Comment je suis passé d’étudiant à millionnaire avant 30 ans

Je réponds dans cette vidéo à une question qui m’a été posée sur Instagram concernant mon switch des études de Médecine à l’entrepreneuriat jusqu’à devenir millionnaire à 27 ans. Si ce switch me semble déjà loin (plusieurs années en arrière), il intrigue pour autant toujours car il est relativement peu banal.

Comment après 5 années de Médecine ai-je décidé de tout quitter pour devenir millionnaire en devenant entrepreneur sur Internet et investisseur ?

C’est sur cette période de ma vie que l’on revient dans cet instant « confessions » bien au chaud dans cette suite d’hôtel !

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Comment je suis passé d’étudiant à millionnaire avant 30 ans

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Retranscription de la vidéo :

Les amis, pourquoi j’ai arrêté la médecine pour devenir « millionnaire » ?

Alors, l’objectif premier n’était pas ça. Et pourquoi je fais cette vidéo qui paraît si égocentrique ? C’est tout simplement parce qu’on m’a posé la question il y a pas longtemps sur Instagram.

Quelqu’un m’a dit : « Raph, okay, tout ce que tu fais en ce moment, c’est cool. C’est génial. Je sais qu’avant, tu étais étudiant en médecine, mais tu ne parles pas trop de ça, de ce switch, de comment ça a été fait, de pourquoi, de est-ce que tu regrettes, de comment t’es venue l’idée de entreprendre, investir, pourquoi tu as quitté tes études. Bref, tu n’en parles pas trop. »

Et c’est vrai que je m’en suis rendu compte que maintenant, ça fait assez longtemps – c’était il y a 7-8 ans – les bancs de la fac, et je n’en parle plus parce que j’ai tellement l’impression dans mon cerveau que c’est loin aujourd’hui par rapport à mon style de vie, par rapport à la vie que je mène, que j’ai l’impression que c’était limite une autre vie.

Mais je peux comprendre que ça intrigue et que dans la tête qui sont un petit peu plus au début du parcours d’entrepreneur, ça intrigue et ça démange de savoir un petit peu quel a été le switch pour peut-être un petit peu s’identifier à qu’est-ce que ça a été ma vie à ce moment-là avec ses doutes, ses questions, et ses craintes, et tout ça.

Donc on va revenir un petit peu sur tout ça.

Et je t’ai préparé un petit plan sur l’ordi que j’ai devant moi pour qu’on puisse un petit peu parler de ça ensemble, tranquillement, dans cette jolie suite du Saint-Régis au Kazakhstan.

Donc installe-toi. Prends un petit café. On va discuter un petit peu de tout ça.

Ce qu’il faut savoir, c’est quoi moi, j’ai vraiment commencé ma vie le plus classiquement possible : collège, lycée, mention Assez bien Bac S, conseillé quand même de faire des études courte, parce que j’ai failli redoubler. Je jouais beaucoup trop aux jeux vidéo etc.

Bref, le mec lambda classique.

Sans savoir trop quoi faire de ma vie, je me dirige vers des études de médecine. Pas réellement le parcours de vie qu’on choisit quand on ne sait pas trop quoi faire de sa vie. Mais en fait, déjà, ça a commencé d’un petit constat.

C’était avec un ami, à l’époque, on s’était dit : « On va faire médecine tous les deux. On va ensuite prendre la spécialité dentaire pour ensuite ouvrir ensemble un cabinet dentaire. » Pourquoi ? Parce que son dentiste roulait en Ferrari, et que cet objet brillant, la Ferrari était notre motivation.

Donc évidemment, pas du tout quelque chose de bien, quand on s’apprête à se rendre dans le médical, que de viser la Ferrari. Non, ce n’est vraiment pas du tout déjà une bonne motivation.

Bon, j’ai quand même continué mes études de médecine. C’est-à-dire que la première année, si tu ne le sais pas, est un concours très très dur en France. Je l’ai eu du premier coup. Mon ami, lui, a décroché pendant la 1ère année. Je crois qu’il n’a même pas fait la fin du 1er semestre.

Moi, j’ai eu ma première année du premier coup. J’ai continué, et en tout, j’ai fait 5 années de médecine. A savoir que voilà, j’ai eu la 1ère année du premier coup.

La deuxième, je l’ai redoublée parce que je pense que j’étais en moitié burn-out la première année, où vraiment 7/7 pendant un an, de 8h à 23h, je ne faisais que bosser, bosser, bosser, bosser.

Donc je n’ai fait que la fête pendant ma 2ème année, et j’ai redoublé. Et la 3ème année, c’est là où ça va vous intéresser, j’ai volontairement fait exprès de redoubler. C’est-à-dire que ce qui se passe quand tu redoubles dans des études de médecine, tu ne repasses que les matières que tu as ratées au partiel l’année suivante.

Donc moi, j’avais fait quoi ? J’avais validé tout mon premier semestre. Okay, au calme. Et le deuxième semestre, je pouvais tout valider, toutes les matières. Mais j’ai fait exprès de ne pas valider une seule matière.

Donc j’ai fait exprès de n’avoir que des mauvaises réponses au partiel pour que cette matière n’ait pas le seuil minimal de note requise, et qu’à cause de cette seule et unique matière, je redouble, parce que c’est comme ça que ça se passait à l’époque.

Donc j’ai redoublé à cause d’une matière, mais c’était volontaire. C’était vraiment calculé de ma part, parce que je m’étais dit : « Okay, je vais redoubler ».

Je suis dans un switch en ce moment où j’ai découvert l’entrepreneuriat et l’investissement, et où en fait, j’ai envie de garder un pied dans les études pour la sécurité que ça peut m’apporter si jamais mon côté entrepreneur ne se passe pas bien, et en même temps pour me dégager du temps, parce qu’en n’ayant qu’une seule matière au second semestre à repasser au partiel, et que je maîtrisais déjà, je n’avais littéralement pas besoin de travailler pendant une année complète.

Donc j’avais vraiment une année complète en étant considéré comme étudiant, mais en passant toutes mes journées à développer mes projets entrepreneuriaux.

Donc c’était génial pour moi, parce que j’avais la sécurité, et en même temps, je pouvais prendre tout le temps qu’il me fallait pour développer une activité.

Et en fait, comment j’ai découvert le côté entrepreneuriat et investissement ? Parce qu’on peut se dire : « Bon, Raph, tu es né dans les bouquins en fac de médecine. Comment tu découvres l’entrepreneuriat ? »

Comme toi, et comme moi, en fait, à un moment ou un autre, je suis comme tout le monde sur les réseaux sociaux. Et il y a un moment ou un autre – et c’est encore pire en 2023 – où évidemment, on voit des pubs. On voit des gens qui te disent : « Ouais, moi je fais ci, moi je fais ça, je gagne tant. Fais comme moi. Je fais du trading. Je fais de la bourse. Je fais de l’immobilier. Je vais du Airbnb. Je fais de l’immeuble de rapport. Je fais de la sous-location. Je fais du dividende. Je fais du ci, je fais du ça. »

Bref, je pense que tu es spammé. Et je peux te dire qu’à l’époque, en 2014, 2015, il n’y avait presque rien, et je suis tombé dessus. En 2023, tu ne vois que ça.

Et donc, j’étais curieux. C’est-à-dire qu’il y a un moment, tu vois vers la vie dans laquelle tu te diriges. Tu vois ça comme propos sur internet, alors qu’elle n’est pas forcément la réalité.

Attention, il y a énormément de menteurs. Mais tu es quand même intrigué. Alors, toi, tu es intrigué, tu dis : « Bon, peut-être qu’il y a quelque chose en dessous. Je suis curieux. J’ai envie d’aller voir. »

Et donc, moi j’ai découvert tout ça comme ça, parce qu’il y a des gens qui me disaient à l’époque…. A l’époque, c’étaient comme les discours beaucoup plus tempérés. C’est-à-dire qu’on n’était pas en mode agressif comme en 2023 où il y a des discours qui sont littéralement dangereux.

A l’époque, c’était quand même beaucoup plus tempéré. C’était vraiment du style : tu vas à la banque, tu fais un prêt immobilier, ton locataire va le payer ton crédit, et un excédent de trésorerie qui est donc le cashflow positif. Donc tu t’enrichis comme ça. Tu en fais un, tu en fais deux, tu en fais trois. Et blablabli, et blablabla. On parlait de bourse, d’actions à dividendes, très terre à terre. On créait des business sur internet à l’époque avec des blogs. Moi, j’ai commencé avec des blogs, des choses comme ça. Et ça m’a intrigué.

Donc ce qui s’est passé, c’est que j’ai commencé doucement en créant un blog pour les étudiants en médecine.

Evidemment, le mec, j’ai 20 ans ou 21 ans, je n’ai aucune compétence en investissement immobilier, en bourse, en création de business, entreprises. Je ne suis pas issu d’une famille qui crée des business sur business, ceux qui investissent à mort dans tout et n’importe quoi.

Donc je n’avais pas forcément d’entourage dans ça du tout. Et donc, j’ai créé un business sur les études de médecine, sur comment réussir ce concours de 1ère année de médecine. Et j’ai vendu en fait aux étudiants en médecine ou qui allaient le devenir des conseils de comment moi j’ai fait pour réussir en 1ère année de médecine.

Donc j’ai écrit un livre au format papier, et j’ai sorti une formation vidéo que je leur avais vendue, et c’est comme ça que j’ai créé mon premier business.

Ça a été très dur au début, parce que je ne connaissais rien, et à l’époque, ce n’était pas comme aujourd’hui où on a des outils extrêmement simples pour créer un site. Aujourd’hui, tout le monde peut créer un site, mais littéralement. C’est du drag and drop. Tu prends les éléments, tu les mets, boum, photo, hop, vidéo, hop, texte. Super simple.

A l’époque, il fallait mettre un petit peu les mains dans le cambouis avec du code, avec des plugins qui s’intégraient pas forcément très bien, pour avoir ne serait-ce qu’une petite pop-up ou des choses très simples aujourd’hui.

Donc ça m’a vraiment beaucoup appris sur tout, parce qu’il fallait faire du technique pour le site, il fallait apprendre la comptabilité, il fallait apprendre le marketing, comment rédiger une page de vente avec du copywriting.

Le copywriting, c’est quoi ? L’art de manier les mots pour vendre. Ensuite, délivrer le produit rapidement. Ensuite, il y a le support client. Ensuite, bref, le montage des vidéos, l’écriture d’un livre, comment publier un livre en auto-édition, comment être disponible sur Amazon.

Bref, en fait, tu apprends tout. Aujourd’hui, ce qui me paraît si simple, à l’époque, c’était tout nouveau pour moi. Donc c’est en fait quand même une taf, une montagne de travail qui était colossale. A l’époque, je ne m’en rendais pas compte. Et en fait, c’est en le faisant qu’on se rend compte.

Et si on m’avait dit au tout début qu’il y aura tout ça à faire, il y aura tout ça comme galère, je ne sais même pas si je l’aurais fait, parce qu’honnêtement, c’est décourageant. Quand tu le vois, après l’avoir fait, tu te dis : « Ouah, j’ai fait tout ça, waouh, c’est cool ! »

Mais sur l’instant T, je pense que ça m’aurait littéralement découragé, parce qu’on ne se rend jamais compte de tout ce que ça représente. On a souvent tendance à dénigrer les gens qui bossent sur internet en disant : « Ouais, toi, tu as la belle vie. Regarde par exemple, là tu fais une vidéo, tranquille, pépouze, dans une suite au Saint-Régis au Kazakhstan, pendant que moi, il est lundi, tu vois, il est lundi 16 janvier 14h40, pendant que moi, je viens de sortir de ma pause déjeuner, et que je dois retourner sucer les boules de mon patron. »

On a souvent tendance à un petit peu être décriés en étant des gens qui ne font pas grand-chose, qui apportent peu de valeur ou qui ont un rythme de vie tranquille. En réalité, ce que tu vois sur internet n’est pas du tout la réalité d’un mec qui bosse sur internet.

Il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup de choses à faire, et ça, les gens le négligent. Et clairement, créer un business sur internet, c’est à la fois très simple et très difficile.

C’est-à-dire que c’est très très simple : il n’y a pas de barrière à l’entrée, tout le monde peut avoir un site, un YouTube, un Instagram, ouvrir un compte pub chez YouTube, Google, Facebook, ce que tu veux.

Par contre, après, réussir, c’est une autre chose parce que je peux te dire qu’en 8-9 ans d’existence sur internet, j’ai vu des gens arriver et repartir très très vite. Parce qu’évidemment, ce n’est pas simple de gagner de l’argent, et beaucoup d’argent sur internet.

Donc ne serait-ce qu’en tout cas à l’époque, j’ai créé ce blog pour les étudiants en médecine qui m’a permis de générer à l’époque à peu près 1500€ par mois.

 Donc tu vois, moi, c’était un truc de fou à l’époque parce que je me disais que si je ne peux ne serait-ce que générer un SMIC grâce à mes activités sur internet en plus de ce que je vais gagner quand je serai peut-être médecin (parce que je ne voulais pas forcément tout quitter tout de suite), j’étais en mode refait, j’étais en mode « ouais, c’est génial, tu vois, je peux devenir indépendant financièrement, c’est génial ».

Et en fait, après avoir créé ce blog sur les études de médecine, j’ai commencé à investir dans l’immobilier. Tout s’est fait très rapidement avec des prêts étudiants. Donc ça, tu connais sûrement mon histoire. J’en ai parlé dans mon livre Des bancs de la fac à l’indépendance financière.

Je te remets le lien ci-dessous dans la barre de description. Le livre commence à dater. Il date de 2017 je crois, mais il est tout autant vrai, parce qu’en fait, il est intemporel, dans la mesure où ça raconte mon parcours comme son nom l’indique : Des bancs de la fac à l’indépendance financière.

Donc je te raconte tout, de quand j’étais étudiant en médecine, à mes premiers prêts étudiant, à ma création de business sur internet, à mes investissements en bourse, de mon switch mental, pourquoi j’ai « pété les plombs » et j’ai tout quitté.

C’était compliqué à la fac de médecine puisqu’évidemment, quand tu vois des étudiants qui ont déjà fait 5 années, vouloir partir, ils essaient de comprendre pourquoi. Ils te convoquent, qu’est-ce qui se passe ? Ils se posent des questions. Est-ce que tu n’es pas bien dans ta peau ? Est-ce que tu n’es pas bien intégré avec tes camarades, tes collègues, les profs ?

Qu’est-ce qui fait que tu veux tout arrêter après avoir réussi la première année de médecine alors qu’il y a des gens qui littéralement, quand ils ne sont pas reçus en première année de médecine, ils dépriment. Ils ont raté leur vie, tu vois, parce que c’était leur but de devenir médecin.

Donc ils essayaient de savoir pourquoi. Tu vois ?

Et en fait, il y a aussi autre chose qui était un gros switch dans ma tête. C’étaient mes premiers stages à l’hôpital. C’est-à-dire que j’étais dans des blocs, j’étais dans des maisons de retraite, j’étais dans des unités de cardio, de pneumologie. Bref, j’ai vu les cancers, des gens qui avaient des situations dégueulasses, tu vois, parce que l’âge, et le travail.

Il y a des gens qui sont usés par leur travail. C’est-à-dire que à feu doux, doucement mais sûrement, tes poumons quand tu bosses dans le bâtiment, ça te démonte…

En fait, j’ai l’impression que la majorité des gens que j’ai vus dans les hôpitaux étaient des gens qui étaient là à cause de leur travail. Ils étaient fatigués par la vie.

Et en fait, je me suis dit : « Ah ouais, okay. De 1, je vais être immergé au quotidien de par mon travail dans cet environnement de gens qui sont malades. » Donc ce n’est pas du tout positif. C’est déprimant. Tu rentres chez toi. Tu as vu que des gens malades en train de mourir. Franchement ça m’a saoulé.

Maison de retraite : que des vieux qui ont évidemment des discours qui sont en mode : « Voilà, tu es jeune, profites-en, ça passe vite ». Une fois, 2 fois, c’est cool, mais bon, ça déprime aussi. Et le constat de me dire que potentiellement, moi aussi, j’allais être une victime de la société et me faire bouffer la vie, la santé, en étant dans ce système, je me suis dis : « Non, ce n’est pas possible. Ce n’est pas possible. »

Donc, tout ça, ça a été quand même des déclencheurs pour me dire : « Il faut à tout prix que je quitte ces bancs de la fac parce que ça ne va pas du tout le faire. Je serai un très mauvais médecin si j’en suis un. Je vais probablement tuer quelqu’un. Parce que n’avais pas du tout envie de faire ce que je suis en train de faire. »

Et voilà. Donc évidemment, quand tu dis ça à tout le monde, et encore une fois aujourd’hui, on me le dit : « Mais est-ce que tu ne regrettes pas ? Quand même, 5 ans de médecine. Tu aurais pu aller jusqu’à la fin, terminer, même si tu investis à côté, même si tu entreprends à côté ».

En fait, les gens ont du mal à comprendre. C’est humain. C’est-à-dire que le cerveau, il est beaucoup plus impacté par la perte que par ce que tu peux gagner. Et ça, c’est purement humain.

On est toujours beaucoup plus impacté parce qu’on peut perdre et ce qu’on a déjà, par ce qu’on peut potentiellement gagner dans le futur, parce que c’est beaucoup plus incertain.

Et combien de fois, on m’a dit : « Est-ce que tu ne regrettes pas ? » En fait, pas du tout, parce que je sais que j’ai pris ici la meilleure décision de ma vie, littéralement. Parce que si j’avais continué, j’aurais été très malheureux, j’aurais vécu la crise Covid. Crois-moi, j’aurais pété les plombs. On est mal payé, on fait beaucoup d’heures.

Moi, je respecte énormément tout le corps médical en passant, les spécialistes, médecins, infirmiers, aides-soignants, tout ce que tu veux, de loin ou de près à la santé, parce que honnêtement, on a besoin d’eux, c’est un truc de fou comme métier, c’est génial. Toi-même tu sais, quand on est malade, on pourrait faire énormément de choses, donner énormément pour être soigné.

La santé, ça n’a aucun prix, et tout l’argent du monde ne remplace pas la santé. Mais honnêtement, ce n’est pas ma vocation, et je n’aurais pas du tout pu le faire.

Donc est-ce que je regrette ? Pas du tout. Parce qu’en fait, aujourd’hui, j’estime avoir une vie qui me correspond beaucoup plus. J’ai beaucoup, beaucoup plus d’argent. J’ai beaucoup, beaucoup plus de temps. J’ai vécu beaucoup, beaucoup plus d’expériences de vie que n’importe qui d’autre.

C’est-à-dire que quand je me retrouve dans des villages en Inde, quand je me retrouve dans un repas de famille dans les campagnes de Biélorussie ou du Kirghizistan, quand je me retrouve invité à Tchernobyl en Ukraine, quand je me retrouve dans un safari à 1 mètre d’un éléphant ou d’un lion en Namibie, quand je me retrouve en train de chiller avec un Saoudien en Arabie Saoudite, quand je me retrouve en train de….

Des expériences de vie, j’en ai énormément.

Quand je me retrouve en train de chiller avec une Coréenne en Corée du Sud. Tout ce que tu veux. Ces expériences de vie, je ne les remplace pour rien au monde, parce que c’est génial de découvrir le monde, et avoir des expériences de vie comme ça, internationales.

Tous les voyages que j’ai fait. J’ai 29 ans, et j’ai visité 103 pays. Il y a des gens qui, à 70 ans, en auront fait peut-être moins de 10 ou pas du tout. Donc incroyable.

Et surtout, j’ai un autre optimisme sur le futur qui est sans faille. C’est-à-dire qu’en tant que médecin, je pense que j’aurais été quelqu’un de déprimé, triste, malheureux, envieux, jaloux, tout ce que tu veux.

Et aujourd’hui, je suis quelqu’un de vraiment relax et très optimiste sur le futur. J’investis énormément sur plein de start-ups, sur plein de choses, et je vois tout ce qu’on peut encore faire dans ce monde.

Les médias ne nous montrent que ce qui va mal, et on a l’impression que c’est la fin du monde. On nous retourne le cerveau en nous disant que voilà, à cause de ce que les méchants capitalistes milliardaires et pollueurs font, et détruisent la planète, on va tous mourir à cause d’eux.

On ne va pas rentrer dans ces détails-là parce que c’est évidemment, c’est extrêmement compliqué. Ça rentre dans un schéma de cycle et de choses comme ça au niveau de l’humanité, et c’est très compliqué.

Mais je suis extrêmement optimiste. Voilà ce que je voulais te dire. Et il y a beaucoup de choses à faire. Et surtout, j’ai l’impression d’être quelqu’un qui « provide », c’est-à-dire qui fournit des choses.

C’est-à-dire qu’encore une fois, on nous dit qu’en tant que riches, milliardaires, en tant que capitalistes, on est « les microbes » de cette planète. Mais moi, j’ai vraiment l’impression d’être extrêmement utile tel que je le suis aujourd’hui, en tant qu’entrepreneur et investisseur, et bien plus qu’en tant que médecin, même si encore une fois, il faut des médecins évidemment.

Parce qu’en fait, j’investis dans beaucoup de choses, et je sais que je donne du capital à des gens, à des projets, à des start-ups, par exemple, qui vont créer des choses, des solutions extrêmement formidables pour plein de pays dans le monde.

Puisque si tu ne le sais pas, j’investis dans beaucoup de boites dans plein de pays du monde, que ça soit le Mexique, le Pérou, mais il y a aussi l’Afrique, l’Ouganda, le Nigéria, le Kenya, la Colombie en Amérique du Sud, l’Inde, le Pakistan, le Bangladesh, plein de pays. 12-13 pays à peu près à l’heure d’aujourd’hui, et plus de 70 entreprises dans le monde.

Donc en fait, je sais que ces solutions-là, elles sont énormes, et qu’on en a besoin, et qu’il y a beaucoup beaucoup de choses à faire.

Donc pour rien au monde, je ne regrette ce que j’ai fait, ma décision que j’ai prise et la vie que j’ai aujourd’hui, parce que pour moi, je n’aurais pas pu prendre de meilleure décision.

Alors, comment on peut devenir finalement « comme moi » ? Je n’aime pas dire ça, parce que j’ai l’impression d’être l’exemple, alors que pas du tout. Mais heureusement ou malheureusement, je sais que pour beaucoup de personnes, je suis devenu « un petit peu un exemple » ou une motivation, ou en tout cas une volonté d’atteindre certaines choses que j’ai pu faire.

Encore une fois, je suis loin d’être parfait sur plein de choses. Crois-moi, je suis un mec ignoble. Donc voilà.

Mais en tout cas, comment devenir indépendant financièrement ou millionnaire ? Si c’est ton but. Si je peux te donner humblement, juste quelques conseils, ce serait vraiment d’avoir la première chose, une vision long terme.

C’est-à-dire que tout ce que les gens ne veulent pas, mais moi, ça ne s’est pas fait du jour au lendemain. C’est-à-dire que je suis devenu indépendant financièrement en 3 ans. J’ai commencé à 20 ans et je suis devenu à 23 ans indépendant financièrement.

Donc indépendant financièrement, ça veut dire grosso modo, tu as suffisamment de cash pour payer toutes tes dépenses.

Ça ne veut pas dire que tu gagnes 15000€ par mois. Ça veut dire que tu as peut-être potentiellement 2000€ qui sont générés à travers tes investissements, à travers tes activités qui font que tu peux dire fuck à tout le reste (ton patron ou tes études, ou ce que tu veux), bref, la source de revenus de laquelle tu dépends et qui souvent dépend d’un taf salarié.

Donc c’est ça être indépendant financièrement. Ce n’est pas seulement gagner beaucoup d’argent. C’est 1500, 2000 ou 3000€, tout dépend de ton rythme de vie et où tu vis. Parce  qu’encore une fois, si tu vis en Thaïlande, si tu vis dans les pays de l’Est ou si tu vis en Amérique du Sud, ça coûtera beaucoup moins cher que de vivre en France. Okay ?

Et j’ai mis 7 ans à devenir millionnaire. Donc tu vois, ce n’est pas rapide. Franchement, il y a des gens que je connais qui l’ont fait beaucoup plus rapidement. Il y a des gens qui vont le faire en plus de temps.

Mais voilà, à 27 ans, je suis devenu millionnaire. Donc ça veut dire quoi, millionnaire ? Ça veut dire que tu as un patrimoine net – je ne parle pas en brut, c’est trop simple sinon après. Avec les emprunts immobiliers, tu as des gens qui te font croire qu’ils pèsent 150 millions d’euros, mais ils ont 149.500.000€ de nets. Donc ça ne compte pas. Tu vois, c’est trop facile.

Mais un millionnaire, ça veut dire que patrimoinement parlant en nets, tu as 1.000.000. Donc tu vois, loin encore une fois l’idée de certains de penser que tu as 1 million d’euros en cash sur ton compte en banque, parce que ça ne sert à rien.

Littéralement, ça ne sert à rien d’avoir 1 million d’euros en cash, vu ce que le cash produit comme valeur. C’est zéro, voire même négative avec l’inflation, voire même très négative avec l’inflation.

Donc voilà, dont tu vois, ce n’est pas forcément très rapide, mais en fait, la vision long terme, c’est le plus important. Comprendre que tes investissements ne vont pas te générer beaucoup d’argent très rapidement, mais qu’ils sont extrêmement primordiaux dans un patrimoine, parce que tu capitalises et ça te crée du cashflow positif, donc extrêmement important d’investir tout son cash.

Au début, il faut tout investir, réinvestir dans son business ou dans des actifs, donc immobilier, bourse, crypto, ce que tu veux, mais réinvestir, réinvestir, réinvestir.

Moi, aujourd’hui, j’ai réinvesti 95% je pense, de tout ce que je gagne dans des actifs, principalement la bourse et les start-ups.

Et surtout, ce qu’il faut comprendre, c’est que c’est en créant une entreprise que tu vas gagner le plus d’argent. C’est-à-dire qu’aujourd’hui, investir en bourse, en immobilier, en start-ups, c’est une chose, mais si tu veux vraiment, vraiment gagner beaucoup d’argent, c’est via l’entrepreneuriat et la création d’entreprise.

Parce que tout le reste est capé. C’est-à-dire que tu investis en immobilier, ton T2, tu vas le louer à la hauteur du prix du marché dans la ville dans laquelle tu es situé. Tes investissements en bourse, ça va être proportionnel au capital que tu as investi. Si tu as investi 1000€, tu auras 5% de rentabilité sur 1000€.

Voilà. Simple. Tu investis dans une start-up, tu fais un X100 sur 1000. Tu as gagné 100.000€. Donc tu vois, moins la dilution, moins les impôts, tout le reste, pas millionnaire. Mais tu as fait pourtant fois 100. Tu vois ?

Donc le plus rapide, clairement, c’est créer une entreprise parce que sinon, ça prendra beaucoup de temps.

Il suffit de prendre un exemple. Je l’ai noté ici, juste devant moi, c’est pour ça que j’y repense.

Si tu veux avoir un patrimoine en bourse, ne serait-ce que en bourse, d’un million d’euros, donc tu veux un portefeuille à 1 million d’euros, tu veux investir 1 million d’euros en bourse, et que tu mets 500 $ par mois, ce que certains peuvent faire, mais ce que beaucoup aussi ne peuvent pas faire, puisque 500 € par mois, c’est beaucoup pour beaucoup de Français, il te faut 2000 mois – c’est énorme – ça fait 166 ans.

Autant te le dire, tu as le temps de mourir 3 fois pour avoir investi 1 million d’euros en bourse.

Donc clairement, encore une fois, il faut entreprendre. Et c’est de cette façon-là que tu pourras avoir des patrimoines conséquents en millions, dizaines, centaines de millions d’euros. Ce n’est pas simplement avec un revenu salarié et ta capacité d’épargne que tu vas pouvoir devenir riche ou très riche.

Encore une fois, tout le monde ne veut pas le devenir. Tu peux devenir indépendant financièrement uniquement à l’aide de ton travail salarié en étant astucieux, malin, patient, et en faisant cet effort et en ayant cette discipline.

Mais si tu veux vraiment devenir très riche – je ne sais pas si c’est des grosses voitures ou une grosse maison, un gros confort de vie – il faut entreprendre, créer une entreprise préférablement sur internet.

On est en 2023 les gars, donc aujourd’hui, ce n’est pas en ouvrant une boulangerie que vous allez devenir extrêmement riche, sauf si la boulangerie produit de la poudre blanche mais on n’est pas dans ce genre de business aujourd’hui.

Donc voilà les amis. Dites-moi ce que vous en pensez dans les commentaires ci-dessous. Est-ce que vous aimez un petit peu ce genre de vidéo où il n’y a pas forcément de contenu applicable très concret avec des études, je ne sais pas, dans tous les sens ?

Est-ce que vous aimez un petit peu ce genre de vidéo un peu plus à la cool où on raconte sa vie ? Dites-le moi. Avec grand plaisir pour en produire d’autres.

Dites-moi ce que vous en pensez dans les commentaires. Lis bien la barre de description également. Il y a pas mal de ressources qui devraient pouvoir t’aider justement pour à la fois investir en bourse et dans les start-ups.

Après, on a du format papier, service mensuel, formation vidéo, séminaire présentiel. Tout est dans la barre de description.

Je te dis à très très vite, et je te remercie de m’avoir regardé jusqu’à la fin de cette vidéo. Ciao ciao !

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