Comment RETIRER les BENEFICES de ses CRYPTOS ?

Salut à tous,

On parle beaucoup des gros bénéfices qu’il est possible de réaliser dans les crypto-monnaies mais on parle que trop peu de comment RETIRER les bénéfices de ses cryptos ? Car c’est bien de générer de la plus-value mais encore faut-il voir une porte de sortie optimale qui va nous permettre de décaisser, de cash-out, de tirer son cash !

Dans cette vidéo, c’est exactement ce que nous voyons avec Jean-Marie, investisseur en crypto-monnaie et expatrié à Tallinn, en Estonie !

Bon visionnage !

Concernant notre offre irrésistible : https://www.clubmillionnaire.fr/jeunes-loups

Comment RETIRER les BENEFICES de ses CRYPTOS ?

livre-des-bancs-de-la-fac-a-lindependance-financiere

Retranscription de la vidéo :

Raphaël Carteni : Salut à tous. Bienvenue sur cette nouvelle vidéo dans laquelle on va parler de comment cash out ses bénéfices dans les cryptomonnaies. Comment faire en sorte que si on a 100000, 500000, 1000000€ de bénéfices à retirer des cryptomonnaies, comment faire pour les retirer concrètement sur votre compte en banque ? Donc avant qu’on ne commence cette vidéo comme d’habitude, clique bien sur le bouton « S’abonner » ci-dessous pour que tu puisses recevoir en avant-première toutes les prochaines vidéos, et lis bien la barre de description puisque j’ai un petit cadeau pour toi. Il s’agit d’un pack de bienvenue au contenu 100% secret. Je ne t’en dis pas plus. C’est dans la barre de description. Jean-Marie, salut.

Jean-Marie : Salut Raph.

Raphaël Carteni : Comment tu vas ?

Jean-Marie : Très bien.

Raphaël Carteni : Très bien ? C’est super tout ça. Est-ce que tu peux te présenter ? Tu es investisseur en cryptomonnaies. Est-ce que tu peux nous dire qui tu es, quel âge tu as et ce que tu fais dans la vie ?

Jean-Marie : Exactement. Je suis Jean-Marie, 27 ans, fraîchement arrivé à Tallinn en Estonie. J’habitais à New York avant, pendant 2 ans. J’étais ingénieur informatique.

Raphaël Carteni : Okay.

Jean-Marie : Et j’ai décidé de me lancer à fond dans les cryptos parce que c’est ma passion et j’ai décidé d’en faire mon métier.

Raphaël Carteni : Okay.

Jean-Marie : Et la suite en a découlé. La personne avec qui je travaillais était aussi passionnée. Et on a monté notre chaîne YouTube. Et on vit de ça maintenant.

Raphaël Carteni : Okay. Donc Jean-Marie et son associé sont des investisseurs en cryptomonnaies. Aujourd’hui, on va voir avec Jean-Marie quelques solutions, quelques pistes pour pouvoir cash out ses bénéfices puisque c’est bien d’investir dans les cryptomonnaies, c’est bien de faire des bénéfices, mais c’est quand même bien aussi de pouvoir retirer ses bénéfices.

Jean-Marie : Retirer son argent ?

Raphaël Carteni : Donc Jean-Marie, comment on fait déjà… Peut-être qu’on pourrait se concentrer sur la France. Est-ce que c’est intéressant d’investir via le pays qu’est la France et de payer sa fiscalité en France ? Déjà, est-ce qu’il y a une fiscalité en France ?

Jean-Marie : Il y a une fiscalité en France.

Raphaël Carteni : Ah ! Très bien.

Jean-Marie : Ça aurait été un petit peu étonnant de la part de la France, je pense.

Raphaël Carteni : Oui, c’est clair.

Jean-Marie : Jusqu’à très récemment, jusque fin avril 2017, il y avait une fiscalité sur les cryptos assez énorme.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Et certaines personnes étaient taxées jusqu’à 60%.

Raphaël Carteni : Sur les bénéfices ?

Jean-Marie : Sur la plus-value simplement, mais on va dire que si vous faisiez une plus-value de 1 million d’euros, vous donniez 620000€ à l’Etat.

Raphaël Carteni : Donc ça pique.

Jean-Marie : Ça pique beaucoup.

Raphaël Carteni : Pour un pays qui n’était même pas très friand des cryptomonnaies, il y a encore de ça quelques mois, qui crachait un peu dessus.

Jean-Marie : Exactement. C’est bien que tu mentionnes ça, parce qu’ils étaient complètement contre les cryptos, et grâce un peu à Christine Lagarde qui est présidente du Fonds Monétaire International,

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Qui est plus orientée cryptos, grâce aussi à Bruno Lemaire, ils ont quand même mis ça sur la table,

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Ils étaient totalement contre

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Et puis, hop, ils ont opéré un changement et ils se sont dit : « Maintenant, on veut être le nouveau hub des ICO, on veut propulser la blockchain ».

Raphaël Carteni : La France ?

Jean-Marie : La France, oui.

Raphaël Carteni : Le nouveau hub des ICO ?

Jean-Marie : Hub, c’est peut-être un petit peu emphasé, mais…

Raphaël Carteni : Mais ils ont des volontés…

Jean-Marie : Mais ils veulent vraiment… Par exemple, ils ont dit qu’ils voulaient suivre les recommandations de l’AMF

Raphaël Carteni : Okay.

Jean-Marie : Plutôt que celles de la SEC, donc les Américains.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Et les Américains sont beaucoup plus stricts que l’AMF, donc c’est vraiment encourageant au niveau des cryptos. Et ils l’ont montré pour la fiscalité donc en fin avril en modifiant la fiscalité et en la passant à environ 30%.

Raphaël Carteni : Okay. Donc c’était l’application, je crois, d’un taux fixe ?

Jean-Marie : Exactement.

Raphaël Carteni : Un flat tax, oui, un flat tax, comme on dit.

Jean-Marie : Exactement.

Raphaël Carteni : Plus la classique CSG, CRDS qu’on vient ajouter à cela. On ne peut pas échapper à cette CSG.

Jean-Marie : C’est bien que tu mentionnes ça parce qu’il y a beaucoup de gens qui ont crié « Hourra, hourra ! » et « 19% flat tax, c’est génial ! »

Raphaël Carteni : Oui, c’est magnifique.

Jean-Marie : Sauf qu’en fait, ils se sont bien gardés de dire qu’il y a la CSG qui vient s’appliquer, donc c’est 15,6 pour l’année 2017, et 17,2 ou quelque chose comme ça pour l’année 2018,

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Donc il faut s’attendre à une fiscalité aux alentours de 34-36% pour la France. Voilà.

Ce qui est quand même fois 2 par rapport à 19% de base. Malheureusement, c’est que la CSG en France, sur tous les bénéfices, on ne peut pas y échapper. Elles sont toujours là. Taxes qui, on le rappelle, devaient disparaitre, devaient être provisoires, mais qui ne cessent d’augmenter. Donc jusqu’où ça ira ? On ne sait pas. Mais en tout cas, on doit encore la payer, même sur les cryptomonnaies.

Raphaël Carteni : Donc okay. Peut-être que pour ceux qui nous regardent aujourd’hui, ils se disent : « Okay, la France c’est cool, mais c’est quand même un petit peu partout l’IS, l’IR, tout ça. C’est quand même encore trop. Je ne vais quand même pas payer presque 40% d’impôts sur mes bénéfices sur les cryptomonnaies ». Est-ce qu’il y a d’autres solutions pour payer moins d’impôts ?

Jean-Marie : Alors oui. Alors là, ça va souvent impliquer des changements drastiques dans vos vies.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Il va falloir accepter de déménager, par exemple, surtout partir de l’Europe. C’est le plus gros point.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Si vous voulez rester en Europe, on connait des personnes qui vont à Malte parce qu’il y a actuellement une fiscalité à 0%. On a Binance, donc je ne sais pas si vous connaissez l’exchange.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Ils se sont fait chasser de Hong Kong et ils se sont implantés à Malte. Donc c’est en train de devenir une grosse plateforme.

Raphaël Carteni : Ils ont leur siège à Malte ?

Jean-Marie : Ils ont mis leur siège à Malte. Et donc l’île maltaise est en train de devenir une grosse plateforme cryptomonnaies puisqu’il y a beaucoup d’investisseurs qui viennent là-bas, qui sortent leurs fonds.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Et voilà. Alors, ça, c’est en Europe. Nous, ici, on est localisés en Estonie.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Une fiscalité un peu plus simple parce que là, c’est 16% en flat tax.

Raphaël Carteni : Okay. Donc tous les bénéfices, c’est 16% ? Terminé ?

Jean-Marie : Exactement.

Raphaël Carteni : Pas de CSG ?

Jean-Marie : Oui. Alors, il n’y a pas de CSG. C’est 20% sur les sociétés.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : On peut créer une société, et au-dessus de 40000€, ça va être 20%.

Raphaël Carteni : Donc c’est progressif, c’est une sorte de barème ?

Jean-Marie : Exactement. Mais ça ne va pas au-delà de 20%.

Raphaël Carteni : Okay. Juste pour information, tu sais pourquoi Binance s’est fait chasser de Hong Kong ? C’est surprenant pour Hong Kong quand même qui est une grosse place financière.

Jean-Marie : Je ne me rappelle plus de la raison exacte.

Raphaël Carteni : En tout cas, c’est avéré, ils sont à Malte maintenant. Malte a dû être bien content de ce gros …

Jean-Marie : Malte, ils ont tout compris. Ils ont dit : « Vous avez des sous, nous on est contents ».

Raphaël Carteni : Malte, c’est le carrefour de tous ceux qui font de l’oseille, les jeux, les casinos, les paris sportifs, maintenant les cryptomonnaies. Ils ont compris qu’il fallait attirer les capitaux. Bref. Donc ça, c’est la solution pour rester en Europe, on va dire. Donc il y a des pays plus ou moins accueillants en Europe sur les cryptomonnaies. Je crois qu’il y a des pays aussi tels que la Lituanie qui sont assez intéressants.

Jean-Marie : J’allais le dire.

Raphaël Carteni : Tu allais en parler ?

Jean-Marie : Oui.

Raphaël Carteni : Je ne sais plus quel autre pays, mais il y a des pays comme ça qui ont décidé que c’étaient des revenus exceptionnels, je crois. Je ne sais plus comment ils l’ont dit. Des revenus… Je n’ai plus le terme exact, mais qui n’imposent pas du tout les revenus de cryptomonnaies. En Europe, oui.

Jean-Marie : D’accord. Okay.

Raphaël Carteni : Du coup, en dehors de l’Europe, est-ce qu’il y a la possibilité de faire autre chose ?

Jean-Marie : Il y a des possibilités si vous êtes prêts à bien déménager, à être résident d’un autre pays.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : On sait que l’Australie apparemment n’offrira pas de double taxation, probablement si vous achetez des biens immobiliers en Australie.

Raphaël Carteni : Okay.

Jean-Marie : Il faut vouloir se déplacer. Ce n’est pas à côté, l’Australie.

Raphaël Carteni : Oui, l’Australie, ce n’est pas la porte à côté. En fait, ça veut dire qu’il faut forcément prendre une résidence fiscale qui est autre. Si on est en France, on paie moins d’impôts sur les cryptomonnaies, c’est impossible.

Jean-Marie : Exactement. Il faut aussi vous créer un autre compte sur les plateformes avec soit votre nouveau passeport si vous êtes vraiment allé… Vraiment tout ce qu’il fallait.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Ou alors tout simplement avec votre nouvelle résidence.

Raphaël Carteni : Okay. Donc c’est ce qu’on appelle créer une crypto-offshore. On parle de temps en temps de Dubaï.

Jean-Marie : Exact, oui.

Raphaël Carteni : Des fois, un petit peu des pays d’Amérique Latine, notamment les pays dans lesquels on peut trouver des cartes bancaires pour cash out. Qu’est-ce que tu penses également de ça ? Est-ce que tu penses que c’est quelque chose qui est intéressant ou pas ?

Jean-Marie : Alors, je parle de Dubaï juste une seconde ?

Raphaël Carteni : Oui, Dubaï. Pas de souci.

Jean-Marie : Oui. Pas mal de personnes vont à Dubaï. On sait qu’il y a des possibilités de faire des sociétés imbriquées dans d’autres.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Mais il faut être résident de Dubaï aussi. Donc voilà, il faut être prêt à mettre les moyens.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Pour ce qui est des cartes prépayées, c’est ce que tu veux dire ?

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Alors oui, c’est tout à fait possible. On peut approvisionner votre carte et dépenser des bitcoins ou des ethereums, ou d’autres cryptomonnaies, dans la vie de tous les jours. Maintenant, ce n’est pas pour acheter un appartement.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Ça va vous permettre…

Raphaël Carteni : Utilisation limitée quoi.

Jean-Marie : Une utilisation limitée. Vous allez pouvoir acheter votre café, votre pain facilement, mais pour les plus gros…

Raphaël Carteni : Les plus grosses dépenses ?

Jean-Marie : Exactement. Là, c’est chaud.

Raphaël Carteni : Puisque là, tu as parlé de dépenses en bitcoins, il me semble que ces cartes te proposent même de faire directement la conversion en dollars, en euros, en livres, et de dépenser directement des euros. Vraiment un cash out en devises.

Jean-Marie : Oui. Certaines cartes proposent ça.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Par contre, à terme, normalement, on est censé quand même payer un impôt sur la plus-value, et c’est vrai que normalement, à terme, on peut imaginer que ces entreprises vont redonner soit à l’utilisateur, soit à l’Etat,

Raphaël Carteni : Les informations

Jean-Marie : Les informations et que vous devrez quand même déclarer votre gain sur votre plus-value et payer. Parce qu’ils ne vont pas laisser ça non plus.

Raphaël Carteni : C’est vrai que c’est un trou. C’est vrai que c’est un petit peu la mentalité de « je prends ça et je ne déclare pas »

Jean-Marie : Oui.

Raphaël Carteni : Parce que tu vois, il y a des cartes qui – si je ne dis pas de bêtises – sont au Panama ou au Belize, et où tu n’as même pas besoin de donner ton passeport mais tu es vachement limité. C’est genre 2000-3000€ sur la carte, ou 5000 ou 10000, je n’en sais rien. Des petits montants. Ce n’est pas avec ce genre de solution que tu vas cash out 1 million quoi.

Jean-Marie : Exact.

Raphaël Carteni : C’est vraiment histoire de dire « je prends 5000 ».

Jean-Marie : Ma philosophie, c’est que j’en parle dans l’e-book et dans la formation,  ne faites pas de truc illégal.

Raphaël Carteni : Oui, c’est ça.

Jean-Marie : Je préfère quand même rester dans la légalité.

Raphaël Carteni : Même si les cryptomonnaies ne sont pas régulées, mieux vaut être réglo et construire quelque chose qui sera là sur le long terme, plutôt que d’avoir la mentalité « je prends tout de suite 5 balles et puis je retombe dans 3 mois puisque j’ai fait des bêtises ». Alors que si on fait tout de suite réglo, au moins on a…

Jean-Marie : Il faut penser aussi à la suite parce qu’on sait très bien que pour l’instant, c’est tout nouveau les cryptos. Jusqu’en 2020, donc en 2018, 2019, 2020, ça va être en complète évolution.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Mais il se peut très bien qu’un jour, ils fassent des lois rétroactives et que vous deviez payer

Raphaël Carteni : Ce serait bien pire.

Jean-Marie : Des impôts sur des fonds que vous avez déjà dépensés, et là, ça peut faire mal.

Raphaël Carteni : Exact. Ça ferait mal.

Jean-Marie : Donc prévoyez un petit matelas parce que souvent, on a des gens qui viennent nous voir et qui nous disent : « Mais là, j’ai cash out 10000€ en bitcoins ». Donc si on est en France, ça veut dire qu’il y en aurait 3600 pour l’Etat à peu près. « Mais je les ai déjà dépensés ».

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Et du coup, ils sont un petit peu dans…

Raphaël Carteni : Il y en a beaucoup qui font ça. C’est comme avec les sociétés en France, avec l’IS, ils n’approvisionnent pas l’IS, au moment de payer les acomptes d’IS, les mecs ils ont plus les thunes parce qu’ils n’ont pas approvisionné. C’est le problème des gens qui dépensent vite. En tout cas, Dubaï est intéressant. En plus, Dubaï en tant que résidence fiscale, il me semble que tu n’es pas obligé de rester à l’année, très souvent tu es juste obligé de pointer. Je ne sais pas si tu sais.

Jean-Marie : Je ne connais pas.

Raphaël Carteni : Tu es obligé de venir une ou deux fois par an. Donc ça, c’est vrai que voilà. Si vous aimez beaucoup voyager, si vous avez un business Internet ou si vous vivez de vos cryptomonnaies, c’est intéressant d’être à Dubai pour ne pas payer d’impôts et ne pas être obligé de rester à Dubaï.

 

Okay, donc vous nous retrouvez là en direct avec encore une fois Jean-Marie, mais au Hilton, cette fois-ci. On se buvait un petit café avec Jean-Marie, et on se disait que ce qu’on vous avait proposé à la base à la fin de la vidéo, ce n’était pas suffisant. Je ne sais pas si tu es d’accord avec moi Jean-Marie ?

Jean-Marie : Exact.

Raphaël Carteni : Voilà. On leur avait proposé quoi à la fin ? Classiquement ?

Jean-Marie : La formation « Jeunes Loups » classique : 7 heures de vidéos, 55 vidéos en tout.

Raphaël Carteni : Grosse formation.

Jean-Marie : Oui. Grosse grosse formation. On a décidé d’ajouter des choses.

Raphaël Carteni : Oui. Voilà, puisqu’en fait tout le monde fait ça. Tout le monde fait des interviews, met en avant le programme de la personne qu’on interviewe, c’est classique. Donc on s’est dit : « Pourquoi on ne ferait pas plus différent ? Les gens, ils sont habitués, ils en veulent plus ». Et on voulait vraiment faire ce qu’on appelle une offre irrésistible.

Jean-Marie : Tu disais que les gens étaient là aussi beaucoup pour l’immobilier, sur ta chaîne.

Raphaël Carteni : Oui, exactement. C’est vrai que beaucoup d’entre vous qui nous suivent aujourd’hui, c’est peut-être pour l’immobilier. Donc on a décidé de faire un petit package intéressant. Bien évidemment, la formation Jeunes Loups qui est d’excellente qualité, elle reste là, on est d’accord ?

Jean-Marie : Exact.

Raphaël Carteni : Okay. Donc d’une valeur de 497€. Mais qu’est-ce qu’on rajoute par-dessus ?

Jean-Marie : Le livre qui va avec, donc 19,90. Notre livre, 177 pages.

Raphaël Carteni : Donc un livre papier ?

Jean-Marie : Bon début pour commencer. Oui, livre papier.

Raphaël Carteni : Donc reçu chez eux directement ?

Jean-Marie : Exactement. Dans la boite aux lettres.

Raphaël Carteni : Sur les cryptomonnaies.

Jean-Marie : Exact.

Raphaël Carteni : Est-ce qu’on ne mettrait pas un deuxième livre avec ? Allez, c’est parti ! « Des bancs de la fac à l’indépendance financière », c’est pour vous, donc d’une valeur de 28€ ; 244 pages, je crois. Ça arrive également chez vous. Voilà, on y parle d’immobilier. Les crypto-bénéfices, il faut bien faire quelque chose. On les réinjecte dans les cryptomonnaies, soit on investit ailleurs, dans d’autres actifs.

Jean-Marie : Exact.

Raphaël Carteni : Et pourquoi pas l’immobilier ? Donc voilà, aujourd’hui, un des gros points des gens riches de ce monde, c’est la capitalisation immobilière. Peut-être que plus tard, on va voir des gens qui ont une grosse capitalisation en cryptomonnaies. Mais pour l’instant, c’est l’immobilier qui est plus prépondérant, on va dire. Donc voilà, je vais vous offrir ma formation sur l’immobilier d’une valeur de 497€. Il y a environ 28-30 heures de formation. C’est vraiment fat. De A à Z, comment investir dans l’immobilier, de la définition de son projet à la fiscalité, la comptabilité, en passant par tout ce qui est au milieu : travaux, négociation, emprunt bancaire, notaire, locataires, documents, tout. Je mets ça avec.

Jean-Marie : 20 heures, c’est ça ?

Raphaël Carteni : 28-30 heures je crois.

Jean-Marie : 28-30 heures. Wow !

Raphaël Carteni : Donc autant vous dire que nos deux têtes, ce n’est pas fini pour vous. Il y aura beaucoup de contenu « à manger ». Donc si on résume, ça fait quand même 2 formations d’une valeur de 497€ chacune, la tienne, la vôtre avec Jeunes Loups, et la mienne, plus les 2 livres.

Jean-Marie : Exact.

Raphaël Carteni : Donc la valeur totale du package, à peu près ?

Jean-Marie : 1100, 1050…

Raphaël Carteni : 1100€. Voilà, exactement. Donc comment faire pour récupérer tout ça ? Si ça vous intéresse, dans la barre de description, il y a le lien directement pour arriver sur le site de Jeunes Loups,

Jean-Marie : Exact.

Raphaël Carteni : Pour vous procurer la formation de Jeunes Loups, 497€. Et dès que c’est fait, n’hésitez pas à m’envoyer un petit email, je vous mettrais également mon email dans la barre de description pour réclamer vos bonus, et on vous enverra mon livre, ma formation sur l’immobilier, ainsi que le livre de Jeunes Loups, tout ça directement chez vous. Donc là, je pense qu’on a vraiment une offre qui est irrésistible. Et peut-être qu’on peut refaire un petit point rapide sur les cryptomonnaies en Estonie. C’est vrai que ça bouge beaucoup. Il y a toujours des choses à dire sur les cryptomonnaies. Qu’est-ce qu’on peut rajouter sur les cryptos ?

Jean-Marie : Tout d’abord, les cryptos, la blockchain, ils l’utilisent en Estonie depuis plusieurs années pour se prémunir des cyberattaques de la Russie.

Raphaël Carteni : Oui. C’est un point de vue historique, oui.

Jean-Marie : C’est le sixième pays en levées de fonds en cryptomonnaies.

Raphaël Carteni : L’Estonie ?

Jean-Marie : Exactement. Dans le monde. Et puis, sur la scène cryptomonnaies, on a la France qui est en train de devenir un pays crypto-friendly, la flat tax qui arrive, et puis on a des banques qui s’adaptent petit à petit. On voit que ça va vraiment dans le bon sens.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : Et que la fin de 2018 et 2019 s’annoncent vraiment percutants pour les cryptomonnaies.

Raphaël Carteni : Rapidement aussi, tu me disais que tu avais rencontré un recruteur il n’y a pas longtemps, à qui tu demandais comment ça se passait les emplois, les pôles blockchain ?

Jean-Marie : C’était il y a 2 jours.

Raphaël Carteni : Oui.

Jean-Marie : C’était avec des recruteurs IT, donc tech, en Estonie

Raphaël Carteni : Okay.

Jean-Marie : Je leur avais demandé s’ils ont vu une augmentation du nombre d’emplois blockchain sur le territoire. Ils m’ont dit qu’exactement, c’est ce qu’ils voyaient. Il y a de plus en plus de demandes. D’ailleurs si vous pensez à votre carrière ou à un changement de carrière,

Raphaël Carteni : Anticipez.

Jean-Marie : La blockchain, c’est vraiment un domaine à regarder.

Raphaël Carteni : Du futur. Les banques, les multinationales créent des services entiers blockchain.

Jean-Marie : Juste que tu disais, l’immo et les cryptos, c’est une bonne dynamique parce que soit le cashflow positif, on le réinjecte dans les cryptos, soit les plus-values de cryptos, on les met dans l’immo. Donc c’est vraiment une bonne dynamique.

Raphaël Carteni : C’est une bonne synergie. C’est clair. Bref, on a déjà parlé pas mal des cryptomonnaies dans le contenu de l’interview qu’on avait fait déjà ensemble. On reparlera certainement dans le futur. Donc voilà. Ce qui vous reste à faire, c’est quoi ? C’est simplement cliquer sur la barre de description pour arriver sur la page de Jeunes Loups, regarder le contenu de la formation, vous la procurer, et nous envoyer un petit email pour qu’on puisse vous débloquer tout le reste des bonus, d’une valeur de 1100€ au total. Si c’est tout bon pour toi, je te sers la main. Allez, je te check un petit coup.

Jean-Marie : A la prochaine.

Raphaël Carteni : On se dit : « A très très vite ».

Jean-Marie : Merci.

Raphaël Carteni : Ciao.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *