L’école, c’est bien mais… 3 raisons de bâtir votre business le plus tôt possible !

25

Je ne regarde jamais la télé mais ce soir je suis tombé 5 minutes par hasard sur une émission parlant des dettes étudiantes aux Etats-Unis… Et je me suis dit « merde, on est presque pas si mal que ça en France » car en voyant les situations dans lesquelles étaient certaines familles, ça faisait peur.

Un étudiant qui voulait devenir avocat s’était mis dans une telle merde en souscrivant à des prêts étudiants pour payer ses années qu’il devait travailler en boucherie pour rembourser tout ça et si « tout allait bien », tout serait remboursé pour ses 55 ans. LOL.

Et le pire, c’est qu’on risque de ressentir tous les effets que vont produire ces « student loans ». Bref, ça ne m’intéresse pas vraiment de savoir en détails ce qu’on risque, ce que je sais, c’est qu’il faut investir et bâtir son propre business.

L’école, oui mais.. Investissez. Créez un business.

Ca devient, à mes yeux, chaque jour, de plus en plus évident. Il vous faut des actifs tangibles capables de vous « hedger » contre tous ces problèmes (crise de la dette étudiante, Quantitative Easing de la BCE et toutes autres joyeusetés).

Attention : je ne recommande clairement pas d’arrêter ses études et de tout plaquer, je suis moi-même à l’heure actuelle encore étudiant et la garantie de l’emploi est un débat dans lequel je ne souhaite pas rentrer et qui ne m’intéresse pas. Je veux juste essayer de sensibiliser les gens sur le fait qu’investir est quelque chose d’important.

L’école c’est bien mais… 3 raisons de bâtir votre business le plus tôt possible.

Raison n°1 :

On s’endette (ou on dépense énormément sans s’en rendre compte). Au-delà des frais de scolarité, du matériel scolaire, des livres, de la carte à la bibliothèque, du logement, des cartes de transport qui mis bout à bout peuvent représenter une certaine somme, je vais particulièrement parler des écoles de commerce (ou toutes autres écoles dont le prix annuel s’élève à plusieurs milliers d’euros).

écoleJe tiens à préciser que je n’ai rien contre elles et que je participe de temps à temps à des évènements organisés par les incubateurs de start-ups de l’école de ma ville. Mais quelques points provoquent en moi comme un reflux gastrique. Pour commencer, il y a le prof qui dispense les mêmes conseils depuis des années (avec son bon vieux Mercator) et qui n’est lui même pas passé à l’action alors qu’on vit dans un monde qui change très vite et où les techniques d’aujourd’hui seront désuètes dès demain (notamment en marketing où le consommateur est imprévisible dans un marché souvent inondé d’offres). Même certains professeurs de Harvard n’ont jamais géré d’entreprise de leur vie et ne savent même pas en mettre une sur pieds.

Ensuite, il y a le prix de ces écoles de commerce. Mettre environ 6k-15k€ PAR AN dans une école ou mettre 6k-15k€ PAR AN dans mes business et formations personnelles, il n’y a pas photo, je sais tout de suite quel choix je fais et je sais aussi lequel me le rendra le mieux.

Ce qui me fait rire, c’est quand j’entends le discours de certaines personnes en école de commerce qui ont un peu des œillères sur les yeux et ne jurent que par leur école (une fois de plus, je ne généralise pas, j’ai plein d’amis qui déchirent en école de commerce !). J’ai, justement, des amis qui sont en école de commerce que je vois régulièrement et que j’apprécie et qui ne sont pas au courant de mes « activités ». Quand je les entends me dire que « ouais, c’est pas facile financièrement, j’ai fait un prêt étudiant mais quand je vais gagner 3000€ net, ça sera cool », j’acquiesce rapidement d’un petit « j’avoue » mais au fond de moi, je suis « choqué ». 3000€ net ? Mais c’est « rien ». J’ai déjà presque 70% de ce salaire grâce à mes activités (ça fait seulement un peu plus d’une année que je m’intéresse sérieusement aux finances) et je sais que ça va continuer de monter au fil des mois qui passent.

Raison n°2 :

« Formal education will make you a living ; self-education will make you a fortune. » – Jim Rohn.

Cette citation a déjà amené à plusieurs débats : l’éducation qu’on a à l’école est-elle utile/suffisante ? Faut-il un mélange des deux éducations ? Ou faut-il tout apprendre par soi-même car il n’y a que comme ça que l’on pourra vraiment construire quelque chose ? L’objet de cet article n’est pas de recréer ce débat, je veux simplement montrer que la simple éducation scolaire/universitaire ne suffira pas à vous apporter un confort de vie -très- agréable (là aussi, chacun a sa définition de « agréable »).

 jim rohn école

Vous l’aurez compris : il y a la théorie et la pratique.

Sur le papier, ça paraît toujours simple et beau, jusqu’à ce qu’il y ait la pratique et son lot d’imprévus.

Car sur le papier, les imprévus, ça n’existe pas, ce n’est pas la vraie vie (donc faites attention avec ce qu’on vous promet « sur le papier » en régle générale). Et c’est avec les imprévus que vous apprenez vraiment car le processus que vous enclenchez pour trouver une solution est puissant et fort en apprentissage.

Finalement, sur le papier, on apprend rien. Même si on peut avoir l’impression.

A la fac, quand je bouffe mes polys « bruts » sur la fonction rénale, c’est bien, je le retiens pour les partiels dans 2 mois et j’oublie juste après. Quand je passe à la pratique et que je vais en stage à l’hôpital et qu’on m’enseigne directement sur le terrain comment fonctionne une dialyse avec de vrais patients alors là j’assimile et retiens directement l’information.

Apprendre à négocier, à parler à un client ou un partenaire, ça ne s’apprend pas non plus dans un livre. Il n’y a que la pratique qui puisse améliorer vos compétences. Vous avez beau apprendre à nager grâce à un livre, si vous ne sautez pas dans le grand bain, vous n’en serez pas plus avancés.

Raison n°3 :

école professeur montenegro

Montenegro

Nos professeurs ont rarement une vie de rêve. Je ne sais pas vous mais personnellement, quand je regarde mes professeurs, je me dis très souvent (tout le temps en fait) « woah, sa vie a vraiment pas l’air très cool » et je n’échangerais pour rien au monde ma vie contre la leur…

Ils n’ont rien de ce que je veux, ils ne sont pas attirants, ils ne sont pas charismatiques (peut être seulement 1 ou 2) et ont surtout l’air d’être très blasés et de s’en foutre de tout (même si certains ont vraiment la « fibre » et là c’est super agréable de suivre un cours).

Plus d’une fois j’ai eu le sentiment de bien les faire chier sans compter les profs qui profitent de l’auditoire comme un immense défouloir pour dégueuler son désaccord, sa critique, sa haine et/ou son pessimisme. Il m’est déjà arrivé de ressortir d’un cours complètement blasé. Et je pèse mes mots.

« Est-ce que la personne qui divulgue des conseils ou un enseignement a ce que vous souhaitez avoir ? » Si oui, écoutez-là… Si non, vous m’avez compris !

 

Ci-dessus, un livre très intéressant que je vous invite à lire et dont le titre est très révélateur ! 😉

Dites-moi dans les commentaires si vous avez déjà commencé à investir, à quel âge et quel a été votre déclic ? Si vous n’avez pas encore commencé à investir, pourquoi ?!

formation-8-strategies

25 Responses

  1. william

    J’ai eu le déclic tard, en 2007 en fait. J’avais déjà 36 ans. Mon déclic a été la lecture de père riche père pauvre.

    Merci pour cet article

    Répondre
    • Raphaël

      Merci pour ton commentaire William ! 🙂 Pour les lecteurs qui veulent lire « Père riche, père pauvre » de Robert Kiyosaki (cliquez sur la photo) !

      Répondre
  2. Kamal Le Marocain

    Salut Raphael,

    Quel article polémique, j’apprécie !
    Que tu aies fait une école de commerce ou non, le plus important pour moi est d’avoir une intelligence financière élevée en référence au livre célèbre « Augmenter votre intelligence financière » de Robert Kiyosaki.
    C’est cela qui te permettra d’évoluer et d’atteindre tes objectifs !
    Pour ton information, j’ai sauté dans le grand bain…

    @ très bientôt,

    Répondre
    • Raphaël

      Merci pour ton commentaire Kamal, j’espère que l’article fera réagir quelques jeunes ! 🙂 Pour les lecteurs qui veulent lire « Augmenter votre intelligence financière » de Robert Kiyosaki (cliquez sur la photo) !

      Répondre
  3. Marie

    POur investir, monter son business, il faut un certain état d’esprit. tu as raison le mieux c est de commencer très tôt !

    Répondre
  4. Mehdi

    J’ai commencé à investir l’année dernière (27 ans !) J’aurais pu le faire avant mais bon, je ne lisait pas tes articles 🙂

    Merci !

    Répondre
  5. Jeremy

    J’ai commencé à m’intéresser à l’indépendance financière il y a seulement un an, et pourtant, en une année, j’ai appris plus de choses que pendant le reste de ma vie.
    Pour moi, le déclic, ça a été la lecture du livre « La semaine de 4h » de Tim Ferris qui coïncide avec le moment où j’ai quitté mon travail salarié. C’est un livre que je recommande à tout le monde !

    Répondre
    • Raphaël

      Salut Jérémy, merci pour ton commentaire ! La vie fait définitivement bien les choses, ce livre est excellent ! 🙂 Pour les lecteurs qui veulent lire « La semaine de 4 heures » de Tim Ferriss (cliquez sur la photo) !

      Répondre
  6. Tancrède

    Je pense aussi qu’il faut savoir prendre du recul par rapport à l’école. Oui, c’est toujours bon d’avoir un diplôme, mais je pense qu’à l’heure actuelle c’est loin d’être ça qui fait la différence au niveau de la réussite financière. Pour moi, c’est l’auto-éducation qui fait la différence : investir en soi-même, aussi bien par des formations que par des livres. (Le personal MBA est aussi excellent 🙂 )

    Répondre
    • Raphaël

      Salut Tancrède, c’est clair ! D’autant plus que le monde d’aujourd’hui change très vite et les compétences d’aujourd’hui seront rapidement obsolètes demain ! Pour lire « Le personnel MBA » qui est une petite mine d’or, cliquez sur l’image ! 😉

      Répondre
  7. Nicolas @ Objectif10%

    Bonjour Raphael,

    Connais-tu le livre « The personal MBA » de John Kaufman, il a fait la synthèse de tout ce que l’on peut apprendre en faisant un MBA à 50 000$ dans un bouquin de seulement 20$… Bien sûr, il y a le réseau en moins à ce prix !

    Cordialement,

    Nicolas

    Répondre
    • Raphaël

      Salut Nicolas ! Yes, je connais ce livre qui vaut son petit pesant d’or ! Et en effet, c’est quand même bien le réseau qui fait toute la différence ! 🙂

      Répondre
  8. Gaëtan

    Super article Raphaël, merçi !
    Personnellement, j’ai commencé tard et je regrette de ne pas avoir commencé plus tôt. C’est bien dommage. Pour aller dans le sens de ton article, j’encourage tes lecteurs et lectrices à se lancer tout de suite, surtout dans l’immobilier où le temps joue en notre faveur.

    Répondre
  9. pierre

    Un des meilleurs conseil que tu puisse donner je pense c’est de commencé tôt car notre temps n’est pas infinie malgré ce que certain on l’impression de croirent.
    Personnellement je n’est acheté pour le moment que ma résidence principal à 25 ans , le déclic pour moi à été la lecture de TLMMDR de « Olivier Seban » ce qui ma ouvert les yeux sur une autres manière de penser sur l’argent la route est longue mais petit à petit les résultats arrivent…

    Répondre
  10. Nicolas

    Tout d’abord tu es jeune et c’est bien.
    Ensuite pour grandir dans le business tu es obligé d’apprendre par des professeurs sans envergure. Je suis l’archétype même du mec qui n’arrive à rien avec l’école. D’ailleurs je n’ai jamais obtenu un diplôme du premier coup ! Jamais.
    Mais tant que tout va cela paraît inutile on est fort dans sa tête et dans son business… Mais quand tout parti en biberonne… la bizarrement on est content d’avoir la théorie et de pouvoir s’y référer.
    Cela fait 10 ans que je fais de l’immobilier je fais toujours des erreurs, elles sont de plus en plus grosses financièrement, et heureusement qu’il y a des personnes qui sont là pour nous rappeler les grandes théories.
    Ceci étant ton article au mérite de faire réagir.

    Répondre
  11. Didier-Fabrice

    Comme Nicolas je ne suis pas fan du discours l’école ne sert à rien. Notons un point commun des ouvrages cités ils viennent d’outre-atlantique et il y a quand même une part du mythe américain du self made man. Réussir seul dans son garage c’est sur que c’est vendeur mais quand on gratte un peu le tableau idyllique doit être quelque peu nuancé.
    Concernant les études il est clair que si tu fais un doctorat en histoire médiévale de la Papouasie (tout passionnant que cela puisse être) tu ne sauras pas comment mener ta barque. Mais il ‘en est tout autre si tu fais des études en sciences économiques. Crois-moi (ou pas) mais je suis bien content d’avoir étudié la comptabilité-gestion et le droit.
    Quand on sait ce qu’est une VAN (non ce n’est pas une fourgonnette) on peut déjouer des pièges sans lesquels tombent aussi des investisseurs qui n’ont qu’une connaissance issue des livres sur les finances personnelles.
    Dans un autre article tu mentionnes la possibilité de faire de l’upsell lors d’une location saisonnière(petit truc rigolo si on regarde les pages wikipedia sur ce terme on peut constater qu’il n’y a pas tout à fait la même définition dans la version française que la version anglaise cette dernière étant beaucoup moins restrictive)
    Beaucoup de tes lecteurs vont s’y mettre. Mais selon la législation française vendre de l’hébergement meublé et vendre d’autres produits ce n’est pas la même chose. La location même meublée est une activité civile (elle n’est considérée commerciale que pour le fisc cette nuance fait qu’on lit parfois chez des non juristes que c’est une activité commerciale). Les ventes annexes en revanche sont de pures activités commerciales dès lors qu’elles sont habituelles. Cela peut engendrer des conséquences que ces lecteurs n’auront pas imaginé : assujettissement à la tva, inscription au rcs, affiliation au RSI (et donc cotisations sociales)…

    Pour moi les livres de finance personnelle sont utiles parce qu’ils donnent la motivation étant agréables à lire mais après il faut passer aux livres plus rébarbatifs mais bien plus poussés comme les Dalloz ou les Vernimmen

    Répondre
    • Didier-Fabrice

      Oops mon commentaire est un peu court 😉
      J’ai encore un truc à dire quand tu indiques « Est-ce que la personne qui divulgue des conseils ou un enseignement a ce que vous souhaitez avoir ? Si oui, écoutez-là… Si non, vous m’avez compris ! »
      Les Sachants ne sont pas forcément les meilleurs instructeurs. Exemple sportif : Philippe Saint-André a été incomparablement un meilleur joueur de rugby que Bernard Laporte. 32 essais pendant la carrière internationale du Goret contre un titre de champion de France pour Bernie le dingue (jamais sélectionné en tant que joueur en équipe de france). Mais en entraîneur il ne faut pas oublier qu’il a conduit le Stade Français de l’équivalent de la troisième division au titre de champion de France de première division et demi-finaliste de coupe d’Europe en 5 saisons. Avec l’équipe de France comme entraîneur c’est 4 tournois remportés dont 2 grands chelem (même si ce n’est pas le meilleur palmarès c’est quand même pas mal) PSA (non ce n’est pas un constructeur automobile) a conduit le XV tricolore trois fois à la 4eme place et une fois à la 6eme du tournoi des 6 nations.

      Coté footeux qui rêve de devenir Guy Roux ? Gras du bide et bonnet ridicule ça doit pas faire kiffer les jeunes. Pourtant comme entraîneur d’Auxerre il n’a pas été totalement naze.

      Ne pas oublier non plus que même avec le meilleur coach du monde si on se contente de picoler au bar pmu du coin on n’arrivera pas très loin…

      Répondre
    • Raphaël

      Salut Didier-Fabrice, merci pour ton commentaire, je te rejoins sur tous les points et je te l’accorde, l’article est un brin « provocateur » pour faire un peu réagir ! Je ne connaissais pas le « Vernimmen », il rejoint la longue liste des livres que je dois lire. Bon week-end ! 🙂

      Répondre
  12. Nicolas

    Bonsoir Raphaël,

    Je me retrouve totalement dans cet article.

    J’ai fait une école d’ingénieur en informatique, j’ai déboursé près de 40 K€ et aujourd’hui à 27 ans, j’ai toujours mon crédit étudiant qui court. Je compte tout de même le rembourser en 2015.

    Dès que je suis entré dans le monde professionnel, je me suis rendu compte de « l’arnaque ». J’ai appris énormément de choses à l’école et j’ai rencontré des personnes extra, mais ça ne me permet pas aujourd’hui de m’épanouir financièrement parlant. Heureusement, je m’épanouis dans mon travail au quotidien quand même.

    J’ai donc décidé de sauter dans le grand bain en investissant dans un premier parking en début d’année. De plus, je suis en train de monter mon business en ligne et je suis actuellement la formation de folie d’Alexandre Roth.

    Bonne soirée.

    Répondre
    • Raphaël

      Salut Nicolas,
      merci pour ton commentaire. Tu ne traineras pas ce crédit étudiant jusqu’à tes 50 ans au moins, on peut voir le « bon côté » des choses ! Et félicitations pour ce premier investissement ! 🙂

      Répondre
  13. Caroline

    Bonjour,
    Je ne suis pas très bien renseignée sur la finance et ses rouages et j’en ai un piètre avis dessus. C’est peut être un stéréotype mais, je suis honnête, courir après l’argent ce n’est pas mon truc, mais je ne néglige pas le fait qu’il est toujours plus confortable d’avoir de bons revenus pour pouvoir mener ses propres rêves (partir en voyage, se faire plaisir etc…). J’aimerais faire une métier humain et épanouissant, qui me laisse une liberté d’exercice et peu stressant, et je crois bien que je l’ai trouvé. Sauf qu’il y a un hic.
    Le métier qu’il se pourrait que j’exerce (par amour de ce métier) est un métier pas bien payé mais en pleine expansion avec peu de chômage, dans le domaine du paramédical. Est-ce que tu me conseillerais de faire des investissements en parallèle de mes études pour qu’à 30 ans, je puisse gagner plus qu’autour de 2 000€ ou faire d’autres études qui mènent à un métier qui me mettra plus de pression (toujours dans le domaine de la santé) mais dont le salaire est plus important de manière générale ? Je ne souhaite pas être criblée de dette (c’est ma plus grosse peur, je crois), me noyer dans la finance, et je ne sais pas trop par quoi commencer et surtout quand commencer. Je n’ai que 18 ans..

    Répondre
    • Raphaël

      Salut Caroline,

      une chose est sûre, tu dois faire un métier qui te plaît sinon tu vas subir ta vie et tu vas très vite finir en burn-out ! Tu as 18 ans, tu es jeune et c’est vraiment très bien de déjà se poser ce genre de questions car l’argent est aujourd’hui un problème pour beaucoup de français ! Je ne peux que t’encourager à investir en parallèle de tes études et de ton travail afin d’avoir des sources de revenus supplémentaires (pour te protéger, pour vivre un peu mieux, pour la retraite…). Pour ce qu’il en est du type d’investissement, c’est à toi de voir en fonction de tes affinités, de la prise de risque souhaitée, de l’implication que t’as envie d’y mettre… Investir dans l’immobilier parait être compromis si tu ne souhaites pas être endettée. Créer ton propre business n’a pas l’air d’être ce que tu souhaites. Un placement boursier passif sur une stratégie des forts dividendes pourrait peut-être te convenir, c’est à étudier ! 🙂

      Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *