Dans cette vidéo, on se retrouve dans une ambiance décontractée sur une plage en Thaïlande pour répondre à la demande d’un abonné qui me demandait de développer comment je suis tombé dans le monde des start-ups.
Je te partage donc mon histoire de comment on m’a donné l’information qu’il était possible d’investir dans la start-up Kraken, le célèbre exchange de crypto-monnaies.
Tu verras ensuite comment tout s’est enclenché jusqu’à aujourd’hui où j’ai investi dans près de 70 start-ups des Etats-Unis à l’Inde en passant par l’Amérique du Sud ou l’Afrique !
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#StartUp #Kraken #PrivateEquity
Comment j’ai investi dans ma première start-up (Kraken)
Retranscription de la vidéo :
Les amis, bienvenue sur cette nouvelle vidéo en direct de Pattaya, en Thaïlande.
J’espère que tu m’entends bien. Il y a un mec qui fait, je ne sais pas, de la scierie au-dessus et il y a la mer ici qui fait un peu de son bruit avec les vagues. Donc, j’espère que tu m’entends bien, j’essaie de parler fort.
L’avantage, c’est que je me suis mis un petit peu loin de tout le monde pour ne pas déranger ses vacanciers fous, frérot, qui sont vraiment, en masse, arrivés de Russie. Il y a un nombre de russes incroyable ici. J’entends parler plus russes que thaï, c’est vraiment affolant et c’est réel à tous les quartiers. Ça parle que russe dans la rue, partout partout.
Donc, ils sont vraiment arrivés en masse. Ils ont toujours aimé Pattaya et la Thaïlande, mais là, c’est vrai que ça me choque particulièrement.
Alors, de quoi on va parler ? Aujourd’hui, petite vidéo à la cool. Comme tu le vois, on est au bord de la plage, casquette, maillot de bain. On est à la cool. Et on essaie d’éviter de lancer de la musique pour ne pas se faire traquer.
On va parler de start-ups. On m’a posé une question qui était : « Est-ce que tu peux nous faire une petite vidéo storytelling de ton premier investissement dans des start-ups, comment ça s’est passé, en fait ? Comment tu es un petit peu tombé dedans ? »
Bref, juste un petit peu de storytelling. Donc tu vois, on va se mettre à la cool. Quand même, je vais reculer un petit peu de ces vagues folles, frérot. Donc, une petite storytelling, à la cool. Et on va parler de tout ça.
Allez, je te mets les vagues en arrière-plan. Je vais passer pour un con face à un talus. Mais après tout, ce n’est pas très grave.
Donc, comment ça s’est passé ? Moi, mon premier investissement en start-up, je l’ai fait en 2019. Et c’était dans l’entreprise Kraken. Donc, exchange de cryptomonnaies que je détiens toujours à l’heure d’aujourd’hui d’ailleurs.
Donc, très très grosse boîte, très très belle boîte qui probablement va générer un jour un exit. Donc, un exit, c’est soit une introduction en bourse, soit un rachat par une autre boîte. Bon, au stade et vu la taille de Kraken qui vaut aujourd’hui à peu près 11 – 10 milliards aux dernières nouvelles, il y a fort à parier que ce soit plutôt une introduction en bourse.
On verra. Mais en tout cas, ça a été mon premier investissement. Et comment je suis tombé dans cet investissement ? Comment j’ai eu cette possibilité d’investir dans Kraken ? Puisqu’il y a beaucoup de gens qui pourraient se dire : « Ouais, putain Kraken c’est super cool. Comment tu as fait pour investir dans Kraken ? »
D’autant plus que en 2023, c’est super cool d’investir dans Kraken mais en 2019 c’était déjà super cool, c’était déjà une très belle boîte, un très beau exchange utilisé par déjà beaucoup de personnes.
Bref, connu aussi bien et autant que Coinbase, Binance ou ce que tu veux.
Et donc, en fait, ce qui s’est passé, c’est que j’étais tout simplement en Estonie. Je m’en rappelle. C’était sûrement un jour d’été ou de printemps. On se rend dans le quartier industriel de Tallinn, donc de la capitale qui s’appelle Telliskivi, ce quartier. Et, on va se faire un indien, on va se bouffer un indien.
Je me rappelle, c’était vraiment un petit soir paisible d’été. Tout était beau, la vie était belle. Il faisait bon, les gens étaient dehors en train de chiller. Tout allait bien. Donc, on va se faire un petit indien avec des amis entrepreneurs et expatriés à Tallinn. Et ben, voilà, tu connais les repas entre entrepreneurs et investisseurs, ça parle dans tous les sens.
Et, ça parle business, ça parle d’autres choses, et on en vient à parler d’investissement et start-ups. Et j’ai un ami qui est expatrié là-bas qui me dit : « En ce moment il y a Kraken qui propose, qui lève des fonds, en fait, sur plateforme et c’est possible d’investir dans Kraken. »
Donc, là je me dis : «Ah ouais ? Super ! C’est cool, mais comment ça d’investir dans Kraken ? » Genre, je ne connaissais pas encore à ce moment-là même le milieu des start-ups. Et je ne pensais pas qu’on pouvait potentiellement détenir des parts d’entreprises qui n’étaient pas cotées en bourses. On connaît tous la bourse avec les actions en dividendes.
Mais, on ne connaît que très peu, en tout cas, à l’époque, je ne connaissais pas moi, personnellement très bien ce monde des entreprises non cotées et le fait qu’elles puissent lever des fonds pour aller stimuler de la croissance et qu’on ait des morceaux de cette entreprise-là.
Et donc, je me renseigne. Je rentre chez moi, le soir, après cet indien, qui m’avait d’ailleurs détruit le bide, je m’en rappelle très très bien. Il m’avait vraiment démonté le bide. Mais, bon, je t’épargne les détails que tu n’as pas envie de savoir mais que je te donne quand même.
Et je rentre chez moi, je commence à regarder, je vais sur la plateforme en question que mon pote m’avait donné. Et je vois qu’en effet, Kraken lève des fonds. Donc, j’avais des informations sur la valorisation, sur combien je peux investir au minimum. Tu as des infos sur l’entreprise, des documents légaux. Tu as pas mal de choses.
Je regarde tout ça et je me dis : « A vrai dire why not. Why not, why not ? »
Donc, à l’époque c’était mon premier investissement. Donc, le ticket minimal, c’était 1.000$. Donc, je me dis : « Vas-y en fait, why not ? Tu vois, ça va me familiariser avec ce processus d’investissement dans des start-ups ». 1.000 $ c’est beaucoup sans être beaucoup. Mais, je le fais. J’investis 1.000 $. Je reçois, après la levée de fonds, les fameux documents administratifs qui disent que je détiens X actions de l’entreprise Kraken en bourse.
Et ça a été en fait finalement, mon premier investissement dans une start-up. Alors, ce n’est pas celui qui va me générer le plus de retour sur investissement. Puisque je m’en rappelle que la valorisation d’investissement à l’époque c’était 4 milliards. Donc, tu vois 4 milliards, c’est déjà une très très grosse valorisation. Si on compare par rapport à aujourd’hui, j’ai investi que dans des deals à moins de 50.000.000 de valorisation, parce que j’estime qu’à moins de 50.000.000 de valorisation, on peut encore faire un X 100 sur beaucoup de projet dans lesquels je vais.
Alors qu’à 4.000.000.000, faire X 100 ça voudra dire que l’entreprise Kraken vale un jour 400 milliards.
Bon, honnêtement, en étant réaliste, ça paraît quand même très très peu probable. L’idée était surtout en fait d’essayer de se familiariser avec ce process d’investissement dans les start-ups. Je ne connaissais pas du tout ce milieu-là et j’avais encore moins, j’avais pour autant aucun objectif.
C’est-à-dire, aujourd’hui, je sais très précisément ce que je recherche comme start-up, comme projet, en termes de valo, en termes de traction, en termes de type de projet, en termes de fondateur, en termes de tout ce que tu veux.
A l’époque, je ne vais pas te mentir, j’ai investi parce que c’était Kraken, j’ai investi parce que je découvrais, j’ai investi parce que je ne savais pas trop, en réalité, quoi. C’était mon tout premier deal. Et comme toute première chose qu’on fait, on ne le fait jamais parfaitement.
Bon, avec sincérité, je ne pense pas que ce soit une erreur d’avoir investi, aujourd’hui, dans Kraken.
Donc ça, ça a été mon premier investissement. Ensuite, comment ça s’est passé ? 2020 je me fais approcher par un mec qui veut m’interviewer pour sa chaîne YouTube en parlant de mon parcours d’investisseur, d’entrepreneur sur internet etc, etc…
Et je dis oui. Et en fait, cette personne qui est d’origine française, qui a un business sur le marché français, propose d’investir dans des start-ups et à l’issue de cet interview dans les semaines, dans les mois, je ne me rappelle plus exactement la temporalité, cette personne me partage des deals qu’elle a en ce moment et pour lesquels elle est en train de lever des fonds.
Donc, elle me les partage, elle me dit : « Si tu veux, en ce moment, on est en train de lever des fonds pour cette boîte-là. Tu peux investir si tu veux, il n’y a aucun souci. » Voilà, elle me fait troquer gratuitement des plans d’investissement, en fait, dans des start-ups au Etats-Unis à l’époque. Et je me dis : « Pourquoi pas ? ». J’ai eu l’expérience de Kraken.
Franchement, j’ai bien kiffé l’idée. Tu as des start-ups, qui sont toutes nouvelles, qui ont besoin de fonds pour se développer. Il y a du potentiel.
Moi, je commençais à découvrir tout ce qui est pitch decks, lecture de mémo, découverte de comment ça marche une start-up, ce qu’il faut regarder, ne pas regarder, ce qui est important, les potentiels. Et je me dis : « En fait, ouais, c’est super intéressant, parce que c’est beaucoup plus risqué. Mais tu peux aussi gagner beaucoup beaucoup d’argent ».
Donc, je me dis : « Allez, pourquoi pas ? » Je fais quelques deals comme ça avec cette personne en 2020. Mais, en 2020, je ne fais pas énormément de deals. Je pense que j’en fais peut-être 3 – 4, pas plus.
Donc, 2019 : un seul deal, Kraken, 2020 : 3 – 4 deals, 2021 : je suis encore un peu « triggered » par tout ce milieu-là que je ne connais que très peu finalement. Et là, je rejoins 3 clubs d’investissements.
Comme tu le sais, moi, j’ai créé aujourd’hui mon club d’investissement que tu peux rejoindre, qui est dans la barre de description mais tu as plein de clubs d’investissements en France et à l’étranger – tu en as d’ailleurs beaucoup plus à l’étranger qu’en France qui te proposent des deals régulièrement, et après tu peux investir ou non dans ces deals.
Donc, j’en rejoins un en France, j’en rejoins un en Inde et j’en rejoins un aux Etats Unis.
Celui en France, je ne vais pas te parler duquel c’est parce ce que ça s’est très mal passé, très mal terminé. Donc, je n’ai pas envie d’en parler plus que ça. Il n’était pas du tout sérieux comme club.
Celui indien, c’est un simple investisseur entrepreneur Indien qui n’est pas du tout connu mais que moi je suis depuis mes débuts sur internet, et qui a investi énormément dans des start-ups. Et donc, j’ai regardé ce qu’il faisait.
Et le troisième, je peux te le citer, c’est Jason Calacanis, entrepreneur américain qui a investi dans Uber. Bref, je te laisse regarder qui c’est, si tu ne connais pas, un gros investisseur américain.
Donc, je découvre tout ce monde-là. Je reçois des propositions d’investissements pour lesquelles, pour certaines j’y vais, pour certaines j’y vais pas mais je reçois. Et en fait, « je forge ma peau ».
Je ne sais pas si on peut dire ça comme ça mais je renforce, on va dire, mon éducation sur le sujet. Et je commence à comprendre clairement beaucoup de pièges dans lesquels on peut très vite tomber.
Un des pièges, c’est qu’en fait toutes les start-ups que tu reçois au début, tu as l’impression que c’est trop trop lourd. Tu as envie d’aller dans toutes les start-ups parce que évidemment tous les pitch decks, tous les PDF que tu reçois, ils sont magnifiques. Tu as l’impression que c’est toujours la start-up du siècle, qui va réussir, qui va battre tous les concurrents, qui va s’imposer sur le marché, qui va faire gagner beaucoup d’argent aux investisseurs.
Et c’est normal. Parce que les fondateurs quand ils créent leurs thèses d’investissement, leurs PDF, leurs pitch decks, ils font tout pour te convaincre. Ils ne vont pas te dire : « Ma start-up, elle est nulle, on a énormément de chance d’échouer, on n’a pas d’avantages compétitifs. »
Non, évidemment, elles te vendent une réalité qui est parfois, pas faussée mais qui est très très belle et ne pas faire attention à ça, c’est un gros piège.
Bref, en tout cas, voilà, je commence un petit peu à comprendre ce monde de mieux en mieux. Et en fait, je ne parle pas, c’est l’expérience de terrain. C’est ce que je dis souvent à beaucoup de personnes. Toutes les formations du monde, tous les livres du monde, c’est bien mais à un moment ou à un autre où il faut sauter dans le grand bain. Comme on dit, on n’apprend pas à nager dans un livre. Et si tu ne sautes pas dans le grand bain et que tu ne bouges pas tes petits bras et tes petites jambes, à un moment, ça ne va pas le faire.
Donc, le terrain ça permet d’apprendre très très vite. Et donc, à partir de ce moment-là, tout s’accélère.
Fin 2021 – 2022 et 2023 j’investis massivement. Aujourd’hui, j’investis dans, je ne sais même plus, 68 ou 69 deals que ce soit aux Etats Unis mais aussi en Inde, au Mexique, au Pakistan, au Bangladesh, au Pérou, à Singapour, dans tous les pays du monde. Pas tous les pays du monde, je suis en train de faire l’Américain, justement, mais à peu près dans 13 ou 15 pays du monde.
Donc, ça c’est super intéressant et je rejoins, du coup, énormément de clubs d’investissement que ce soit, du coup, aux Etats Unis, ça reste quand même la source. Mais aussi l’Inde. Des clubs en Indonésie, exactement à Singapour.
Donc, pas mal de pays du monde parce que encore une fois, on s’est inspiré d’un petit peu tout ce qui se passait dans le monde entier, de tous ces entrepreneurs, des investisseurs. Il y en a vraiment plein partout dans le monde entier qui sont géniaux et qui ont une grosse expérience.
Donc, on a rejoint un petit peu tout ça. Et de là, je me suis dit : « Allez, c’est le moment de sourcer soit même ». J’ai commencé à avoir en fait, le réseau et les capacités, les compétences pour pouvoir sourcer des deals moi-même et pour pouvoir les proposer en fait, à vous, c’est-à-dire la communauté que j’ai pu construire sur internet depuis maintenant 2014 – 2015.
Donc, je me suis dit : « En fait, okay. J’ai commencé à investir sérieusement avec des start-ups. J’ai une communauté française d’investisseurs qui est présente ici devant moi. Donc, là je peux connecter des choses. Je peux connecter des deals, je peux rassembler des fonds via la communauté et on peut investir tous ensemble dans ces deals ». Et ce serait quand même une très très belle histoire de pouvoir créer un club d’investissement tous ensemble pour pouvoir investir dans des start-ups cotées en bourse.
Parce que, jusqu’à présent, je partage un petit peu ce que je fais. Mais là, c’est l’occasion de pouvoir le faire ensemble et d’investir ensemble. Et on ne sait jamais, pourquoi pas, dans 5 ans, dans 10 ans, on fait un magnifique exit et gagner tous ensemble beaucoup d’argent et célébrer ça ensemble. Ce serait vraiment une très très belle réussite pour tout le monde.
Donc, encore une fois, on ne sait jamais, une start-up peut vivre 20.000 évènements qui font que ça ne va pas, ça ne va pas le faire, ou en tout cas qu’elle ne va pas aller jusqu’au bout. Mais, l’idée était quand même là de pouvoir connecter un petit peu tout ça : des deals, de l’argent, investir ensemble, faire ça à la française avec la communauté qu’on a construit. Et voir jusqu’où ça peut nous mener.
Donc, depuis, fin 2022, mi-2022, juin 2022 à peu près, j’ai créé mon club d’investissement Insolent Capital dans lequel vous pouvez justement investir dans les deals à mes côtés.
Donc, moi, j’analyse à peu près 10 start-ups par jour, plus de 3.000 du coup par an. Et de ce qui ressort et de ce que je choisis et ce dans en quoi j’investis personnellement mon propre argent, je le propose à tous les membres de ce club d’investissement.
Et on investit ensemble, ce qui permet de décupler nos forces, d’investir plus de cash à donner en tout cas, plus de cash à une start-up. Et de faire en sorte d’optimiser nos chances que la start-up se développe et aille le plus loin possible pour pouvoir vivre ce qu’on appelle un évènement de liquidité et nous faire donc gagner de l’argent.
Donc, voilà, d’où est venu un petit peu le storytelling autour de tous mes investissements en start-ups. Je pense que désormais tu sais à peu près tout sur comment ça a commencé, comment ça a évolué, quel a été un petit peu mon déclic et mon constat et où on en est aujourd’hui, où on réalise tous ensemble des levées de fonds.
Donc, si ça t’intéresse, tu as tout dans la barre de description, le club Insolent Capital, le club avec lequel on investit dans des start-ups non cotées, du coup des start-ups qui soient dans des pays émergents, aux Etats Unis, tout sauf France et Europe. C’est-à-dire que France et Europe, je n’y crois pas du tout pour mon cas.
En tout cas, ça reste personnel évidemment. Je sais que certains ne seront pas d’accord mais moi j’estime qu’il y a très très peu de croissance à aller chercher en France et en Europe aujourd’hui.
Mais par contre, aux Etats Unis, la terre de l’entrepreneuriat, et de la culture de l’argent et les pays émergents tels que l’Amérique du Sud, l’Amérique Latine, tout le continent africain et évidemment l’Asie, il y a énormément mais voilà, énormément de choses à faire. Je pense que tu t’en rends compte le jour où tu es allé sur place.
Et j’ai voyagé dans tous ces pays, dans 104 pays, que ce soit l’Afrique, l’Amérique Latine, l’Amérique du Sud, l’Asie du Sud-Est, L’Asie Centrale, bref, je suis allé partout. Et on comprend très vite qu’il y a énormément de choses à déployer, beaucoup d’argent à faire, et évidemment par extension. Donc c’est pour ça que la France et l’Europe, je laisse ça de côté.
Bref, si tu as la moindre question, barre de commentaire ci-dessous. J’y répondrai avec grand plaisir. J’espère qu’il n’y a pas trop de bruits. J’ai l’impression que je dois parler fort avec les vagues et tout l’environnement. Donc, j’espère que ça a été.
Voilà, barre de commentaire ci-dessous, s’il y a la moindre question, n’hésite pas à partager cette vidéo à tes amis investisseurs. Abonne-toi à la chaîne YouTube si ce n’est pas encore fait. Tout est dans la barre de description. Et on se dit à très très vite pour une prochaine vidéo.
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