Comment est calculé le rendement d’une action en Bourse ?

Le rendement d’une action est généralement un indicateur plutôt bien compris par les investisseurs. Mais comment ce rendement est calculé et comment est-il influencé ?

C’est quelque chose d’important à comprendre afin de savoir si notre rendement a le potentiel d’aller vers le haut ou plutôt vers le bas. Parfois, on a un gros rendement à cause d’un gros versement de bénéfices ou à cause d’une faible valorisation de l’entreprise.

Cela engendre des conséquences différentes pour l’action.

Pour augmenter le rendement, il y a deux solutions : soit augmenter le dividende ou alors baisser le prix de l’action. Mais l’investisseur peut-il vraiment jouer sur ces paramètres ?

Pas vraiment. Voyons ensemble comment appréhender ces deux paramètres.

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Comment est calculé le rendement d’une action en Bourse ?

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Retranscription de la vidéo :

Bienvenue sur cette nouvelle vidéo. Je m’appelle Raphaël Carteni.

Dans cette vidéo, je vais te parler de comment est calculé le rendement d’une action en Bourse puisque finalement, on voit des rendements affichés un petit peu partout.

Sur les sites des Finances, on voit par exemple « L’action X: 1,3% de rendement ; l’action Y: 7,2 ; l’action Z: 5,3 ; etc». Mais comment c’est calculé réellement le rendement d’une action en Bourse ?

C’est de ça dont je vais te parler dans cette vidéo puisqu’on va voir qu’en fait, il y a 2 paramètres principaux et on va voir comment, en tant qu’investisseur, on peut les approcher.

Donc, pour te faire un petit feed-back sur mon parcours « d’investisseur », moi, ça fait déjà plusieurs années, à peu près 6 ans que j’ai investi sur les marchés financiers selon l’approche des actions à dividendes.

C’est vraiment une approche que j’apprécie énormément et que je défends depuis longtemps sur Clubmillionnaire. Et j’investis personnellement à titre privé plusieurs centaines de milliers d’euros sur cette stratégie.

Donc, j’ai un bon feedback maintenant de comment ça fonctionne les actions à dividendes et ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire et comment, justement, calculer le rendement des actions en Bourse.

Donc finalement, c’est assez simple. Le rendement, c’est quoi ? C’est le montant du dividende sur le prix de l’action.

Alors, avant qu’on ne rentre dans les détails, je vais te fixer un petit peu les rendements moyens. J’ai regardé rapidement les chiffres comme je me suis noté ici. Pour le S&P 500, (un indice américain qui regroupe 500 entreprises américaines), le rendement moyen, c’est 1,88% à l’heure où je tourne cette vidéo.

Donc, waouh, c’est vraiment pourri, c’est ridicule ! A titre de comparaison, mon portefeuille aujourd’hui est à peu près, environ 7% nets de rentabilité.

Je parle en dividendes c’est-à-dire que je ne prends pas en compte la valorisation de mon portefeuille avec des changements de valorisation de mes positions. Je parle uniquement sur la base du dividende.

Donc, on se rend compte qu’on est bien loin des 1,88% du S&P500 en sachant en plus que mon portefeuille est à quasiment à 100% orienté aux Etats-Unis donc, sur le S&P 500.

Donc, on se rend compte que ce n’est pas parce que le S&P500 affiche une rentabilité de 1,88% qu’on doit se contenter de 1,88%. On peut bien évidemment obtenir plus.

Il y a beaucoup de gens me parlent des trackers, notamment d’avoir un tracker du S&P500 donc qui va répliquer la performance du S&P500. Eh bien, je suis désolé, ça fait longtemps que je dis que les trackers, je n’aime pas du tout.

Je ne veux surtout pas me contenter de 1,88% de rentabilité d’autant plus que les trackers ont généralement des frais, etc.

Bref, le but de cette vidéo, ce n’est pas de parler des trackers. J’ai déjà fait une vidéo sur ce sujet. Donc, je t’invite à taper dans ma chaine YouTube « Tracker » et tu vas trouver des vidéos là-dessus où je te dis pourquoi je n’aime pas du tout ces véhicules.

Mais voilà, S&P500, 1,88% de rentabilité. Le top 10% des S&P500 : 5,4% de rentabilité. Donc tu vois qu’on n’est même pas, encore une fois, à la rentabilité de mon portefeuille d’aujourd’hui de 7% ; et 15% des entreprises de S&P 500 ne versent pas du tout de dividendes.

Encore une fois, pourquoi aller acheter un tracker S& 500 si au sein de ce tracker, il y a 15% qui ne vont pas verser de dividendes ?

Si tu as une approche dividendes aujourd’hui, il ne faut surtout pas aller investir dans les trackers qui impliquent des indices dans lesquelles il y a des entreprises qui ne vont pas te verser de dividendes.

Pour prendre l’exemple du petit français, le CAC40 donc qui regroupe les 40 plus grosses entreprises françaises, le rendement est, lui, de 3,22%. Donc, un peu mieux qu’aux Etats-Unis par rapport au S&P 500 mais pas non plus folichon.

Donc, voilà. Le rendement, comment il est calculé ? C’est le montant du dividende au nominateur divisé par, au dénominateur, le prix de l’action.

Donc, on comprend bien que si on veut augmenter le rendement de notre portefeuille, on a 2 choix. Soit on augmente le dividende au nominateur, ce qui augmente notre rendement ; soit on diminue le prix de l’action au dénominateur.

Le problème, c’est quoi ? C’est que, malheureusement, en tant qu’investisseur, on ne peut pas jouer sur ces 2 facteurs puisque le montant du dividende, qui le choisit ? C’est l’équipe de direction qui va se réunir en assemblée générale.

C’est elle qui va dire : « Okay, nos actionnaires, on a choisit de les payer tant cette année-là. On va verser un dividende ordinaire de X euros ou X dollars ». Et de temps en temps des dividendes extraordinaires si le résultat de l’entreprise est intéressant.

Mais voilà. Tout ça pour dire qu’en tant qu’investisseur, nous, on ne choisit pas. On doit jouer avec les règles de l’entreprise.

Au dénominateur, on a le montant, le prix de l’action. Là également, est-ce qu’en tant qu’investisseur, on choisi le prix de l’action ? Non ! Ça, c’est le marché, la valorisation de l’entreprise tel que le marché l’a décidé et le marché a toujours raison.

Donc, le prix de l’action, il est peut-être sous-évalué, surévalué, peut-être au prix de la valeur fondamentale de l’entreprise. Mais en tant qu’investisseur, on ne peut encore une fois, pas jouer là-dessus.

Donc, au final, si on résume, ce qui fait le rendement d’une entreprise, ça va dépendre de 2 paramètres.

Soit l’entreprise, elle est sous-évaluée, elle a une faible valorisation donc ce qui fait qu’on a un gros rendement ; ou alors l’entreprise verse beaucoup de bénéfices à ses actionnaires, elle a un gros versement, elle a un gros pourcentage de versement de ses bénéfices aux actionnaires, ce qu’on appelle le payout ratio, et du coup, on a un gros rendement.

Il y a les entreprises qui versent plus de 100% de leur bénéfices pour une année donnée à leurs actionnaires, ce qui fait qu’artificiellement, le rendement, il est gonflé.

On a de gros rendements et généralement des entreprises qui représentent le plus gros rendement qui sont les moins intéressantes.

J’en ai déjà parlé dans d’autres vidéos parce qu’elles ont des payout ratio, des pourcentages de versement des bénéfices à leurs actionnaires qui sont de plus de 100%. C’est-à-dire que pour les années en cours, elles ont donné plus à leurs actionnaires que de bénéfices qu’elles ont encaissées.

Je te pose la question, et dis-moi dans les commentaires, est-ce que en tant qu’actionnaire, ça te rassure de te dire que : « Okay, l’entreprise dans laquelle j’investis, elle reverse plus de bénéfice qu’elle n’en gagne ? ». Eh bien non !

Tu te poses bien évidemment la question de comment elle fait ensuite pour, elle, s’en garder pour elle, et pour se développer et pour croître ?

Et en fait, ce qui fait quand même qu’une entreprise peut se permettre de verser plus ou moins de bénéfices et donc des dividendes à ses actionnaires, ça dépend également beaucoup du secteur.

C’est-à-dire qu’il y a des entreprises, elles évoluent dans des secteurs où « malheureusement », il y a des besoins constants d’investissement dans de la recherche, dans de la technologie, ce qu’on appelle la recherche et développement, la R&D, où, si on ne se développe pas (notamment pas dans le secteur de la technologie) on meurt.

C’est-à-dire qu’aujourd’hui, des boîtes comme Apple, elles ont de gros budgets pour la recherche et le développement parce que si elles n’innovent pas tout le temps, elles sont mortes, il y a beaucoup de concurrence.

A l’opposé, les entreprises qui ont des bases constantes de bénéfices, de trésorerie parce qu’elles ont un produit qui est là, qui est stable, qui crache du cash comme, je pense, notamment à l’industrie du tabac où, aujourd’hui, tu n’as pas besoin de faire la grosse R&D dans le milieu du tabac, c’est-à-dire que tes cigarettes, tu sais comment tu les fais, tu n’as plus qu’à les produire, plus qu’à les vendre, et c’est terminé, tu encaisses tes bénéfices.

Donc, toutes les entreprises ne sont pas non plus égales vis-à-vis de ce point-là en termes de secteur parce que forcément, si tu as beaucoup de coup d’investissement et de recherche, tu pourras beaucoup moins donner à tes actionnaires en termes de dividendes. Donc, forcément, les rendements sont tirées vers le bas, c’est purement mécanique.

Ce qui va également dépendre, en termes de rendement, ça va être la volonté de l’entreprise de choisir ce qu’elle fait du cash. Il y a des entreprises, on l’a vu, qui ont du cash, qui ont un produit qui est stable, qui ont beaucoup de trésorerie, mais pour autant, ce n’est pas une raison pour elles de donner de l’agent aux actionnaires.

Il y a des entreprises, leur politique c’est de se dire : « On se garde la tréso, on se garde le cash pour plus tard, pour des investissements, pour des acquisitions » parce qu’encore une fois, j’en ai parlé dans une autre vidéo que tu pourras trouver sur ma chaîne YouTube, il y a 6 façons pour une entreprise d’utiliser son argent. Il y a plein de choses qu’elle peut faire avec.

Et il y a des entreprises qui vont se dire : « Non, je ne verse pas de dividendes, je le garde, je le mets en réserve, je garde du stock, je garde de la trésorerie pour plus tard ».

Donc, là également, ça dépend de l’entreprise. Il y a des entreprises, également, qui ont une politique de payout ratio, de versement des bénéfices qui vont êtres fixés et stables.

C’est-à-dire qu’elles vont se dire : « Moi, je vais verser 20% de mes bénéfices à mes actionnaires tous les ans peu importe le montant des bénéfices, peu importe le bilan de l’entreprise, tous les ans, ce sera 20% ou 30 ou 40 ou 50 qui seront versés aux actionnaires ». Et c’est comme ça, c’est fixe.

Et généralement, plus l’entreprise est mature, plus l’entreprise est solide et installée, et plus le payout ratio est élevé parce que forcément, l’entreprise, elle est plus stable donc elle peut se permettre de verser plus de bénéfices à ses actionnaires.

Alors là, tu vas te demander peut-être à ce stade de la vidéo : « Okay, mais comment, moi, je fais, en tant qu’investisseur, pour savoir les entreprises qui vont verser des dividendes de façon régulière puisque finalement, cette décision, elle est vraiment à la discrétion de l’entreprise et l’équipe directrice ? »

« Si ça se trouve, demain, elles ne vont plus verser de dividendes parce que les bilans vont être moins bons, l’année suivante, elles vont verser un dividende. Moi, je veux être certain, en tant qu’investisseur qui investit dans une entreprise, que le dividende, il va être régulier et croissant et je ne veux pas que ce soit du zigzag : une année, j’ai des dividendes ; l’autre année, je n’en ai pas ; l’autre après, j’en ai, etc, etc ».

Donc, comment tu peux savoir puisque tout comme moi, toi, tu n’es pas aux réunions, tu n’es pas aux assemblées générales, tu ne sais pas ce qui se dit, tu ne sais pas ce qui se passe. En fait, le plus simple, c’est de regarder les historiques.

C’est de te dire par exemple, la ligne de mire d’une entreprise, United on va dire. Eh bien, tu vas aller voir sur le site de l’entreprise puisqu’encore une fois, il y a le site commercial de l’entreprise pour les clients et puis, il y a le site pour les investisseurs.

Tu tapes « site investisseur United » en anglais vu que c’est une entreprise américaine et tu vas tomber sur toutes les données financières qui sont publiques de l’entreprise. Et tu regardes sur 5 ans, 10 ans ce qui a été fait.

Est-ce que pendant les 5 ans à 10 dernières années, l’entreprise, elle versé assez des dividendes à ses actionnaires ? Si oui, dans quelles proportions ? Est-ce qu’il y a des irrégularités ? Est-ce qu’il y a des versements qui ont été arrêtés ? Pourquoi ? Est-ce que ça a augmenté ? Est-ce que ça a baissé ?

Quel est le payout ratio, le pourcentage ? Il faut que tu regardes tout ça et ça va te permettre de conforter, en tant qu’investisseur, sur le fait de savoir si cette entreprise, elle est « friendly », elle aime bien les actionnaires ou pas, elle préfère se garder le cash pour elle.

Encore une fois, il n’y a pas de bonne ou mauvaise raison, c’est simplement la politique de l’entreprise de verser ou non des dividendes aux actionnaires.

Et pour terminer un petit peu cette vidéo également, je voudrais revenir sur quelque chose de très important, le prix de l’action. On a parlé du montant des dividendes, comment ça se passe un petit peu au sein de l’équipe directrice.

Le prix de l’action. Comment, lui, il peut évoluer, finalement ? Il y a 2 façons pour le prix de l’action d’évoluer. Soit, on est face à une entreprise qui bat un petit peu de l’aile, qui a un prix de l’action qui baisse parce que les investisseurs n’ont plus confiance.

Donc, le prix de l’action, il baisse. Ça peut être des raisons financières au niveau de l’entreprise, une mauvaise acquisition qui se passe mal, un changement de PDG. Ça peut être un secteur qui se porte mal en ce moment, ça peut être un virus comme on le voit en ce moment en pleine épisode de coronavirus.

Ça peut être un évènement climatique qui détruit des usines ou un secteur bien précis dans le monde. Il peut se passer plein de choses et du coup, le prix de l’action va chuter, chuter, chuter.

Et là, honnêtement, en tant qu’investisseur, ce n’est pas terrible parce que si le prix de l’action baisse, ça veut dire que l’entreprise, dans ce cas précis, ne se porte pas très bien et donc la pérennité du dividende est peut être mise en danger.

Par contre, si c’est, on va dire, un ressenti global, c’est juste l’économie qui n’est pas au beau fixe et ça peut être tout simplement une résultante du fait que c’est sous-évalué. C’est-à-dire que le prix de l’action aujourd’hui n’est pas au juste prix de ce que vaut l’entreprise et là, ça présente de bonnes opportunités d’achat.

Je me suis noté juste à côté une citation de Warren Buffett que je vais te lire en lisant l’ordinateur parce qu’il est en anglais, et tu vas pouvoir apprécier mon accent anglais, je sais que beaucoup d’entre vous l’apprécient.

Warren Buffett, on le cite énormément quand on parle d’investir dans les marchés financiers, parce qu’encore une fois, c’est un petit peu le pape, on va dire. Généralement, il a de très bonnes citations, il a de très bonnes remarques sur ce qui se passe dans les marchés financiers.

Et justement, pour parler de Warren Buffett et des dividendes, j’avais fait également une autre vidéo à ce sujet-là, Warren Buffet adore les dividendes bien que lui, dans son entreprise, n’en verse pas du tout parce que lui, il se garde le cash.

Il encaisse des dividendes à max comme toi et moi on veut faire. Par contre, il n’en donne pas à ses actionnaires dans son entreprise parce qu’il veut se garder le cash pour faire des acquisitions.

Tu sais, Warren Buffett, il fait beaucoup d’acquisitions, il achète beaucoup de stocks tout le temps. Donc, il veut se garder le cash pour investir, lui, dans son entreprise et miser sur la croissance de son entreprise pour ses actionnaires plutôt que de les récompenser en dividendes.

Du coup, la citation de Warren Buffett, c’est quoi ? C’est : « The best thing that happens to us is when a great company gets into a temporary trouble » – donc là, je pense que tu kiffes mon accent – et « We want to buy them when they are on the operating table ».

Je te la fais en français. En gros, c’est de dire qu’il kiffe les entreprises qui sont dans des périodes un petit peu délicates parce que lui, il aime les acheter quand ils sont un petit peu sur le billard. En fait, sur la table d’opération.

Il aime bien les acheter quand ça se passe mal parce que c’est là le moment où il va pouvoir faire des bénéfices futurs parce qu’il ne les achète pas chers.

Donc, forcément, si il ne les achète pas cher, ça veut dire que plus tard, il y a des bénéfices potentiels qui vont arriver en masse parce que forcément, Warren Buffett, quand il rachète une entreprise, il ne va pas acheter 2 ou 3 actions. Il va plutôt les acheter à coup de millions, des dizaines, voire centaines de millions. Il a les moyens le grand Warren.

Donc, voilà en tout cas ce que je voulais te dire un petit peu concernant l’approche du rendement sur une action.

Egalement autre exemple que je voudrais te citer, c’est une entreprise AT&T parce que généralement, on peut se dire que, voilà, si le prix de l’action il baisse, le dividende va être supprimé; ou s’il y a une récession économique, le dividende va être supprimé.

Ça n’a, je n’ai pas envie de dire rien à voir, bien évidemment. Si l’économie, globalement, elle se passe mal ; notamment encore une fois, je vais prendre l’exemple du coronavirus tel qu’on le voit en ce moment, c’est sûr que si l’économie est paralysée, que les gens ne vont pas bosser parce qu’ils ne peuvent pas aller bosser, qu’il y a ralentissement de l’économie, le dividende ne peut pas être maintenu par magie.

Si une entreprise ne rentre plus de cash, ne rentre plus de contrat dans son entreprise, les dividendes ne vont pas pouvoir être versés indéfiniment. On va stocker, on va peut-être puiser sur la trésorerie, encore faut-il qu’il y ait une trésorerie parce que beaucoup d’entreprises, aujourd’hui, ont beaucoup de la dette et pas de trésorerie.

Mais voilà. Ce n’est pas pour autant qu’il y a une récession, ou en tout cas une baisse de l’économie qu’il n’y a plus de dividende, notamment lors de la récession, l’entreprise AT&T a continué de verser un dividende croissant et régulier alors que le prix de l’action baissait de 45%.

Et ça, ce n’est pas juste un exemple isolé, ce n’est pas simplement l’exception. Ça a été le cas pour de nombreuses autres entreprises.

Donc, qu’il y ait récession et qui dit baisse du prix de l’action ne veut pas dire suppression du dividende également et pour ça, il faut bien évidemment étudier en large, en long et à travers l’historique de l’entreprise par laquelle tu souhaites investir dedans.

Donc, voilà. En tout cas, si tu souhaites investir dans les dividendes, n’hésite pas à regarder dans la barre de description. Je t’ai beaucoup parlé de choses dans cette vidéo. Il y a un service qui s’appelle le Club Dividendes dans lequel je te partage, en fait, tous les mois la composition de mon portefeuille.

C’est-à-dire que je te montre ce que je fais, ce que j’ajoute dans mon portefeuille, ce que je supprime, ce que j’arbitre, ce que je renforce, et libre à toi ensuite de recopier ou non.

Encore une fois, ce n’est clairement pas une incitation à l’achat. Je ne suis clairement pas habilité à faire ce genre de chose. Je te partage simplement, de façon totalement transparente, ce que je fais moi-même et ensuite, tu prends ce qu’il y a à prendre ou ce qu’il n’y a pas à prendre et tu fais ce que tu penses ensuite avec ton portefeuille.

Ça te permettra un petit peu d’avoir une approche que j’ai, moi, vis-à-vis des actions à dividendes parce que je suis 100% orienté dividendes ; je cherche un revenu passif en tant qu’investisseur et donc bien évidemment, tu te doutes que je me suis assuré de la solidité des entreprises avant d’investir mon propre argent dans ces entreprises.

Donc, tout se trouve dans la barre de description. N’hésite pas à aller jeter un petit coup d’œil. Pose-moi tes questions dans les commentaires, ça me ferait très plaisir. Un petit pouce bleu, un petit « J’aime », ça motive, et n’hésite surtout pas à t’abonner à la chaîne YouTube pour recevoir en avant première toutes les autres vidéos.

Je te dis à très, très vite. Ciao, ciao !

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