Comment devenir actionnaire d’une société ?

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Peut-être que tu as déjà eu envie ou que tu veux, dans le futur, investir dans des sociétés/start-ups, autres que les tiennes, en qualité d’investisseur/nouvel associé/business angel.

Cela n’est pas quelque chose qui se fait à la légère et il va falloir longuement étudier la société ainsi qu’échanger avec l’équipe dirigeante de cette société.

Dans cette vidéo, je te donne 5 points que tu dois déjà bien étudier pour avoir une bonne idée de la solidité de l’entreprise en question afin de savoir si il est intéressant pour toi de devenir actionnaire de cette société et d’y investir de l’argent.

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Comment devenir actionnaire d’une société ?

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Retranscription de la vidéo :

Salut les millionnaires ! J’espère que vous avez la forme aujourd’hui. Dans cette vidéo, on va parler ensemble de comment devenir actionnaire d’une société. Je ne parle pas d’investir en bourse. Je parle vraiment de devenir actionnaire d’une société, de rentrer au capital d’une société lorsque vous avez des ronds à placer.

Donc avant qu’on ne commence cette vidéo, comme d’habitude, clique bien sur le bouton « S’abonner ». Tu vas recevoir en avant-première tout un tas de nouvelles vidéos. Et également, lis bien la barre de description puisque j’ai tout d’abord une formation pour toi. Je ne te dis pas ce qu’elle contient mais elle devrait fortement t’intéresser. Egalement, je t’offre ce livre « Des bancs de la fac à l’indépendance financière ». C’est le livre que j’ai écrit. Si tu ne l’as pas encore lu, écoute, je te l’offre. Donc toutes les conditions sont dans la barre de description. Tu as juste à payer les frais de livraison, et ça arrive directement chez toi.

Alors, comment devenir actionnaire d’une société ? Peut-être que… Je ne sais pas. Je ne connais pas ta situation, toi qui me regardes aujourd’hui. Je ne sais pas si tu as – 100€ sur ton compte, 10000€ d’épargne, 100000€ d’épargne, un million d’euros d’épargne, 10 millions d’euros d’épargne, je n’en sais rien. Mais peut-être qu’à un moment ou à un autre de ta carrière d’entrepreneur ou d’investisseur, tu vas vouloir investir dans des sociétés pour placer ton « biff ». Voilà, on connait les leviers d’investissements et de placements tels que l’immobilier, les marchés financiers via les actions, des obligations, des trackers, des foncières cotées, de l’or, du pétrole, des cryptomonnaies, ta propre entreprise.

Bref, il y a plein de choses dans lesquelles on peut investir : l’art, le vin, les voitures de collection, des biens étrangers… Bref, je ne vais pas te faire la liste. La liste est longue. Mais peut-être qu’à un moment ou un autre, tu vas t’intéresser au fait d’investir dans des start-ups, des entreprises jeunes, innovantes. Donc on a le biais classique des business angels ou tu vas participer à des réunions de business angels et où tu vas potentiellement avec ton équipe d’angels investors mettre des billets sur des entreprises qui auront pitché devant toi, qui seront venues et qui auront défendu leur projet. Donc c’est vraiment un cadre très classique – on va dire – d’investissement, où il y a une structure, il y a une société, il y a des business angels. C’est très organisé.

Mais peut-être aussi que tu vas être approché directement par des investisseurs ou tu vas, sur ta route, rencontrer des investisseurs qui ont des projets innovants et que tu voudras peut-être financer, mettre un billet dans leurs projets sans passer forcément par la casquette du business angel, via une structure préétablie. Dans ce cas-là, comment on fait ?

Je vais te donner en tout cas 3 conseils, 3 choses que tu dois demander et que tu dois faire vis-à-vis de cet investissement pour savoir si ça va être potentiellement intéressant, puisqu’encore une fois, investir dans des start-ups, dans des jeunes entreprises, tu as compris que c’était risqué, que potentiellement, le capital que tu vas injecter, il va être perdu. Il n’y a rien de garanti. Ce n’est pas comme l’immobilier où ton bien, il est là. Ce n’est pas comme des actions. Tes actions, elles sont là. Même si tu te casses la gueule, les multinationales, elles ne vont pas disparaitre du jour au lendemain. Là, c’est encore très différent. C’est potentiellement des start-ups, des jeunes entreprises pour lesquelles il faut faire vraiment un vrai travail d’analyse, et où il y a beaucoup de questions à poser.

Donc j’ai, moi, de mon côté, un gros document de questions que je pose, potentiellement, directement aux présidents, aux dirigeants de ces jeunes start-ups. Je ne vais pas te donner toutes les questions aujourd’hui, sinon la vidéo, littéralement, elle ferait une heure, 2 heures, voire peut-être même plus parce qu’il y a vraiment beaucoup de questions. Je vais te donner au moins 3 choses, 3 critères à regarder si, en face de toi, tu as un dirigeant qui est en train de défendre son projet, et des réponses auxquelles tu devrais retenir.

La première chose, et j’ai regroupé plusieurs choses sous cette première chose… Voilà, je suis un tricheur. J’ai dit 3 choses alors qu’en fait, il va y en avoir un petit peu plus. C’est tout classiquement les bilans de la société, tout simplement, pour voir un petit peu ce qui se passe, qu’est-ce qu’il y a au passif ? Qu’est-ce qu’il y a à l’actif également ? Que potentiellement, il y a de l’actif, j’espère. Quels sont les engagements financiers également de l’entreprise pour l’instant ? Est-ce qu’elle s’est engagée financièrement vis-à-vis de certaines personnes ? Bref, voir un petit peu ce qui se passe dans le bilan. Pour l’instant, potentiellement, il est encore maigre. Pour l’instant, il n’est pas encore forcément très garni. Mais c’est important de voir ce qui se passe.

Egalement demander les statuts pour savoir qui a la majorité dans la société, savoir qui sont les actionnaires, qui sont les différents associés, qui sont les fondateurs de cette start-up, de cette société. Bref, savoir un petit peu qui sont ces personnes et évidemment en demander plus sur le passé de ces personnes. Très important. Généralement, on aime bien à dire que « mieux vaut une équipe de niveau A et un produit de niveau B qu’un produit de niveau A et une équipe de niveau B ».

Donc généralement, l’équipe est ce qui va faire qu’un projet va avancer, stagner, voire même reculer. Bref, ce qui va faire qu’un projet avance ou pas, c’est vraiment l’humain, c’est vraiment l’équipe derrière, qui est très très importante également. Donc une fois que vous avez demandé les statuts, en complément, demandez également les agréments et demandez les procès-verbaux des assemblées générales s’il y en a déjà eu lieu pour savoir ce qui s’y est dit. Quelles sont les conclusions de ces assemblées générales ?

Et demandez également la feuille de présence ou le listing des actionnaires de la société, encore une fois dans un objectif de savoir qui est présent, qui est actionnaire, qui sont ces gens, qu’est-ce qu’ils font, quelle est la conclusion des procès-verbaux d’assemblée générale ? Etc. C’est très important en fait de statuer, de fixer un petit peu la base de la société, les fondateurs, les actionnaires, l’équipe dirigeante, qui sont-ils et comment ça se passe ? Pour l’instant, quels sont les statuts ? Quels sont les bilans, les actifs, les passifs ?

Le deuxième conseil que je vais te donner, c’est de regarder la structure fiscale. Quelle est la structure fiscale qui a été mise en place au niveau de cette société, au niveau de cette start-up. Est-ce que c’est une société française ou étrangère ? On leur demande en fait quels ont été leurs choix vis-à-vis de la création de leur structure fiscale. Est-ce qu’il y a un montage en holding ? Est-ce que c’est détenu par une société à l’étranger ? Voilà. Savoir un petit peu ce qui se passe et essayer de comprendre quelle a été la structure fiscale qui a été mise en place derrière.

Egalement essayer de savoir le seuil de rentabilité. Où est-ce qu’on en est vis-à-vis du seuil de rentabilité de l’entreprise ? Est-ce que l’entreprise a atteint un seuil de rentabilité où elle est quasi-autonome, ou est-ce que justement le capital que vous allez investir sur l’entreprise, c’est pour atteindre le plus rapidement ce seuil de rentabilité, et que l’entreprise, la start-up a encore besoin de fonds pour arriver à l’équilibre, elle a besoin d’énergie pour investir pour l’instant et n’est pas encore rentable mais il faut qu’on la pousse. Il faut savoir un petit peu où en est cette entreprise, pourquoi elle a besoin de fonds actuellement pour se développer.

Egalement demander quelle sera la valeur de votre part vis-à-vis de votre investissement. Très important de savoir que si vous mettez 10000, 20000, 100000, 200000€ ou plus, ce que ça va représenter votre part, votre poids dans l’entreprise en tant qu’actionnaire. C’est très important parce qu’encore une fois, valoriser une part, notamment s’il y a une création de marque dans l’entreprise, etc., ça peut très vite devenir un petit peu subjectif parce qu’une marque, comment on la valorise ? Ça peut être subjectif, potentiellement, un président, un PDG véreux pourrait supposer que sa marque vaille déjà très cher alors que pas du tout, pour minimiser votre investissement, et donc votre part et votre poids dans la société en tant qu’actionnaire. Donc très important également de savoir quel  va être le poids de votre investissement en termes de parts que vous allez détenir dans la société.

Le troisième critère, le dernier critère et un très très beau critère, on en revient à quelque chose dont j’aime bien parler, dont j’ai déjà parlé plusieurs fois, c’est le critère NECST. Je ne suis pas en train de faire « next, va t’en ! » Non. C’est N-E-C-S-T. Donc le N pour Need, le E pour Entry, le C pour Control, le S pour Scale et le T pour Time. Tu m’as peut-être déjà entendu parler plusieurs fois de ça, mais c’est 5 critères que tu dois vérifier. Donc il y a 5 critères dans les 3 critères. Il faut que tu suives vraiment précisément là.

Voilà, le premier, c’est le N pour Need. Est-ce que la start-up, l’entreprise qui se développe, il y a un réel besoin sur le marché vis-à-vis du produit, de l’offre que cette start-up va proposer ? Donc ça, c’est quelque chose à approfondir avec les présidents, les fondateurs de la société. Creusez. Est-ce qu’il y a réellement un besoin pour cette offre, ce service, sur le marché sur lequel ils sont en train d’avancer. Est-ce qu’ils ont créé un produit dont ils estiment que le  marché a besoin ? Est-ce qu’ils ont réellement sondé le marché avant, et le marché a manifesté un signe d’intérêt pour ce produit ? Très important.

Le E pour Entry. Est-ce que la barrière d’entrée, elle est facile ? Est-ce que c’est facile de lancer ce type de business ? Généralement, un business qui est trop facile à lancer, c’est un business qui n’est pas intéressant, qui n’est pas rentable, qui est beaucoup trop concurrentiel, il faut faire attention à ça. Si c’est trop facile de vous concurrencer, potentiellement, vous allez avoir beaucoup de concurrents, et donc ça va être difficile de vous démarquer si vous n’avez pas un avantage concurrentiel unique.

Le C pour Control. Est-ce que vous allez avoir le contrôle total sur tout ce qui se passe dans l’entreprise, sur votre offre, sur votre produit ? Notamment au niveau des fournisseurs, au niveau du pricing, au niveau des dates de livraison, au niveau de plein de choses. Tout dépend de quel est le produit, quel est le service de l’entreprise en question, mais est-ce que vous avez le contrôle sur tout ce qui va se passer dans l’entreprise ? Est-ce que les fondateurs ont pensé à ça ? Est-ce qu’ils ont des solutions de back-up si jamais ils dépendent de personnes externes ? Est-ce qu’ils ont pensé à tout ça ?

Le S, c’est pour le Scale. Est-ce que c’est possible de scaler, autrement dit, de grossir ? Est-ce qu’il n’y a pas des soucis d’échelle ? Est-ce qu’à un moment on ne va pas être confronté à un souci dans la croissance ? Est-ce qu’ils ont pensé à tout ça notamment s’ils doivent recruter des employés ? Comment ils pensent recruter les employés ? Où est-ce qu’ils pensent les trouver ? Où est-ce qu’ils pensent trouver les cerveaux, les compétences ? Comment ils pensent anticiper la croissance ? Tout ça, c’est très important à anticiper.

Le T pour Time. Comment ils pensent déléguer ? Encore une fois, c’est très important de mettre en place des systèmes, donc via des outils, des logiciels, mais également via de l’humain. Donc comment ils ont anticipé le fait de pouvoir déléguer tout ça ? Parce qu’au début, même si on doit faire beaucoup de choses, potentiellement – et c’est obligatoire – ils devront se délester de certaines tâches et les déléguer. Donc est-ce qu’ils ont pensé au fait de ne plus devoir être forcément dans le business, mais d’être un petit peu plus sur le business, et potentiellement aller devoir négocier des contrats, faire des choses au-dessus du business, et qu’à l’intérieur ça tourne et qu’il y a des systèmes, c’est délégué, ça fonctionne sans eux ?  

Donc très important de toujours prendre ces 5 critères : du besoin, de la barrière d’entrée, du contrôle, du scale, de la croissance et de la délégation via le temps qu’on peut déléguer. Donc ça, également, regardez, parlez-en de tout ça avec l’équipe fondatrice. C’est très important de savoir si là-dessus, ils sont au clair vis-à-vis de tous ces points.

Donc voilà en tout cas tout ce que je voulais te dire aujourd’hui vis-à-vis de quelques conseils si tu souhaites un jour investir dans des jeunes entreprises, des start-ups. Donc si on résume, regarder les bilans de la société, regarder les statuts pour savoir qui a la majorité, regarder les clauses d’agrément, les procès-verbaux des assemblées générales, la feuille de présence des associés, ou la liste des actionnaires, regarder la structure fiscale, regarder le seuil de rentabilité de l’entreprise, regarder la valorisation de votre part en fonction de ton investissement et faire le critère d’analyse N-E-C-S-T (Need, Entry, Control, Scale, Time).

Donc j’espère que cette vidéo, elle t’a plu, une vidéo assez originale que je ne fais pas souvent sur la chaîne YouTube. Donc dis-moi dans les commentaires si ça t’a plu, ce genre de vidéo. Gros pouce bleu en l’air également si ça t’a plu. Partage la vidéo avec des gens qui, un jour ou l’autre, souhaiteraient investir dans des start-ups, des sociétés directement. Et avant d’avoir du cash pour investir dans ce genre de start-up, il faut faire du cash, et potentiellement, tu as envie de lancer un business sur Internet et d’investir dans différents véhicules d’investissements.

Donc lis bien la barre de description puisque j’ai un programme pour toi qui s’appelle l’Ecole de l’Elite Financière. C’est un très gros programme de plus de 100 heures de formation, dans lequel je t’apprends entre autres à investir dans un business sur Internet, à créer ton propre business sur Internet. On voit tout de A à Z. Il y a plus de 30 à 40 heures de formation, de la définition de ton idée, de ta niche, à la toute fin, en passant par le marketing, les tunnels de vente, comment encaisser le cash, comment faire la fiscalité et la comptabilité. Bref, on voit tout ensemble.

Je te laisse regarder ça dans la barre de description et je te dis « à très très vite ». Ciao ciao.

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