. Mais il y a vraiment un besoin. Le marché bancaire aujourd’hui, il est en perte de vitesse au profit des néo-banques et des mobile banking, donc il y a un gros besoin.

Est-ce que la barrière à l’entrée est difficile ? Bien évidemment. Alors, ce n’est pas une banque comme ça du jour au lendemain. Il y a peu, très peu de concurrents aujourd’hui aux Etats-Unis sur les néo-banques, bien que N26, Revolut, etc, veulent s’implémenter aux Etats-Unis.

Bien évidemment, elles ont compris qu’il y avait un très, très gros marché là-bas. Mais le problème qu’elles ont, c’est qu’elles se confrontent visiblement à des problèmes de lois fédérales, à des problèmes d’acceptation bancaire.

Bref, ce n’est pas aussi simple pour elles de pénétrer le marché américain que de pénétrer le marché européen qui est déjà plutôt assez bien élargi, tu vois ?

Donc, on pourrait se dire qu’il y a de la concurrence de la part de ces entreprises européennes, les mobiles banking européennes qui veulent aller chercher le marché américain et qui ont déjà commencé aux dépends de Oxygen qui, elle, arrive tout juste sur le marché américain et qui est en train de se développer.

Donc, elle est un petit peu, on va dire « en retard » par rapport aux mobile banking européennes sauf que, sauf que, sauf que l’Amérique étant ce qui est l’Amérique, ils voudraient peut-être potentiellement privilégier une start-up américaine pour déployer le marché américain et pas forcément faire « percer » facilement une start-up, une entreprise européenne.

Tu vois, un petit peu une mentalité américaine : « On veut que les meilleures entreprises soient américaines dans le monde. On a une culture du business donc il faut à tout prix que ce soit une entreprise américaine qui ait les parts de marché sur tout ce qui est mobile banking aux Etats-Unis ». Donc, on peut se dire ça également.

Donc, voilà, la barrière d’entrée, elle est compliquée. Comme je disais, les partenariats avec Visa ; lancer une banque, ce n’est clairement pas quelque chose qui se fait du jour aux lendemains.

Mais pour autant avec une petite concurrence européenne, il faut voir comment ça va se passer. Moi, ça ne m’inquiète pas trop parce que comme je te l’ai dit, je pense qu’honnêtement, l’Amérique est l’Amérique et ils vont vouloir faire en sorte que ce soit bien évidemment une start-up américaine qui ait des parts de marché sur ce gâteau-là. Tu vois ?

Ensuite, le contrôle. Est-ce qu’on peut contrôler tout ce qui se passe ? J’ai envie de dire, on parle de banque, on parle d’argent, on parle de paiement, on parle d’économie.

J’ai envie de dire que demain, je ne vois pas l’économie disparaître, je ne vois pas les paiements avec une CB disparaître, je ne vois pas l’argent disparaitre, je ne vois pas…

Pour moi, il y a un contrôle, je ne vois pas ce qu’on peut faire sur cette start-up Oxygen pour qu’elle disparaisse. Voilà, au pire, elle n’arrive pas à capter des parts de marchés ; au pire, elle n’arrive pas à percer, elle n’arrive pas à se développer, elle fait des mauvais choix stratégiques, l’équipe n’est pas bonne, les choix ne sont pas bons.

Mais voilà, au niveau en tout cas de l’économie et du marché, je pense que clairement, il y a un besoin, il est là, il y a un contrôle. La start-up ne va pas se faire contrôler par un élément externe selon moi.

Scale. Est-ce qu’elle peut scaler? Bien évidemment, ça concerne des millions et des millions et de smillions de personnes. Je crois qu’il y a 60 000 000 de freelances aux Etats-Unis.

Encore une fois, même si son marché cible, ce sont les freelances aux Etats-Unis, il n’y a pas que les freelances qui peuvent être clients, bien évidemment, de cette néo-banque.

En plus, elle a déjà des partenariats avec plein d’autres sites qui, tu sais, regroupent des freelances, etc. Tu sais, il y a des sites comme ça, communautaires. Et elle a déjà des partenariats, cette start-up, avec ces sites.

Ça leur permet de lui envoyer des clients. Donc, elle a déjà une base de prospects, de clients potentiels qu’elle peut aller chercher assez facilement.

Et, est-ce qu’on peut déléguer facilement ? Le time, le T ? Oui, oui, encore une fois, c’est très, très simple. Il n’y a pas besoin forcément d’énormément d’employés sur ce genre de business.

C’est une application, tout se fait en ligne, elle a « juste besoin » de maintenance technique sur l’application etc, etc, d’ingénieurs. Mais voilà, ce ne sont pas des entreprises traditionnelles où il faut énormément de masse salariale et quelque chose comme ça.

Bref, il y a tous les ingrédients qui font qu’encore une fois, c’est de la fintech, c’est l’internet, c’est de la technologie. Et on peut aller chercher vraiment de grosses, grosses valorisations.

En tout cas, la levée de fonds s’est fait sur une base de valorisation, une pré-levée de fonds je crois à 15 000 000, une levée 5 000 000, donc du coup une post valorisation après levée de fonds à 20 000 000.

Donc, clairement, tu vois, c’est une start-up qui clairement va valoir 1 000 000 000, devient une licorne comme on dit. Tout ce qui est bancaire, clairement, en dessous de 1 000 000 000, si elle réussit, ça n’existe pas. C’est tout de suite des milliards.

Donc, clairement, le ROI là-dessus peut être également insolent. Voilà, voilà.

Je me suis arrêté 2 minutes pour tricher sur l’ordinateur pour être sûr de t’avoir tout dit. Donc voilà, la valorisation pré-levée de fonds, finalement, elle était donc de 20 000 000 de dollars avec une levée de fonds de 5 000 000. Donc après, la levée de fonds sera à 25 000 000 de dollars.

Ce que je ne t’ai pas dit également, c’est qu’Oxygen permet d’ouvrir des comptes pour les particuliers mais également pour les professionnels avec accompagnement total pour la création d’une LLC, si besoin.

Donc, c’est vraiment une offre dédiée vraiment aux freelances qui, je ne te l’ai pas dit non plus, sont un segment pourtant un revenu plus élevé que la moyenne.

Tu vois, même s’il y a des incertitudes vis-à-vis de leurs revenus mois après mois et que ça ne rassure pas forcément les banques traditionnelles, pourtant c’est un segment qui représente bien beaucoup de personnes et avec des revenus plus élevés que la moyenne.

Donc, ça, c’est bien sympa. Et je ne t’ai pas dit également mais l’objectif ici, c’est clairement un exit avec un rachat potentiel soit par une banque soit par directement Visa, Mastercard, Bank of America, Wells Fargo, Stripe, PayPal, toutes les bancaires et les assimilés, on va dire, du secteur financier et pourquoi pas une introduction en Bourse.

Je ne sais pas ce que fait le bus là. Je suis à l’arrêt, je veux le doubler de façon insolente.Je vais même me mettre là pour répondre à tes petites questions après vue sur mer, nickel !

Voilà, ce sont les possibilités, en sachant que Oxygen a déjà reçu des propositions visiblement de rachat qu’ils ont bien évidemment refusés parce qu’ils sont très, très conscients du potentiel de croissance qu’ils peuvent avoir et donc ça, c’est plutôt bon signe.

Et également, comment l’investissement ? Ça se fait via une holding encore une fois américaine. Donc, on crée une holding aux Etats-Unis qui, elle, sera actionnaire unique de la start-up plutôt que d’avoir 5 000 lignes pour la start-up, ce qui serait vraiment compliquée pour elle.

Alors, par contre, le chemin, il est vraiment chaotique. Attention ! Voilà, voilà. Okay ?

Maintenant, je réponds à tes petites questions, je vais prendre le téléphone. Du coup, du coup, dis-moi dans les commentaires ci-dessous ce que tu penses de cette start-up. Est-ce que tu la juges intéressante ?

Est-ce que tu penses qu’elle a clairement les moyens de se développer ? Est-ce que c’est un bon projet ou pas selon toi ? Dis-moi les « points forts et les points faibles », les objections que tu pourrais avoir, ça m’intéresse vraiment de savoir.

De toute façon, je te mettrai le lien de la start-up directement comme ça, tu pourras aller voir dans la barre de description. Et je vais répondre à tes petites questions pour terminer cette vidéo.

Donc, alors, quel site utilises-tu pour investir dans les start-ups ? Je ne passe pas par les sites. Souvent, vous me parlez de plateformes où on peut mettre des billets dans des start-ups.

Il faut savoir que les plateformes généralement, ce sont un petit peu les start-ups qui n’ont justement pas réussi à avoir des fonds autrement que par les plateformes.

C’est un petit peu le dernier recours et souvent donc, ce n’est pas forcément les meilleurs start-ups parce que les meilleures start-ups, elles sortent d’incubateurs et elles arrivent à faire des levées de fonds sans aller sur les plateformes.

Donc, moi, je passe par l’intermédiaire qui s’appelle Gabriel Jarrosson de Leonis Investissement. Je te mettrai dans la barre de description également qui, en fait, a un club, Leonis Investissement dans lequel il partage à ses membres les opportunités.

Il faut savoir qu’il va directement dans la Silicon Valley, il va rencontrer les fondateurs, il va directement sur place, bref, c’est son business, c’est son milieu. Il connait par cœur les start-ups. C’est vraiment son dada, c’est là où il est balaise à fonds.

Et encore une fois, moi, je ne suis pas un pro dans les start-ups donc je ne vais pas m’inventer une vie en tant qu’investisseur start-up, si je ne sais pas parfaitement comment en analyser une parce qu’on n’analyse pas une entreprise cotée comme on analyse une start-up.

Donc, je m’entoure de gens qui sont experts en leurs sujets et c’est lui, donc, qui m’envoie des e-mails avec des propositions d’investissement suite à des levées de fonds qui sont en train de se faire sur des start-ups.

Et je dis oui ou je dis non et je mets des billets ou je ne mets pas des billets. Donc, tu peux faire partie de son club Leonis Investissement et recevoir ses div.

Je te mettrai tout dans la barre de description et encore une fois, il y a une petite opération d’affiliés, d’affiliation pardon, si tu passes par ce lien, on te fera des petits cadeaux. Donc, voilà !

Pourquoi tu investis là-dedans ? Tu vois quoi à long terme ? Clairement un exit parce que je crois clairement au potentiel.

Sur la base de quels indicateurs ou ratio financier tu te bases pour prendre ta décision ? Alors, je ne t’ai pas parlé des chiffres qui me sont communiqués directement par Leonis Investissement sur la start-up parce que ce sont des chiffres très récents et tu sais qu’une start-up, ça évolue de mois en mois, même de semaine en semaine.

Et également, les chiffres que Gabriel va me donner, ça va être la performance ou l’évolution mois après mois, semaine après semaine. Donc je te dis tout de suite, dans une semaine, c’est différent la croissance.

Bref, voilà, il m’envoie quelques chiffres, je les regarde mais clairement, ce n’est pas là où je vais le plus regarder finalement.

Je crois vraiment plus en l’idée et en l’équipe que les chiffres actuels parce que clairement, des fois les start-ups qu’on m’envoie font moins de chiffres d’affaire par mois que ce que je fais moi actuellement.

Donc, tu vois, c’est clairement des bébés entreprises parfois et je ne peux pas forcément me baser sur des indicateurs ou des ratios financiers parce que ça bouge trop vite les chiffres et donc les indicateurs et les ratios financiers bougeraient beaucoup trop vite.

Ce n’est pas comme une entreprise cotée où les chiffres sont assez stables, on sait plus ou moins ce qui va être généré chaque année, on sait plus ou moins le potentiel de croissance, les pourcentages, etc, et ça bouge beaucoup moins.

Donc, l’idée, c’est clairement croire en l’idée, croire en l’équipe, croire au potentiel, voir quelque chose et puis mettre des billets et encore une fois, faire un exit dans quelques mois, quelques années, ça dépend encore une fois des propositions de rachat et du développement, de l’économie, etc, etc. Et voilà !

Donc, quel KPI je regarde ? Je ne regarde pas du coup. Clairement, je délègue ma confiance à un expert. En fait, finalement Gabriel Jarrosson, et je ne vais pas m’embêter à faire toute une recherche.

Je regarde rapidement ce que fait l’entreprise, je regarde quelques chiffres mais je suis loin d’y passer le temps que je peux y passer quand je sélectionne les actions en Bourse par exemple.

Quoi d’autre, quoi d’autre ? Pourquoi et combien investir dans une start-up ? Pourquoi ? Pour investir ton argent et potentiellement faire un exit, tout simplement. Encore une fois, tu détiens des parts de l’entreprise.

Donc, c’est toujours très, très sympa d’être actionnaire d’une entreprise. C’est comme ça que les riches s’enrichissent toujours plus.

Et combien investir dans une start-up ? C’est comme tu veux ! Il y a certaines plateformes, il y a certains clubs qui vont proposer un minimum parce que sinon ce n’est pas intéressant. Et puis, sinon, la limite, elle est infinie.

Avec Gabriel, je crois que le minimum, minimum, c’est 2000 ou 5 000 €, je ne suis pas sûr mais c’est quelque chose comme ça.

Donc, on ne va pas dire que c’est inaccessible mais en tout cas, je pense que c’est bien loin de certains clubs de business angel très traditionnels où avant, il fallait plutôt mettre 10, 15, 20, 30, 50 000, je ne sais pas mais de plus grosses sommes encore une fois.

Grâce à Internet, on peut avoir accès à des propositions d’investissement à moindre coût en tout cas avec des sommes d’investissement ou des capitaux encore plus faibles.

En Bourse, il y a les dividendes. En start-up, il y a quoi ? Eh bien, il y a un exit. Il ne faut pas investir dans les start-ups pour espérer avoir des dividendes. Elles n’ont pas le temps de te donner des dividendes, les start-ups.

Elles vont réinvestir tous les bénéfices dans leur croissance. Le but est de faire une très, très grosse croissance et de faire un exit. Donc, voilà.

C’est à peu près les questions que j’avais parce qu’en fait, c’était toujours les mêmes questions: quels indicateurs je regarde, pourquoi investir dans les start-ups et via quel site je passe ou quel ROI j’espère.

Le ROI que j’espère, je n’en sais rien. Encore une fois, ça dépend de beaucoup, beaucoup trop de choses.

Mais c’est simple, si aujourd’hui, je ne sais pas, tu peux faire des maths rapides, si tu investis 10 000 € et qu’aujourd’hui, la start-up, elle vaut 1 000 000 d’euros, tu fais un produit en croix pour savoir combien tu gagnerais si demain elle vaut 1 000 000 000 d’euros et que ça devient une icône, tu vois ?

Je n’ai pas envie de faire les calculs en tête parce que là, je vais faire une bêtise et tu vas dire que je ne sais pas compter mais l’idée, elle est là en tout cas.

Bref, dis-moi ce que tu en as pensé en tout cas de cette start-up, de cette vidéo. Est-ce que ça te plaît ce genre de vidéo dans la voiture où je te parle de start-up et d’autre chose que de la Bourse ou l’immobilier etc.

Et en tout cas, je pourrais te le refaire avec grand plaisir. Petit pouce bleu, petit commentaire ci-dessous ; abonne-toi à la chaîne YouTube, ça fait toujours plaisir, ça me motive à faire de nouvelles vidéos et moi, je te dis à très, très vite.

Ciao, ciao !

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